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Il semblerait que des Sloads rôdent toujours sur [[Nirn]]. Tout citoyen qui en rencontrerait un est vivement encouragé à le dénoncer aux autorités.<ref name=guide1/>
 
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Version du 12 juillet 2014 à 16:59

Sload.jpg

Histoire

Il semblerait que des Sloads rôdent toujours sur Nirn. Tout citoyen qui en rencontrerait un est vivement encouragé à le dénoncer aux autorités.[1]

Les Sloads sont en effet l'espèce la plus détestée de Nirn, plus encore que les Akavirois. En Tamriel, tous se rappellent encore de la Peste Thrasienne de 1E 2260, qu'on impute aux Sloads, et qui décima la moitié de la population du continent. Suite à cette peste, les Sloads ont presque tous été massacrés par les forces tamrieliennes, après quoi leur île-royaume de Thras a été envoyée par le fond.[1]

On raconte que les Sload vénèrent le Dieu des Vers, maître des nécromanciens et ennemi d'Arkay.[2]

Culture

On connaît peu de choses des Sloads. Aussi, les Notes de Bendu Olo, Roi Occidental d'Anvil, Baron-Amiral de la Flotte de Tous les Drapeaux, et Prodigueur de Justice Rapide à la Tâche Fétide de Thras, font autorité en la matière.

Physique

Les jeunes Sloads ressembleraient à de répugnants petits vers amorphes dont on peut obtenir une sorte de savon[3], et les adolescents à des sortes de pieuvres douces et visqueuses qui ne peuvent se hisser hors de l'eau.[1]

Il n'y aurait pas de limites apparentes à leur taille ou à leur âge, même si les quelques individus aperçus en Tamriel était vieux et gros.[1]

Leur avarice naturelle en fait de très bons négociants et chefs de contrebande.[1]

Si les plus jeunes ne vont pas sur terre faute d'y être adaptés, les plus vieux ne peuvent pas non plus y rester trop longtemps, sous peine d'étouffer sous leur propre poids.[1] Cependant, certaines races de Sloads ont trois glandes de céphalopodes leur permettant de rester sur la terre ferme et d'y respirer normalement.[4]

Les Sloads sont hermaphrodites durant leur jeunesse et réabsorbent leurs organes reproducteurs quand ils ont atteints la maturité nécessaire leur permettant de se rendre sur la terre ferme.[4]

La forme adulte des Sloads ne semble pas se reproduire, et ne montre en tout cas aucun intérêt pour sa progéniture.[1]

Mode de vie

Si les Sloads ne savent apparemment ni lire ni écrire, ils bénéficient néanmoins d'une excellente mémoire. Un Sload qui entend ou voit quelque chose s'en rappellera toute sa vie.[1]

Ils font également de très bons magiciens[5] : tous les Sloads maîtrisent en effet parfaitement les sorts de téléportation, et s'en servent souvent comme moyen de transport. Cela leur fait également une excellente défense : en cas d'attaque, les Sloads peuvent se téléporter sans même y penser.[1]

Dotés de très faibles capacités de préhension, les Sloads ne savent pas vraiment se servir d'outils. En fait, ils adaptent lentement leurs membres aux objets qu'ils veulent saisir, laissant couler ce qui leur sert de mains de manière dégoûtante autour des objets.[1]

Ils réfléchissent extrêmement vite, mais aussi très longtemps : ils ne prennent pas une décision à la légère, et leur prudence excessive les oblige à hésiter pendant de très longs moments. Ils bougent et agissent lentement.[1]

Il n'y a pas de mot en langue sload pour l'"aventure", à part, à la rigueur, un mot qui signifie plutôt "désastre tragique". Ils sont d'une précaution extrême. Même leurs héros mythologiques sont des individus qui se sont assis pour réfléchir pendant des années, discuter avec des sages, et finalement agir pour réussir à tous les coups. Toujours dans leur mythologie, les grands méchants patibulaires sont des personnes qui agissent vite et ratent tout ce qu'ils tentent.[1]

Conclusion

Les Sloads sont enfin moralement répugnants : ils sont tous avares, prétentieux, égocentriques, et ne croient en rien d'autre qu'en eux-mêmes. Ils ne semblent éprouver aucune des émotions familières aux humains, bien qu'ils soient des diplomates et des acteurs habiles. En fait, ils ne s'expriment que par des parodies d'émotions : rires gras aux mauvaises blagues, sanglots pour la moindre mésaventure, tirades enflammées mais ineptes.De plus, le blasphème, le vol, la torture, le kidnapping, le meurtre ou le génocide ne leurs posent aucun problème moral. Pour eux, aucune loi ne vaut le coup d'être respectée, à part si elle va dans leur intérêt. Le sens de l'honneur et de l'amitié sont des concepts qui leur sont étrangers. Par contre, ils vont se découvrir des affinités gaies et sincères vis-à-vis de ceux qui les ont vaincus ou humiliés.[1]

Notes et références