Colovie : Différence entre versions

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À la fin de la [[Deuxième Ère]], [[Cuhlecain]], roi d'[[Épervine]], alors membre des états coloviens, arrive à capturer la [[Cité Impériale]] et à fusionner à nouveau la Colovie et le Nibenay<ref>[[L'hérésie arcturienne]]</ref>. Les royaumes de [[Hauteroche]] et [[Bordeciel]], ne souhaitant pas un retour de la domination impériale, lancent une attaque contre la Colovie. Ils sont cependant défaits par les armées du général [[Tiber Septim]]<ref name=pge1/>.
 
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En 4E 17, [[Titus Mede]], seigneur colovien, capture la Cité Impériale mettant ainsi un terme à l'[[Interregnum de la Couronne de fureur]] et reformant l'Empire<ref>[[Menace grandissante, vol. 4]]</ref>.

Version du 28 novembre 2018 à 18:25

La Colovie est le nom donné à l'ensemble des régions occidentales de Cyrodiil que sont le Weald occidental[1], la Côte d'or, la Grande forêt et les Hautes terres coloviennes[2].

Population

Les habitants de la Colovie sont appelés les Coloviens. Contrairement aux habitants de la partie orientale de Cyrodiil appelée Nibenay, les Coloviens sont issus d'un métissage Nordico-nédique[3].

Ainsi les Coloviens sont considérés comme directs, francs[4], peu compliqués, autosuffisants, amicaux et loyaux les uns envers les autres tout en possédant l'esprit pionnier de leurs ancêtres Nordiques[3].

Ils possèdent également une foi très forte en les Huit Divins ainsi qu'en Shezarr[5].

Se regroupant et se déchirant régulièrement au cours de l'histoire[6], ils sont traditionnellement en concurrence avec les Nibonais habitant l'autre moité de la province, le Nibenay. Cette concurrence, marquée par des différences culturelles[4], est exacerbée par l'éloignement relatif de la région par rapport au véritable cœur de l'Empire qui fait que ses habitants sont souvent négligés par le pouvoir en place[3].

En Colovie, nous sommes des gens simples, respectueux des dieux. Les gens de l'est vénèrent leurs portefeuilles et leurs gros ventres.— Habitant de Chorrol, 3E 433


Histoire

En 1E 242, la révolte d'Alessia fait éclater la domination ayléide de l'actuelle Cyrodiil. L'Empire qui se forme par la suite est surtout concentré dans l'Est du pays appelé Nibenay. L'ouest plus sauvage, la Colovie, devient un ensemble d'états vassaux de l'Empire[7].

La relative autonomie de la Colovie lui permet de résister à l'Ordre Alessien qui s'installe en Nibenay. Les différents royaumes de Colovie se rassemblent alors sous le noms d'états coloviens[3].

En 1E 478, une terrible peste s'abat sur la région. Dorald, fils héritier survivant de la famille royale de Skingrad, décide d'offrir son royaume à l'Empereur Gorieus. Les états coloviens sont choqués de cette décision et le frère de Dorald, Rislav, le tue pour récupérer son royaume. Furieux, l'Empereur envoie son armée mais tombe dans une embuscade menée par Rislav et les troupes de Kvatch qui forcent les troupes impériales à retourner en Nibenay[8].

Vers 1E 2200, la Peste Thrassienne décime la population de la région. Bendu Olo, roi colovien d'Anvil, rassemble une gigantesque flotte pour se venger des Sloads, créateur de la maladie. L'archipel de Thras sombre alors dans l'océan. Avec cette victoire et sans la rigidité des Doctrines Alessiennes, les états coloviens parviennent peu à peu à éclipser l'Empire du Nibenay. Cet état provoque la Guerre de la Vertu qui mène à la destruction de l'Ordre Alessien[3].

L'Empire subsiste en étant expurgé de ses influences alessiennes mais les relations entre celui-ci et la Colovie restent tendues. Elles ne changent qu'avec l'avènement de l'impératrice Herda qui parvient à les améliorer[9].

Le couronnement de Reman Cyrodiil en 1E 2703 mène à la formation du Second Empire et à la fusion de la Colovie et du Nibenay[7][10].

L'assassinat de Savirien-Chorak fait exploser à nouveau Cyrodiil et la Colovie redevient indépendante[7].

L'avènement de la dynastie des longères rassemble à nouveau la Colovie et le Nibenay sous la même bannière.

Au cours de la Guerre des Alliances, la propagande impériale tente de faire appel à l'orgueil colovien pour justifier une tentative d'annexion[11] des territoires septentrionaux de la Marche de la Camarde[12][13].

Par la suite, les troubles de l'Interrègne mènent à une nouvelle séparation de la Colovie et du Nibenay[3].

À la fin de la Deuxième Ère, Cuhlecain, roi d'Épervine, alors membre des états coloviens, arrive à capturer la Cité Impériale et à fusionner à nouveau la Colovie et le Nibenay[14]. Les royaumes de Hauteroche et Bordeciel, ne souhaitant pas un retour de la domination impériale, lancent une attaque contre la Colovie. Ils sont cependant défaits par les armées du général Tiber Septim[3].

Vers 3E 249, la région est envahie par Haymon Camoran et son armée de morts-vivants[15] jusqu'en 3E 267[16].

En 4E 17, Titus Mede, seigneur colovien, capture la Cité Impériale mettant ainsi un terme à l'Interregnum de la Couronne de fureur et reformant l'Empire[17].

Notes et références

Apparitions

Références