Méris : Différence entre versions

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[[Méris]] la Pacificatrice est une sainte mineure du [[Temple des Tribuns]], protectrice des fermiers et des laboureurs.  
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[[Méris]] la Pacificatrice est une sainte mineure du [[Temple des Tribuns]], protectrice des fermiers et des laboureurs<ref>[[Guide des tenues liturgiques]]</ref>.  
  
 
{{citation|texte=Sainte Méris accorde la Protection de Méris, pour la résistance à la peste.|source=Les Consolations de la prière}}
 
{{citation|texte=Sainte Méris accorde la Protection de Méris, pour la résistance à la peste.|source=Les Consolations de la prière}}
  
Toute petite, elle montra de grands dons pour la [[guérison]] et elle reçut très tôt une formation de guérisseuse. Elle avait l’habitude de se rendre sur les champs de bataille, toute de blanc vêtue et suivie de ses fidèles, pour soigner les guerriers des deux camps, sans aucune distinction. Suivant son exemple, les soldats des [[Grandes Maisons]] se vêtirent eux aussi de blanc et refusèrent de continuer à s’entretuer<ref>[[La Vie des Saints]]</ref>.
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Toute petite, elle montre de grands dons pour la [[guérison]] et elle reçoit très tôt une formation de guérisseuse. Elle a l’habitude de se rendre sur les champs de bataille, toute de blanc vêtue et suivie de ses fidèles, pour soigner les guerriers des deux camps, sans aucune distinction. Suivant son exemple, les soldats des [[Grandes Maisons]] se vêtissent eux aussi de blanc et refusent de continuer à s’entretuer<ref>[[La Vie des Saints]]</ref>.
  
 
== Notes et références ==
 
== Notes et références ==

Version du 6 février 2018 à 21:39

Méris la Pacificatrice est une sainte mineure du Temple des Tribuns, protectrice des fermiers et des laboureurs[1].

Sainte Méris accorde la Protection de Méris, pour la résistance à la peste.— Auteur inconnu, Les Consolations de la prière

Toute petite, elle montre de grands dons pour la guérison et elle reçoit très tôt une formation de guérisseuse. Elle a l’habitude de se rendre sur les champs de bataille, toute de blanc vêtue et suivie de ses fidèles, pour soigner les guerriers des deux camps, sans aucune distinction. Suivant son exemple, les soldats des Grandes Maisons se vêtissent eux aussi de blanc et refusent de continuer à s’entretuer[2].

Notes et références