Utilisateur:Irthène/Bac à sable

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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L'Unique est un dieu totalement flou, dont on ne connait pas réellement les frontières et, de ce qu'on perçoit de lui, comporte une signification mytho-poétique très importante, même si les sources sur lui sont anémiques. Notre connaissance sur celui-ci est restreinte du fait que quelqu'un brûla tous les monastères contenant les livres sur lui.

Sur le plan divin

Beaucoup d'érudits ont étudié l'Unique en cherchant sont identité et ses actions sur Nirn:

  • Certains disent que l'Unique est un abstrait et une représentation inconnue d'un simple dieu, le plus souvent référé à L'Unique. Tous les autres dieux sont considérés comme une réflexion fracturée de lui. Cette description est aussi celle du Godhead
  • Selon Alessia, Shezarr est le "divin manquant", un dieu absent, Talos n'a fait que prendre sa place, l'Unique n'est plus le "divin manquant". Le prophète des chevaliers des neufs irait jusqu'à affirmer que Talos est l'Unique.
  • D'après certains textes, Alessia, La Reine-Esclave, écrasa les Ayléïdes et s'empara de la Tour d'Or-Blanc et de sa Pierre : Chim-el-Adabal. Le mythe disant cette Pierre lui fut donnée par Akatosh serait un mensonge, les textes plus anciens parlent de Shezarr (le nom Nédique de Lorkhan) et non d'Akatosh (le nom elfique de Auriel, l'ennemi juré de Shezarr). Le Temple de l'Unique serait donc le Temple de Shezarr (Lorkhan).
  • D'autres personnes disent que l'Unique est relaté à une "intégrité" de chercher à parvenir dans le CHIM et sa Tour couronnée. Il est l'originel et ultime unité (ou encore, l'individualité) de l'Aurbis, l'individuelle-unité que nous somme supposés trouver, et la possibilité de notre réalisation de ça. (toutes) Les idées d'Akatosh-Lorkhan semble être en accord avec ça. Toutes les divinités et non-divinités ne sont que des aspects d'un plus grand ensemble: l'Unique.

En rassemblant ces différentes versions, l'Unique est sans doute le Godhead ou Shezarr en tant qu'Akatosh.

Culte

L'Unique est le dieu principal des impériaux de Cyrodiil[1], ainsi, beaucoup d'empereurs, tel que Reman II[2], ou de familles hauts placées dans l'empire, tel que la famille Septim, allaient le prier. C'est d'ailleurs Tiber Septim qui remit cet ancien culte nordique au goût du jour[3]. D'après les croyances, du fait que le physique de Tiber changea peu au fil de sa vie, des rumeurs circulèrent à son sujet : on raconta que ses mages avaient trouvé le moyen de prolonger son existence, et qui plus est, que l'Unique l'avait rendu immortel[4]. Des personnes d'autres races crurent également à l'Unique au fil de l'histoire, souvent par obligation impériale, l'une des plus connues est Barenziah, qui fut accueillie par le temple de l'Unique lorsque Jagar Tharn prit la place de l'empereur Uriel Septim VII[5].

Les prêtres du temples de l'Unique de la cité impériale disent que l'Unique apprit aux impériaux à s'unir contre les créatures malfaisantes tels que les Orques, Trolls, Gobelins et autres et les incita à cesser de se battre dans leur propre camp[3].

Histoire

Au commencement de l'Ordre Alessien, antérieur au culte impérial et dont le culte repose sur l'Unique, ont fleurie quelques uns des préceptes et idées de l'Ordre, le Temple de l'Unique à Cyrodiil, beaucoup de sectes Maruhkati, Ancestral-Mothism, et, le plus connus d'entre eux, la Guilde des Mages[6]. Sainte Alessia, la fondatrice de cet ordre, émergea dans la jungle côtière désormais nommée Ouest Colovien, où un prophète du nom de Marukh, qui avait parlé à l'"Illuminée", Sainte Alessia, avait commencé à remettre en question la légitimité du règne des Elfes. Ces convictions conduisirent à un Dieu Unique de plus en plus abstrait et méconnaissable. Les Alessiens furent assez sages pour réaliser qu'ils devaient incorporer d'anciens éléments polythéistes dans leur nouvelle religion pour qu'elle soit mieux acceptée. Les aspects divins vénérés par les différents Humains et Aldmers sont reconnaissables dans la myriade de saints et d'esprits du canon Alessien naissant. Il ne fallut guère de temps pour que l'Ordre domine toutes les autres religions de Tamriel, et son pouvoir atteignit des proportions stupéfiantes. Près d'un tiers de la Première Ère passa sous leur domination théocratique. Lorsque son sacerdoce devint trop étendu pour se supporter lui-même, l'Ordre commença à s’entre-déchirer. Avec la séparation des terres de l'Ouest de Cyrodiil de l'Empire, trop d'argent et de territoire avaient été perdus. La Guerre de la Vertu éclata, et l'Ordre qui avait presque gouverné le monde se défit de lui-même en dix ans[7]. Sainte Alessia se fit surtout connaître pour avoir été la première à recevoir le sang de dragon, un don d'Akatosh. Elle reçu alors l'Amulette des rois et alluma pour la première fois les Feux du dragon dans le Temple de l'Unique. Depuis cet instant, chaque fois qu'une personne reçoit l'amulette, elle allume les feux du dragon au temple de l'Unique[8].

La cité impériale est l'endroit principale du culte de l'Unique, Sainte Alessia en personne serait enterrée sous le temple de l'Unique de la cité[9]. Calaxès, archevêque de l'Unique, et Pélagius I, empereur, tout les deux membres des Septim, furent respectivement tuer par la garde impériale[10] et la Confrérie Noire[11] alors qu'ils priaient l'Unique dans son temple. D'autres endroits, tels que Vivec[12] ou le Fort Silène[13] permettent aux légionnaires ou pratiquant du culte impérial de s’adresser au fidèle de l'Unique.

En 3E 433, en pleine Crise d'Oblivion, Martin Septim, dernier héritier de la lignée Septim, se rendit au Temple de l'Unique il y décida de se sacrifier pour arrêter l'invasion en brisant l'Amulette des rois et en se transformant en dragon avatar d'Akatosh. Le dragon animé par sa puissance divine renvoya sans mal Méhrunes Dagon dans son plan d'Oblivion d'où il était sorti; une fois le combat fini il se transforma en statue de pierre au beau milieu du Temple de l'Unique et toutes les portes d'Oblivion se refermèrent[14].

Notes et références