Abagarlas

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Abagarlas

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Intérieur en 2E 582
Administration
Province Cyrodiil
Région Terres intérieures
Histoire
Abandon Ère Méréthique
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Carte d'Abagarlas en 2E 582

Abagarlas est une ancienne cité ayléide dédiée à Molag Bal se trouvant sur l'île de la cité, au millieu du lac Rumare, juste à l'est de la Tour d'or blanc.

Principalement connue pour ses guerriers qui sont loués à d'autres cités en tant que mercenaires, la ville est concurrente de la cité de Délodiil dédiée à Méridia. En effet, les deux cités s'opposent en tout. Délodiil est considérée comme une cité lumineuse alors qu'Abagarlas est une enfant des ténèbres. Aux guerriers d'Abargarlas, Délodiil oppose ses danseurs, artisans et érudits. La rivalité des deux ville atteint son paroxysme lorsque Délodiil fait bâtir une chapelle consacrée à Méridia que d'aucuns qualifient de "morceau d'Ætherius déposé sur le monde mortel". Le roi d'Abagarlas Anumaril décide de répondre avec un autel plus grandiose encore et dédié à Molag Bal. Cependant, ses sujets ne sont pas des artistes mais des guerriers et l'autel, certes plus grand, n'attire que l'indifférence des habitants de Délodiil. Fou de rage, le roi d'Abagarlas profane le petit autel à Méridia au sein de sa cité[1] et marche avec son armée sur Délodiil dans le but de sacrifier tous ses habitants grâce à une arme appelée le Mortuum Vivicus[2].

Consciente de la menace sur ses sujets, Méridia informe les habitants de Délodiil qui dépêchent une petite force d'intervention au sein d'Abagarlas pour détruire le Mortuum Vivicus[3]. La mission est un succès. La force d'intervention parvient à pénétrer dans la ville, assassiner la famille royale et gravement endommager le Mortuum Vivicus avant que Molag Bal ne l'emporte en Havreglace[4] avec les cryptes mortuaires de la cité[5]. Les assaillants s'enfuient[6][7][8] avant que Méridia ne détruise totalement la ville avec sa lumière[9].

Les ruines de la ville disparaissent peu à peu dans le sol de Cyrodiil où on finit par les oublier[10].

En 2E 582, des membres de la Guilde des Guerriers, apprenant que le Mortuum Vivicus n'a pas été détruit et que Molag Bal projette de s'en servir à nouveau lors de la Coalescence, parviennent à retrouver trace de la ville. Ils y pénètrent par magie, vraisemblablement avec l'aide de Méridia, et suivent les traces des assaillants de Délodiil qui font revivre les événements sous forme spectrale. Les membres de la Guilde découvrent ainsi comment leurs prédécesseurs ont endommagé le Mortuum Vivicus et quittent la cité[4] qui sombre à nouveau dans l'oubli.

Aux environs de 3E 433, un lettré altmer anonyme découvre une entrée jusqu'aux ruines de la ville en traversant une grotte proche des égouts de la prison Impériale. Il parvient, avant d'être tué par les créatures encore présentes dans les ruines, à traduire trois tablettes contemporaines de l'abandon de la ville qui éclairent le ressenti des habitants lors de la destruction de la cité par Méridia[11].

  • Enfant-Méridia, puissance racine terre, pareil à une vague (terre inondée ?). Gens-dehors (Fuite ? Présent ? Impératif ?).
  • Heure de la quatrième étoile (heure ?) Terreur des terreurs de Méridia vient (est venue ?)
  • Poseurs-pierres (maçons) sans repos (éveillés ?) Méridia. Terreur des terreurs. En hâte vers refuge.

Galerie

Notes et références