La Tombe du fin fond : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Aller à : navigation, rechercher
(la Restriction et l'Etreinte)
(Le Bazar:)
Ligne 18 : Ligne 18 :
 
La place des portails est une grande place comportant des portails stables permettant de de voyager en toute sécurité depuis la Tombe vers d'autres plans d'Oblivion comme les Terres Mortes ce qui permet aussi les prospérité et la richesses de la ville grâce a des échanges commerciaux avec tout Oblivion mais aussi des aventuriers mortels <ref>[[Tombe du Fin fond : la ville des mythes]]</ref>
 
La place des portails est une grande place comportant des portails stables permettant de de voyager en toute sécurité depuis la Tombe vers d'autres plans d'Oblivion comme les Terres Mortes ce qui permet aussi les prospérité et la richesses de la ville grâce a des échanges commerciaux avec tout Oblivion mais aussi des aventuriers mortels <ref>[[Tombe du Fin fond : la ville des mythes]]</ref>
 
==== Le Bazar: ====
 
==== Le Bazar: ====
le Bazar rassemble une masse bien organisée de marchands et d'artisans venus de tout Oblivion qui ont fait la célébrité de la Tombe du Fin fond,les échanges de marchandises ont lieu à toute heure<ref name=guide/> <br>
+
Le Bazar rassemble une masse bien organisée de marchands et d'artisans venus de tout Oblivion qui ont fait la célébrité de la Tombe du Fin fond,les échanges de marchandises ont lieu à toute heure<ref name=guide/> <br>
 +
 
 
==== La place des artisans: ====
 
==== La place des artisans: ====
 
comme son nom l'indique il s'agit d'une place comportant les artisans Deadriques ou non de la Tombe du fin fond<ref name=guide/> <br>  
 
comme son nom l'indique il s'agit d'une place comportant les artisans Deadriques ou non de la Tombe du fin fond<ref name=guide/> <br>  

Version du 6 juillet 2024 à 23:32

Ébauche

Cet article est une ébauche concernant La Tombe du fin fond. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant.

La tombe du fin fond son etendu de sable et sa nuit eternelle

La Tombe du fin fond est un plan d'Oblivion comportant une ville (située dans une étendue infinie de sable, plongée sous une nuit étoilée éternelle) et qui a pour particularité de ne pas être dirigé par un Prince daedroth. Il a pour surnom le Palanquin céleste a cause des quatres squelettes géants, ou Porteurs qui entourent la ville. il sert de terrain neutre pour les Deadra de tout Oblivion ainsi que pour les voyageurs mortels. Pour assurer la neutralité du plans l’Étreinte quelque chose que l'on pourrait approcher d'une milice Deadra y fait respecter un pacte magique appelé la Restriction qui lie tous les Daedra et les force à maintenir un certain niveau de paix et de neutralité.
Ce plan est connus aussi pour sa Place des portails permettant de de voyager en toute sécurité depuis la Tombe vers d'autres plans d'Oblivion comme les Terres Mortes. Ainsi que son bazar permettant d'échanger des marchandises de tout Oblivion et au delà[1]

Histoire et légendes:

Une théorie assez populaire affirme que la Tombe du Fin fond était autrefois le domaine de quatre princes Daedra rivaux, qui se disputèrent la souveraineté totale de ce domaine. Constamment en conflit, ils finirent par s'entre-détruire simultanément et leur corps s'effondra et se décomposa, ne laissant que les quatre squelettes géants que nous voyons aujourd'hui. Au fil du temps, les Daedra et les mortels s'installèrent dans ce royaume sans prince, construisirent une ville entre les squelettes.
Une autre histoire moins connue suggère que la Tombe du Fin fond était autrefois une sorte de nécropole pour une race de géants qui n'étaient ni Daedra, ni Aedra ni mortels.
Une dernière version affirme qu'avant de s'installer en cet endroit précis d'Oblivion la ville était portée par les quatre Porteurs. C'est de là qu'est né le surnom de « Palanquin céleste. » Dans un âge oublié, ces colosses déplaçaient la ville sur leurs épaules comme les porteurs d'une litière. Cela dura une éternité, et établit des passages entre la ville et les royaumes qu'elle visitait, source des portails permanents qu'on y trouvons encore. l'idée de quitter leur charge leur était devenue insupportable, aussi s'assirent-ils et se laissèrent-ils mourir à côté de ceux qu'ils avaient si fidèlement servis. [2]

la Restriction et l'Etreinte

la Restriction est un pacte magique semblant parfois assez labyrinthique et aux mortels restreignant la violence dans la tombe du fin fond assurant la neutralité du plan et permettant une paix relative. L'Etreinte est un groupe de Deadra chargé de faire appliquer mais aussi d’interpréter le pacte qui semble être particulièrement complexe par exemple le pacte semble autoriser la violence dans certains cas et dans certains lieux (comme une pièce d'un batiment mais pas dans dans une autre). Les mortels ont bien souvent du mal a savoir ou sont les limites du pacte quand ils sont protégés et quand ils ne le sont pas.[3].Les mortels ne semblent ne pas faire partie du pacte et sont généralement ignoré par l'Etreinte[1]

Les différents lieux et quartiers de la Tombe du fin fond:

La place des portails:

La place des portails est une grande place comportant des portails stables permettant de de voyager en toute sécurité depuis la Tombe vers d'autres plans d'Oblivion comme les Terres Mortes ce qui permet aussi les prospérité et la richesses de la ville grâce a des échanges commerciaux avec tout Oblivion mais aussi des aventuriers mortels [4]

Le Bazar:

Le Bazar rassemble une masse bien organisée de marchands et d'artisans venus de tout Oblivion qui ont fait la célébrité de la Tombe du Fin fond,les échanges de marchandises ont lieu à toute heure[1]

La place des artisans:

comme son nom l'indique il s'agit d'une place comportant les artisans Deadriques ou non de la Tombe du fin fond[1]

La Pagaille:

La pagaille est une sorte de bidonville labyrinthique ou règne l'absence de lois et le désordre ,régulièrement ignoré par l'Etreinte, à cause de son fort pourcentage d'habitants mortels. et ou divers bandes de criminels mortels ou deadriques y règne par la violence et la Restriction ne s'y appliquant pas[1]

Notes et références: