Tamriel : Différence entre versions

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Après une période de troubles durant laquelle l'Empire de Cyrodiil avait considérablement perdu en puissance, [[Tiber Septim]] réussit à conquérir et unifier complètement les provinces derrière Cyrodiil, créant ainsi un nouvel empire et déclarant le début de l'Ère troisième.<br>
 
Après une période de troubles durant laquelle l'Empire de Cyrodiil avait considérablement perdu en puissance, [[Tiber Septim]] réussit à conquérir et unifier complètement les provinces derrière Cyrodiil, créant ainsi un nouvel empire et déclarant le début de l'Ère troisième.<br>
L'Empire resta globalement uni les 500 ans qui suivirent mais la chute de la dynastie Septim suite à la [[Crise d'Oblivion]] finirent par le faire éclater.
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L'Empire resta globalement uni les 500 ans qui suivirent mais la chute de la dynastie Septim suite à la [[Crise d'Oblivion]] finit par le faire éclater.
 
<br>Par la suite, les Mede prirent le pouvoir et tentèrent d'unifier à nouveau le continent, mais les Mers se rebellèrent lors de la [[Grande Guerre]] et contestèrent sérieusement le pouvoir de l'Empire en déclin, sans réussir toutefois encore à le remplacer.
 
<br>Par la suite, les Mede prirent le pouvoir et tentèrent d'unifier à nouveau le continent, mais les Mers se rebellèrent lors de la [[Grande Guerre]] et contestèrent sérieusement le pouvoir de l'Empire en déclin, sans réussir toutefois encore à le remplacer.
  

Version du 30 mai 2018 à 19:26

Tamriel, la "Beauté de l'Aurore" en langue elfique, est un continent de la planète Nirn.

On trouve au Nord de Tamriel le continent d'Atmora, celui d'Akavir à l'Est et celui de Yokuda à l'Ouest.

Géographie

Le continent de Tamriel

De par ses 12 millions de km², Tamriel présente toutes sortes de climats et d'environnements, des montagnes de Bordeciel aux forêts de Cyrodiil, des volcans de Morrowind aux délicates collines de l'Archipel de l'Automne, de l'aridité de Martelfell à l'humidité du Marais Noir.

Le continent est divisé en neuf provinces principales, chacune étant dominée par un peuple depuis plusieurs millénaires. Elles ont toutes un accès à la mer, et la plupart partagent une frontière commune avec Cyrodiil, située au centre du continent[1].

La quasi-totalité des pays de Tamriel sont des monarchies absolues, dirigées par des rois ou des nobles. Certains sont tyranniques, d'autre bons. Dans de plus rares cas, des provinces peuvent être dirigées par des dictateurs ou par un régime théocratique. Enfin, bien que cela tienne plus du mythe que de la réalité, il existerait également une république[2].
Depuis son émergence, l'Empire de Cyrodiil a tenté d'assujettir toutes les régions de Tamriel, avec plus au moins de succès selon les époques. L'Empire laisse une certaine autonomie aux Provinces dans leurs gouvernances, selon sa propre puissance et son empereur en place, parmi d'autres facteurs.

Cyrodiil et les provinces situées à son Nord-Ouest, sont essentiellement peuplées d'Humains. On différencie principalement parmi ceux-ci : les Impériaux de Cyrodiil, les Rougegardes de Martelfell, les Nordiques de Bordeciel et les Brétons de Hauteroche.
L'Archipel de l'Automne, le Val-Boisé et Morrowind sont quant à eux essentiellement occupés par des Mers. Les Mers sont répartis de la manière suivante : les hauts elfes (ou Altmers) vivent sur l'Archipel, les elfes des bois (ou Bosmers) en Val-Boisé, et les elfes noirs (ou Dunmers) en Morrowind.
Quant aux provinces d'Elsweyr et du Marais Noir, elles sont respectivement peuplées par les tribus khajiits et les tribus argoniennes. Il existe aussi une importante communauté orque dans le centre de Hauteroche, dans le royaume d'Orsinium, dont le statut politique est instable, passant tantôt de province officielle reconnue par l'Empire à une simple enclave orque selon les époques.

Culture

Il n'existe pas de culture globale en Tamriel. Chaque peuple a une culture qui lui est propre, et même si l'Empire tente plus ou moins d'imposer sa langue (le Tamrielien) et son culte des Neuf Divins aux différentes races, il tolère la plupart des spécificités locales.

Histoire

L'Histoire des civilisations en Tamriel est particulièrement riche, et il serait impossible de la résumer de manière exhaustive. En résumé :

Tamriel était originellement peuplée par une multitudes de races, mais celles qui étaient le plus représentées étaient les plus humanoïdes, comme les orques, les khajiits, et les argoniens, ou encore les dreughs.

Un jour arrivèrent des colons elfes sur les côtes sud-ouest de Tamriel, depuis le mythique continent (supposé) disparu Aldmeris. Les elfes commencèrent à imposer leur autorité sur toute la Tamriel.

Plus tard, des Humains originaires d'Atmora vinrent s'installer dans le nord de Tamriel, l'arrachant aux mains des elfes au prix de nombreuses pertes.
Suite à l'influence croissante du royaume humain (futur Bordeciel) et à la révolte de ceux réduits en esclavage par les Ayléides, l'hégémonie des Elfes cessa au profit de la montée en puissance des Humains, qui s'emparèrent peu à peu de la majeure partie du continent, sans jamais toutefois pouvoir soumettre complètement Morrowind et l'Archipel de l'Automne. Les Elfes, quels que soient leurs clans, n'acceptèrent jamais totalement la domination humaine. Quant aux indigènes, ils furent au mieux ignorés, au pire massacrés ou parfois pris comme esclaves, même si les Khajiits et les Argoniens conservèrent chacun leur propre province.

Après une période de troubles durant laquelle l'Empire de Cyrodiil avait considérablement perdu en puissance, Tiber Septim réussit à conquérir et unifier complètement les provinces derrière Cyrodiil, créant ainsi un nouvel empire et déclarant le début de l'Ère troisième.
L'Empire resta globalement uni les 500 ans qui suivirent mais la chute de la dynastie Septim suite à la Crise d'Oblivion finit par le faire éclater.
Par la suite, les Mede prirent le pouvoir et tentèrent d'unifier à nouveau le continent, mais les Mers se rebellèrent lors de la Grande Guerre et contestèrent sérieusement le pouvoir de l'Empire en déclin, sans réussir toutefois encore à le remplacer.

Notes et références