Rimmen
Rimmen, signifiant les "hommes du bord", nom utilisé par les khajiits pour désigner leurs habitants[1], est une ville au Nord-Est d'Elsweyr.
Structure
Rimmen se caractérise par des bâtiments de pierre couleur ivoire avec peu de tours, mais de nombreux dômes.
La place du marché, vide en son centre, est entourée de tentes et de stands et délimitée par des canaux. Une large avenue bordée par ces mêmes cours d'eau mène vers le palais de la cité.
Le palais est un édifice à l'apparence antique posé sur un socle rocheux à plusieurs niveaux. Chaque étage accueille plusieurs bâtisses ainsi que des étendues de terre. Au sommet, se trouve un bâtiment cylindrique surmonté d'un large dôme doré. De l'eau s'écoule en cascade sur les flancs du palais pour alimenter le bassin qui l'encercle[2]. Une Guilde des Guerriers se glisse parmi les nombreuses habitations et permet ainsi aux plus jeunes de développer leurs méthodes de combat[3].
La ville est habitée par les Lambasters Joviaux qui ont pour particularité de vénérer le prince Daedra Vil Clavicus[4].
Histoire
Depuis sa création en des temps immémoriaux, la ville est connue comme étant un point de passage de caravanes khajiits[5].
Du temps où les Akavirois ont pris le contrôle de la ville, ils ont construit en son enceinte un lieu de pèlerinage, le Tonenaka, dont on dit qu'il accueille dix mille statues[2].
En 2E 576, après le Coup d'état qui a eu lieu au mois soufflegivre de la même année, le pouvoir fut remis à Euraxia Tharn, la demi-sœur de Abnur Tharn[6].
Au cours de l'Ère Troisième, Rimmen devient une des plaques tournantes du trafic du skouma[5].
Lorsque la coutume des combats de gladiateurs se répand dans tout Tamriel au cours de la Troisième Ère, Rimmen se dote de sa propre équipe, appelée "les Crushers".[7].
Dans les années 40 de la Quatrième Ère, Rimmen est un royaume indépendant. La ville subit de grosses restrictions, elle refuse l'accès à certaine tribu jugée comme "hostiles"[2].
La ville est référencée dans une chanson traditionnelle contant l'annuel bal hivernal de la cour[8].
