Umbriel : Différence entre versions
m (→Origines de la ville) |
m (Remplacement de texte — « author » par « auteur ») |
||
Ligne 66 : | Ligne 66 : | ||
{{Quotation | {{Quotation | ||
| text = Ce qui manque à Umbriel, Umbriel ira le chercher | | text = Ce qui manque à Umbriel, Umbriel ira le chercher | ||
− | | | + | | auteur = Un Umbriellien en conversation avec Mere-Glim. |
| source = | | source = | ||
| date = 4E 40 | | date = 4E 40 | ||
Ligne 81 : | Ligne 81 : | ||
— Et si je n’ai aucun usage ? | — Et si je n’ai aucun usage ? | ||
— Alors, nous ne pourrons pas autoriser Umbriel à apprendre votre forme. Nous devrons séparer votre corps de ce qui l’habite et le renvoyer vers le néant. | — Alors, nous ne pourrons pas autoriser Umbriel à apprendre votre forme. Nous devrons séparer votre corps de ce qui l’habite et le renvoyer vers le néant. | ||
− | | | + | | auteur = Un Umbriellien, en conversation avec Mere-Glim |
| source = | | source = | ||
| date = 4E 40 | | date = 4E 40 | ||
Ligne 95 : | Ligne 95 : | ||
{{Quotation | {{Quotation | ||
| text = La plupart d’entre nous sont incapables de s’éloigner d’Umbriel sans perdre leur corpus. Il existe des serviteurs spécialisés auxquels nous faisons appel pour collecter les denrées en contrebas. | | text = La plupart d’entre nous sont incapables de s’éloigner d’Umbriel sans perdre leur corpus. Il existe des serviteurs spécialisés auxquels nous faisons appel pour collecter les denrées en contrebas. | ||
− | | | + | | auteur = Qijne, résidente d'Umbriel, dans une conversation avec Annaïg. |
| source = | | source = | ||
| date = 4E 40 | | date = 4E 40 | ||
Ligne 104 : | Ligne 104 : | ||
{{Quotation | {{Quotation | ||
| text = Nous ne pouvons pas quitter la ville : l’interdit de Vile est toujours là. .../... Nous avons dû devenir un petit univers, un cycle fermé de vie, de mort et de renaissance, un continuum de matière et d’esprit, le tout alimenté, manipulé et organisé par mon ingenium. | | text = Nous ne pouvons pas quitter la ville : l’interdit de Vile est toujours là. .../... Nous avons dû devenir un petit univers, un cycle fermé de vie, de mort et de renaissance, un continuum de matière et d’esprit, le tout alimenté, manipulé et organisé par mon ingenium. | ||
− | | | + | | auteur = Vuhon, dans un échange avec Attrebus et Sul. |
| source = | | source = | ||
| date = 4E 40 | | date = 4E 40 | ||
Ligne 113 : | Ligne 113 : | ||
{{Quotation | {{Quotation | ||
| text = Elle travaillait dans une cuisine, mais une autre l’a envahie pour capturer ton amie. Comme ton histoire des gens qui ont envahi Morrowind, j’imagine. Aujourd’hui, elle œuvre dans une cuisine nettement supérieure. | | text = Elle travaillait dans une cuisine, mais une autre l’a envahie pour capturer ton amie. Comme ton histoire des gens qui ont envahi Morrowind, j’imagine. Aujourd’hui, elle œuvre dans une cuisine nettement supérieure. | ||
− | | | + | | auteur = Lhena, résidente d'Umbriel, dans une conversation avec Mere-Glim, en parlant d'Annaïg. |
| source = | | source = | ||
| date = 4E 40 | | date = 4E 40 |
Version du 24 mai 2014 à 10:14
Umbriel, la Cité Infernale, est une cité de l'Oblivion que le maître-mage Vuhon arrache de son plan d'origine en la transformant en cité volante, capable de voyager dans les différents royaumes de l'Oblivion. Grâce à plusieurs invocations en provenance de Nirn, elle pénètre dans le Mundus en 4E 40[Note 1]. Maintenue en suspension et mue par l'énergie d'âmes mortelles, elle survole les continents en tuant les habitants pour s'approvisionner en âmes. Son passage au-dessus de Tamriel provoque d'énormes troubles et cause la mort de milliers de personnes.
La vie sur Umbriel est essentiellement centrée autour de la nourriture, et la société y est scindée en deux groupes : les puissants et nobles qui mangent (ou plus exactement, dégustent), et leurs vassaux, sur lesquels ils ont un droit de vie ou de mort, qui consacrent leur vie à la chaîne de préparation de leurs repas gastronomiques. Les repas eux-mêmes reflètent la position hiérarchique de chacun : plus on est haut placé, plus on se nourrit d'âmes et de substances spirituelles. Inversement, les êtres situés au bas de l'échelle sociale apprécient les nourritures organiques.
Sommaire
Description
De la taille d'une montagne, et de la forme d'un cône renversé, Umbriel comporte plusieurs niveaux : la surface, la bordure extérieure, les souterrains, les décharges, le puisard et, tout en bas, l'ingenium. Umbriel est conçue comme une ville autonome, organisée et aménagée en surface comme en souterrain avec des circuits d'approvisionnement, de circulation et d'évacuation. Les déchets d'Umbriel sont intégralement déversés dans l'une de ses quatre décharges, qui elles-mêmes débouchent dans le puisard, où ils sont recyclés. L'ingenium, lui, collecte les âmes ennemies et les transforme en énergie destinée à faire flotter et mouvoir ce gigantesque caillou. Des arbres poussent sur tout le pourtour.
À la surface de la cité, la Bordure Circulaire est couverte d'arbres : les Hists qui lui permettent de se mouvoir. La partie centrale à l'air libre est réservée aux nobles et aux puissants. Les édifices reflètent par leur taille et leur luxe le statut social et le niveau hiérarchique de leurs occupants : les plus grands appartiennent aux seigneurs et à la noblesse supérieure. Vuhon, le maître d'Umbriel, réside dans la plus haute tour, ornée d'un dôme spectaculaire de 60 mètres de diamètre en tubes translucides enchevêtrés comme une toile d'araignée, divisant les rayons du soleil en reflets multicolores à la manière d’innombrables prismes.
Le niveau intermédiaire abrite les cuisines, qui préparent quotidiennement la nourriture de tout Umbriel. Chaque cuisine doit s'adapter aux goûts de ses convives, au risque que son personnel soit puni de mort. Chaque seigneur a donc sa propre cuisine, d'autres s'occupent de nourrir les esclaves ou les classes moyennes.
La densité de population nécessite une logistique rigoureuse de traitement des déchets. Pour les éliminer et les recycler, quatre immenses bassins remplis de vers absorbent et digèrent les ordures pour produire un liquide malodorant mais propre. Ces décharges sont réparties stratégiquement et reliées à toutes les cuisines par des vide-ordures.
Une fois les déchets purifiés, les décharges se déversent dans le Puisard, le lieu où tout commence et tout se termine : Les Umbrielliens y naissent, et y sont rejetés quand ils meurent, pour y renaître à nouveau[1][2].
Histoire
Origines de la ville
À l'origine, Umbriel ne s'appelait pas Umbriel et ne volait pas. C'était une cité construite contre leur gré par des Hists dans le plan de Clavicus Vile en Oblivion. Le prince Daedrique du Pouvoir et de la Conjuration avait contraint certains Hists à prendre racine dans son royaume et à y créer un écosystème.
C'est lorsque son destin croise celui de l'épée Umbra et du mage dunmer Vuhon que la Cité devient Umbriel et échappe à Clavicus.
Rappelons aussi brièvement que possible cette longue histoire. Umbra est une épée enchantée capable de capturer des âmes. Fabriquée par une sorcière sur l'ordre de Clavicus, l'arme s'avère instable et insoumise. Clavicus Vile accepte de donner une partie de son âme pour stabiliser l'épée, mais c'est un échec. Au contraire, non seulement Umbra-l'épée continue à faire valoir ses propres velléités, mais Umbra-le-Daedra (la partie d'âme de Clavicus enfermée dans l'épée) affirme lui aussi sa propre volonté contre celle de Clavicus. La sorcière dissimule l'épée avant d'être exécutée.
Après de multiples pérégrinations, Umbra-l'épée et Umbra-le-Daedra reviennent au royaume de Clavicus Vile grâce au Champion de Cyrodiil. Umbra-le-Daedra refuse de nouveau de se soumettre à Clavicus, se réfugie dans la cité des Hists et se débarrasse de Umbra-l'épée. Il pense qu'une fois l'épée disparue, lui-même ne présentera plus d'intérêt aux yeux de Clavicus.
Au même moment, le mage dunmer Vuhon, créateur du premier ingenium, celui-là même qui servit à maintenir en suspension le Ministère de la Vérité au-dessus de la Cité de Vivec, est happé dans le royaume de Clavicus. Sautant sur l'occasion, Umbra-le-Daedra négocie avec Vuhon la construction d'un second ingenium. C'est ainsi que naît Umbriel, qui s'arrache du plan de Clavicus Vile, emportant à son bord Vuhon, Umbra-le-Daedra, et les Hists toujours captifs.
La puissance destructrice et les propriétés particulières d'Umbriel suscitent des convoitises sur Nirn. L'An-Xileel, qui souhaite purger le Marais Noir, des "étrangers et de tous les argoniens corrompus par les étrangers", passe un accord avec Hierem, mage puissant et Premier Ministre de l'Empire de Cyrodiil pour invoquer l'île volante en Tamriel. Hierem souhaite de son côté exploiter le gigantesque réservoir d'âmes que consitute Umbriel, afin d'effectuer à la Tour d'Or Blanc un rituel destiné à le transcender en dieu[3]. Vuhon, lui, recherche Umbra-l'épée, à laquelle Umbriel est vulnérable. Il souhaite aussi se rendre à la Tour d'Or Blanc, pour libérer Umbriel de toute trace d'emprise de Clavicus.
Grâce à l'invocation, Umbriel peut mettre le cap sur Tamriel et traverser le Marais Noir, où il élimine la quasi-totalité des habitants de Lilmoth. Il se rend ensuite dans les ruines de Vivec, où il pense récupérer Umbra-l'épée. Mais l'artefact reste introuvable, et Vuhon décide de s'attaquer à la Cité Impériale. Alors qu'Umbriel assiège la capitale, trois héros, Annaïg Hoïnart, Attrebus Mede et Sul, parviennent à retrouver Umbra-l'épée, détruire Umbra-le-Daedra, vaincre Vuhon, et détruire l'ingenium. Les Hists d'Umbriel, libérés, prennent le contrôle de la ville et la téléportent dans un autre espace-temps de leur choix, où Umbriel se posera enfin sur une terre ferme que ses habitants pourront explorer.[2]
Traces et stigmates
Pour alimenter la ville en âmes et répondre au pacte passé avec l'An-Xileel, Umbriel a tué en masse et vidé nombre de villes et forteresses de leur population, au Marais Noir, en Morrowind et en Cyrodiil.
Au survol de Tamriel, les Hists d'Umbriel ont lâché de nombreuses spores. Il est probable que l'Arbre Endormi de Bordeciel, près de Blancherive, soit un Hist né de ces spores[4]. Il existe d'autres théories quant à la naissance de cet arbre, mais sa sève est un puissant psychotrope, à l'instar de celle des Hists du Marais Noir[5].
Habitants
Origine
Hormis les Hist, l'origine de la population d'Umbriel est incertaine. Quand Vuhon prend le pouvoir sur la cité, il y crée ou importe toutes sortes de créatures soumises, pour subvenir aux besoins de la ville, tels que les galopins, tout droit venus de l'Oblivion, et les hobs. Vuhon crée, également, sûrement à l'aide des Hists d'Umbriel, les proforms, de petits vers vivant dans le puisard. Les proforms jouent un rôle essentiel dans le cycle de vie d'Umbriel. Ils emportent les cadavres et les recyclent, et se collent sur les parois du puisard où ils se développent en cocons, au sein desquels grandissent les futurs Umbrielliens. La forme de chaque être nouveau dépend du type d'âme associé à chaque cocon par l'ingenium. C'est pourquoi on rencontre des elfes et des humains parmi la population autochtone d'Umbriel. Mere-Glim, l'ami d'Annaïg, est en revanche le premier Argonien à rejoindre la cité volante, où il suscite beaucoup d'étonnement et d'intérêt.
L'enveloppe créée par les proforms n'est percée que lorsque le nouvel être est arrivé à maturité. Ainsi, la reproduction est dissociée de la sexualité et se rapproche plutôt d'une forme de réincarnation. En outre, sur Umbriel, on est adulte dès la naissance. La vie et la mort sont des concepts particuliers pour les Umbrielliens, qui savent que chacun d'entre eux est amené à se régénérer et à renaître dans le Puisard après sa mort dans un cycle a priori infini, avec toujours la même âme[1][2]. L'espérance de vie n'excède d'ailleurs pas la vingtaine d'années, du fait que les Umbrielliens naissent déjà adultes et présentent une tendance certaine à s'assassiner entre eux.
Umbriel accueille également des créatures secondaires, tels que les Rachecrocs du puisard, des monstres sous-marins vivant dans les eaux profondes et attaquant tout intrus sur leur territoire. La surface est peuplée d'une multitude d'animaux, oiseaux et insectes. Les cours d'eau fourmillent de poissons et de crustacés. Tout ce qui ne joue pas un rôle essentiel dans le fonctionnement d'Umbriel est a priori destiné à ... être servi dans une assiette.
Le nombre et le rythme de "reproduction" de chaque type d'habitant est régi par l'ingenium (qui attribue des âmes aux cocons) en fonction des besoins de la cité. Il est capable de "reproduire" des races allochtones à partir d'un seul spécimen.
D'autres créatures, telles les larves, suivent Umbriel depuis la terre ferme, sur Nirn. Ce sont elles qui réaniment les victimes d'Umbriel pour en faire des soldats morts-vivants qui viennent grossir les rangs des serviteurs de Vuhon. Les forces destructrices au sol s'accroissent donc systématiquement à chaque nouvelle victime.
Mode de vie
La langue véhiculaire d'Umbriel est un Cyrodiilien standard, incluant toutefois quelques variantes de vocabulaire. Les Umbrielliens vivent en vase clos dans leur "bulle d'Oblivion", sans possibilité d'évasion, d'exploration ou de contact avec le monde extérieur. Autochtones ou immigrants, tous développent de gré ou de force, consciemment ou non, un lien particulier avec l'île volante, de sorte qu'ils ne peuvent sans éloigner sans se désintégrer physiquement et spirituellement.
Ignorant pour la plupart tout du monde extérieur, les Umbrielliens vivent en circuit fermé avec une hiérarchie sociale extrêmement stricte, elle-même régie uniquement par la gastronomie, autour de laquelle se concentrent les rôles et fonctions prédéfinies de chacun, ainsi que tous les conflits de pouvoir.
Les déplacements à l'intérieur-même d'Umbriel sont restreints, chaque catégorie sociale ayant sa propre zone. Le seul moyen d'évoluer dans l'échelle sociale réside dans la gastronomie, et ce sont les cuisines qui jouent le rôle de territoires et de royaumes.
La gastronomie atteint un stade de raffinement tel que quatre nouvelles saveurs ont été découvertes : vif, mort, éthéré et "rien", l'absence de saveur, dont la mise en évidence constitua une véritable révélation culinaire. Seul le palais d'un membre de la haute noblesse est apte à distinguer ces saveurs - que seuls les ingrédients spirituels peuvent révéler.
Culture et spiritualité
Vuhon n'est pas un Dieu mais il ambitionne de le devenir, et de fait les habitants d'Umbriel le considèrent déjà comme tel. Ils ne connaissent par ailleurs aucune autre forme de divinités, ignorant tout de la création, des Aedra, ou même des Daedra et de l'Oblivion dont ils sont pourtant issus. Ils ne connaissent pas non plus la cosmologie de l'Aurbis et n'ont pas la même notion du temps : une année umbriellienne dure deux fois moins longtemps qu'une année tamriellienne[1][2].
Organisation sociale
La société sur Umbriel est organisée selon une hiérarchie sociale extrêmement stricte et rigide, allant du commandant suprême, Vuhon, aux skraws du puisard.
Vuhon, créateur de la ville, a le droit absolu sur celle-ci et la considère, elle et ses habitants, comme faisant partie de lui. Viennent ensuite trois seigneurs : Prixon, Oroy et Ghol. Tous trois ont droit à leur propre appartement privé et à une multitude de maîtresses avec lesquelles ils passent le plus clair de leur temps.
Les trois seigneurs et leur maître ont chacun à leur disposition une cuisine, elle-même commandée par un chef. Ce chef a pour objectif de satisfaire les papilles du seigneur en changeant continuellement de recettes. Il dispose d'une équipe entière de cuisiniers, qui ont eux-mêmes chacun un Hob à disposition comme commis de cuisine et d'un galopin pour manipuler les substances chaudes. Les seigneurs et Vuhon sont difficiles à satisfaire et ne se nourrissent que d'infusions et distillations de substances spirituelles.
Plus bas dans la hiérarchie se trouve la noblesse inférieure, des seigneurs et des dames qui ont toujours besoin de consommer de la matière, mais dont le régime réclame un certain degré de "liqueur spirituelle", bien qu'ils en consomment en petite quantité en espérant pouvoir accéder à un statut plus élevé.
Il y a ensuite la masse, les personnes qui vivent une vie "normale", la plupart sont des fermiers, des pêcheurs ou d'autres métiers qui permettent d'apporter de la nourriture aux cuisines. Ceux-ci ont une alimentation semblable à celle de Tamriel et se satisfont du goût des nourritures organiques.
Tout en bas de l'échelle sociale se trouvent les esclaves, les personnes qui s'occupent des choses les plus répugnantes et les plus dangereuses. La plupart œuvrent dans les quatre décharges d'Umbriel et aident les vers qui s'y trouvent à digérer et déféquer les incessants restes de repas qui y tombent. Certains d'entre eux, les skraws, travaillent dans le puisard : ils récoltent la nourriture qui s'y développe, nettoient les aérations qui arrivent jusqu'aux cuisines et surveillent la croissance des futurs Umbrielliens jusqu'à la rupture de leur cocon. Bien qu'ils effectuent des tâches indispensables au bon fonctionnement d'Umbriel, les skraws ne jouissent d'aucune considération sociale. En outre, leurs conditions de travail nuisent gravement à leur santé puisque les vapeurs qu'ils inhalent pour pouvoir travailler et respirer sous l'eau s'avèrent toxiques sur la durée[1][2].
Notes et références
Notes
- ↑ Cette date est incertaine, comme il est difficile de placer dans le temps les évènements de La Cité Infernale. Voir l'explication détaillée.
Références
- ↑ 1,0, 1,1, 1,2 et 1,3 TES N : La Cité infernale Erreur de référence : Balise
<ref>
non valide ; le nom « t1 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents - ↑ 2,0, 2,1, 2,2, 2,3 et 2,4 TES N : Le Seigneur des âmes Erreur de référence : Balise
<ref>
non valide ; le nom « t2 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents - ↑ Journal de Delia Huerc
- ↑ TES 5 : Skyrim
- ↑ TES 4 : Oblivion