Secunda : Différence entre versions
| Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
| − | [[image: | + | [[image:Secunda.png|center]] |
[[Secunda]] (''June'' ou encore ''[[Jone]]'' en ehlnofex) est la plus petite des lunes de [[Nirn]], la plus grande étant [[Masser]]. | [[Secunda]] (''June'' ou encore ''[[Jone]]'' en ehlnofex) est la plus petite des lunes de [[Nirn]], la plus grande étant [[Masser]]. | ||
Version du 4 mai 2018 à 17:31
Secunda (June ou encore Jone en ehlnofex) est la plus petite des lunes de Nirn, la plus grande étant Masser.
Selon les cultures, on la considère comme un esprit servant le Plan Mortel, un dieu mineur ou encore un dieu étranger. Une théorie répandue prétend qu'elle serait une des moitiés du corps de Lorkhan[1]. Il est intéressant de noter que les lunes ne sont pas représentées sur les armoiries dwemer.
Elles sont comme le plan mortel, c'est à dire sujettes à la mortalité. Et à vrai dire, les lunes sont mortes depuis bien longtemps. Elles étaient autrefois d'un blanc pur et parfaitement lisses, mais de nos jours, leur peau est en putréfaction et se désagrège car leurs plans sont en train de mourir lentement[2].
De par leur nature de plan, les lunes sont de petites planètes dans la mesure où des masses infinies de tailles infinies puissent être plus petites que d'autres. Les mortels les perçoivent cependant sous la forme de sphères avec des cratères remplissant leur surface et possédant des orbites et des phases.
Masser et Secunda ont une grande influence sur les Khajiits, leur donnant leurs formes en fonction des différentes phases du couple des lunes de Nirn.
En 1E 2757, Reman entreprit de conquérir les lunes mais disparut avant la fin de la construction du navire-forteresse Mégalomoth qui devait faire la traversée. C'est son fils, Reman II qui acheva la construction et l'atterrissage du vaisseau sur Secunda. Ce qu'il advint par la suite n'est pas connu[3].
Les deux lunes disparurent pour une raison inconnue en 4E 98 pendant les Nuits du Néant. Elles reparurent deux ans plus tard en 4E 100, le Thalmor revendiquant leur retour bien qu'aucune preuve ne fut jamais avancée en ce sens[4].
