Bravil : Différence entre versions
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En 3E 433, la ville est décrite comme la plus pauvre et la plus miteuse des grandes villes de Cyrodiil. Les maisons, s'entassant sur plusieurs étages, sont construites en vieilles poutres de bois pourries par l'air fétide et humide de la rivière qui sert à la fois d'égout et de port à la ville<ref>[[Guide de Bravil]]</ref>. | En 3E 433, la ville est décrite comme la plus pauvre et la plus miteuse des grandes villes de Cyrodiil. Les maisons, s'entassant sur plusieurs étages, sont construites en vieilles poutres de bois pourries par l'air fétide et humide de la rivière qui sert à la fois d'égout et de port à la ville<ref>[[Guide de Bravil]]</ref>. | ||
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| − | Bravil était à l'origine une ville [[ayléide]]. Ses habitants lui donnaient alors un nom que l'on peut traduire par "maison". | + | |
| + | Bravil était à l'origine une ville [[ayléide]]<ref>[[Cités ayléides de Val-boisé]]</ref>. Ses habitants lui donnaient alors un nom que l'on peut traduire par "maison". | ||
<br>Ses habitants auraient été les derniers citadins ayléides à être chassés par l'Armée d'Alessia, au 2è siècle de l'Ère première . Trois fois, les Ayléides auraient réussi l'exploit de reprendre la ville suite à un siège victorieux des humains, s'infiltrant à l'intérieur de ses murailles en utilisant des sorts de lévitation et de respiration aquatique <ref>[[Bravil : fille Niben]]</ref>. Une fois qu'ils comprirent le subterfuge et que des renforts furent envoyés, les Ayléides furent enfin chassés. Ces renforts étaient menés par un centurion de l'armée d'[[Alessia]], Teo ''Bravillius'' Tasus, dont la ville obtint le nom. | <br>Ses habitants auraient été les derniers citadins ayléides à être chassés par l'Armée d'Alessia, au 2è siècle de l'Ère première . Trois fois, les Ayléides auraient réussi l'exploit de reprendre la ville suite à un siège victorieux des humains, s'infiltrant à l'intérieur de ses murailles en utilisant des sorts de lévitation et de respiration aquatique <ref>[[Bravil : fille Niben]]</ref>. Une fois qu'ils comprirent le subterfuge et que des renforts furent envoyés, les Ayléides furent enfin chassés. Ces renforts étaient menés par un centurion de l'armée d'[[Alessia]], Teo ''Bravillius'' Tasus, dont la ville obtint le nom. | ||
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En 3E 433, le fantôme d'un marin marchant le long de la baie intriguait les habitants. Un aventurier découvrit que c'était le second d'un navire donc l'équipage s'était mutiné<ref>[[Journal de l'Emma May]]</ref>. Il apporta le repos à son âme et celui-ci lui offrit une carte vers son ancien trésor<ref>[[Carte de Grantham Blakeley]]</ref>. | En 3E 433, le fantôme d'un marin marchant le long de la baie intriguait les habitants. Un aventurier découvrit que c'était le second d'un navire donc l'équipage s'était mutiné<ref>[[Journal de l'Emma May]]</ref>. Il apporta le repos à son âme et celui-ci lui offrit une carte vers son ancien trésor<ref>[[Carte de Grantham Blakeley]]</ref>. | ||
Version du 25 juin 2017 à 16:16
Pour les articles homonymes, voir Bravil (homonymie).
| Province | Cyrodiil |
|---|---|
| Région | Vallée de Nibenay |
Bravil était une ville de Cyrodiil située au bord de la baie du Niben, à l'embouchure de la rivière Larsius le long de la route Verte.
Structure
En 3E 433, la ville est décrite comme la plus pauvre et la plus miteuse des grandes villes de Cyrodiil. Les maisons, s'entassant sur plusieurs étages, sont construites en vieilles poutres de bois pourries par l'air fétide et humide de la rivière qui sert à la fois d'égout et de port à la ville[1].
Les habitations se massent autour de la statue de la vieille femme chanceuse présente depuis la première ère près de l'entrée de la ville. Certains pensaient que la Mère de la Nuit était enterrée sous la statue[2].
On trouve dans la partie ouest de la ville la chapelle de Mara ainsi que la guilde des Mages, légèrement au sud.
De l'autre côté de la rivière, au sud, on observe quelques habitations ainsi que diverses échoppes.
Enfin, le château domine la baie au sud-est de la ville[3].
Histoire
Bravil était à l'origine une ville ayléide[4]. Ses habitants lui donnaient alors un nom que l'on peut traduire par "maison".
Ses habitants auraient été les derniers citadins ayléides à être chassés par l'Armée d'Alessia, au 2è siècle de l'Ère première . Trois fois, les Ayléides auraient réussi l'exploit de reprendre la ville suite à un siège victorieux des humains, s'infiltrant à l'intérieur de ses murailles en utilisant des sorts de lévitation et de respiration aquatique [5]. Une fois qu'ils comprirent le subterfuge et que des renforts furent envoyés, les Ayléides furent enfin chassés. Ces renforts étaient menés par un centurion de l'armée d'Alessia, Teo Bravillius Tasus, dont la ville obtint le nom.
En 2E 578, alors qu'une ancre noire tombe sur la Cité Impériale, la capitaine d'une légion de l'armée impériale fuit la cité vers Bravil. Manquant de ravitaillement, elle demande au maire de fournir des provisions. Celui-ci refuse, arguant que la ville, déjà très pauvre, ne peut se passer de la moindre denrée. Folle de rage, la capitaine ordonne le massacre de la ville qui tente de résister et parvient à repousser la légion au prix de nombreuses vies[6].
En 3E 433, le fantôme d'un marin marchant le long de la baie intriguait les habitants. Un aventurier découvrit que c'était le second d'un navire donc l'équipage s'était mutiné[7]. Il apporta le repos à son âme et celui-ci lui offrit une carte vers son ancien trésor[8].
Suite à la crise d'Oblivion, la ville se rebella contre l'Empire, devint brièvement un état indépendant et fit la guerre à la cité de Leyawiin, qui avait également fait sécession, avant d'être soumis par le nouvel Empereur Titus Mede.
En 4E 40, Bravil était gangrenée par le crime[9].
Durant la Grande Guerre, la ville tomba face aux troupes du Domaine Aldmeri[10].
En 4E 188, des émeutiers détruisirent la statue de la vieille dame chanceuse et le sanctuaire de la Confrérie Noire qui se trouvait en dessous[11].
