Crevassais
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Les Crevassais ou Hommes-sorcières, aussi surnommés le Peuple des Cimes[1], les fous de la crevasse ou encore les Parjures, sont un peuple tribal de la Crevasse dont les ancêtres seraient des descendants des anciens Brétons de Hauteroche[2].
==Histoire
Ils sont mentionnés pour la première fois dans les Propriétés du jarl Gjalund puis lorsque Hestra soumit la Crevasse aux alentours de 1E 1030[3][4].
en 2E 430 le potentat Akavirois Savirien-Chorak est assassiné par la Confrérie noire laissant le trône de l'Empire vide et sans héritier .Il s'en suit une période appelée l'Interrègne de l'Ère seconde ou l'Empire sombre dans la guerre civile.
un siècle après le début de l'Interrègne soit dans les environs de 2E 530 le chef des Crevassais Durcorach, aussi appelé Durcorach le Dragon Noir profita de la situation instable pendant l'Interrègne pour envahir les reliquats de l'Empire et a s'emparer du trône créant ce que l'on appellera la dynastie des Empereurs des longères.
Une fois le trône de l'empire pris ,Durcorach mena une armée de crevassais mena un raid en Hauteroche en 2E 541, détruisant et pillant plusieurs villes avant d'être défait et tué aux portes de Daguefilante par celui qui allait devenir le Haut Roi Émeric lors de la Guerre des Alliances[5].
Ce fut finalement le petit-fils de Durcorach , Leovic, qui monta sur le trône et devint le deuxième et dernier Empereur des longères. Son règne est assez mal connu. Mais il semblait plus tempéré et diplomate que lui, parvenant même à unifier l'ensemble de Cyrodiil sous sa bannière. conseillé par Abnur Tharn le père de son épouse Clivia Tharn,Leovic autorisât le culte des Daedra en Cyrodiil ce qui eu des conséquences funestes en effet cette décision déclencha une révolte mené par Varen Aquilarios, duc de Chorrol, en 2E 576 .
Varen tua Leovic ce qui mit fin à la dynastie des longères.
À la fin de la Seconde Ère, Tiber Septim les combattit au vieil Hrol'dan dans sa conquête de Tamriel[1]. Après leur défaite, ils entrèrent dans la clandestinité, nourrissant le vœu secret de récupérer un jour leur terre[2][6].
L'occasion se présenta en 4E 174, quand la Légion Impériale occupée à protéger Cyrodiil des assauts du Domaine Aldmeri ne put défendre Markarth et sa châtellenie lorsqu'ils se soulevèrent. Pendant deux ans, ils instaurèrent une sorte de royaume parallèle jusqu'à ce qu'Ulfric Sombrage n'assiège la ville lors de ce que l'on appelle l'Incident de Markarth[7].
Massacrés et contraints à fuir dans les montagnes, ils se barricadèrent dans les nombreuses grottes de la région et ruminèrent leur vengeance. Depuis ils mènent régulièrement des assauts contre les intérêts impériaux et nordiques sur ce qu'ils considèrent toujours comme leur terre.
Le dernier Roi Parjure connu se nommait Madanach[8]. Il fut emprisonné durant l'Incident de Markarth dans la Mine de Cidna[9][10]. En 4E 201, ce même roi réalisa une tentative d'évasion avec l'aide de ses parjures prisonniers. Le résultat de cette tentative est cependant inconnu[11].
Société
Considérés donc des sauvages arriérés[12] adorateurs de Daedra[13] par le reste du monde, c'est un peuple proche de la nature qui fabrique lui-même tout ce dont il a besoin.
Adorant d'anciennes divinités et exécutant d'obscurs rituels considérés comme païens et dangereux par l'Empire[2][6], ils semblent révérer les harfreuses, qu'ils appellent matriarches[14][15][16], et leur étrange magie permettant de remplacer le coeur d'un homme pour en faire un puissant guerrier[3], appelé roncecoeur.
...surgit d'entre les morts, sang de notre sang.”— Harfreuse
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 L'hérésie arcturienne
- ↑ 2,0, 2,1 et 2,2 Les "Fous" de la Crevasse : Apprendre à connaître les Parjures
- ↑ 3,0 et 3,1 La légende de l'Aigle carmin
- ↑ Légendes perdues
- ↑ Épreuves et triomphes d'un monarque
- ↑ 6,0 et 6,1 Guide de poche de l'Empire, Première édition
- ↑ L'ours de Markarth
- ↑ Note de Madanach
- ↑ Journal de Nepos
- ↑ Journal de Thonar
- ↑ TES 5 : Skyrim
- ↑ Journal d'une nageuse
- ↑ Notes de Shamiyad, marchand
- ↑ Missive de Parjure
- ↑ Note de Parjure 1
- ↑ Note de Parjure 2