Garlas Malatar

Garlas Malatar

Caverne du Haut bois

Administration

Province	Cyrodiil
Région	Côte d'or

Histoire

Fondation	ère Méréthique
Abandon	post-révolte alessienne

Garlas Malatar est une ancienne cité-état ayléide située au nord-ouest d'Anvil et au sud-ouest de la seigneurie colovienne de Crowhaven. Elle est l'avant-poste le plus occidental de l'Ayleidoon.

Histoire

Vers la fin de l'Ayléidoon, Garlas Malatar est une cité fortifiée, à la tête d'un royaume dévoué à Méridia, la princesse daedroth des énergies infinies. C'est un port prospère et cosmopolite guidant les navires de son fanal et leur offrant un havre sûr. Elle est alors dirigée par le roi Narilmor.

Lors de la révolte Alessienne, la cité se range derrière Umaril, champion de Méridia. A la défaite de celui-ci au Temple des Ancêtres, Narilmor referme les frontières de son royaume. Il ne répond pas aux appels de ses pairs qui, dans un acte désespéré, recherchent un puissant artefact afin de repousser les forces d'Alessia. Cet artefact, la Ragepierre est réputée être aux mains des Dwemers de Mzuleft, et les royaumes ayléides toujours en lutte envoient leurs armées assiéger la cité.

A l'insu de tous cependant, la princesse Méridia a confié à son héraut un fragment de la Ragepierre, afin qu'il le protège. C'est pour accomplir ce «devoir sacré» que le royaume à se replier sur lui-même et à refuser l'accueil de réfugiés et d'étrangers.

Garlas Malatar finit par tomber et est détruite vers la fin de la révolte de la reine esclave et ses ruines sont scellées par ses derniers habitants afin de protéger le fragment de la Ragepierre. Ils se dévouent à cette tâche pendant plus de trois mille ans.

Durant le troisième siècle de la deuxième ère sous le règne des potentats akavirois, la Maison Tharn convainc les potentats de fonder un fort au pied des ruines afin d'explorer la cité. Mais ce bastion, fort Brumeguet, est démoli peu de temps après son érection par une catastrophe mal déterminée. L'expédition disparaît dans les ruines à la même période, non sans avoir annoncé avoir retrouvé un objet, le fameux fragment.

Durant la guerre des Alliances, des Minotaures patrouillent à l'extérieur des ruines. Mais alors que la quête pour la Ragepierre est relancée par Abnur Tharn dans l'espoir de mettre fin à la guerre, les profondeurs de la cité sont redécouvertes par une équipe d'Indomptables secondés par l'aventurière Tharayya. Les membres de l'expédition rémane sont retrouvés à cette occasion, occupant toujours les ruines de Fort Brumeguet. Ils avaient bien retrouvés le fragment de la Ragepierre mais, confrontés aux protections magiques l'entourant, étaient devenus des Purifiés, des mortels magiquement alimentés par les énergies de la Princesse daedroth. Désormais immortels et forcés de protéger l'objet, ils ont rejoint les forces du roi Narilmor.

Le roi ayléide, devenu le gardien immortel de la Ragepierre, réveille les forces de sa cité et appelle à son service les puissances de sa maîtresse, mais le fragment de la Ragepierre lui est finalement arraché. Cet événement est précurseur de la Rage des Dragons qui impacte toute la province d'Elsweyr.

Durant la crise d'Oblivion, Umaril se réfugie à l'intérieur des ruines avec ses Auroriens après son retour. Il redresse certaines des défenses magiques de la cité, notamment l'Orbe noir, une relique capable d'invoquer des Auroriens, puis se lance dans la destruction des lieux de culte des Neuf divins. Garlas Malatar est cependant assiégé par l'ordre des Chevaliers des Neuf reformé, et Umaril est vaincu à nouveau par un élu des Neuf et chef de l'ordre : le Divin Croisé.

Galerie

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  Garlas Malatar en 2E 583

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  Garlas Malatar en 3E 433

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  Intérieur de Garlas Malatar

• ESO - Meridia Style.jpg

  Équipement des gardiens de Garlas Malatar