Freux écarlates

les Freux écarlates

Présentation
Type de faction	Groupe de bandits
Création	Interrègne
Fondateur	Sternis Gelves‏‎
Dissolution	Inconnue
Siège	Refuge de hors-la-loi de Daguefilante

Politique
Alliance	Sangrépine
Opposition	Autorités de Daguefilante Garde du Lion

Les Freux écarlates sont un groupe de bandits de grands chemins qui sévit à l'Interrègne de la Deuxième ère en Glénumbrie et notamment lors de la Guerre des Alliances et des années qui suivirent. Son dirigeant est Sternis Gelves.

Histoire

D'après leur légende, les Freux écarlates sont de nobles bandits nés lors des troubles de l'Interrègne, lorsque des trappeurs et des fermiers se réunirent pour dérober aux riches qui les pressuraient ce qu'ils volaient au petites gens^[1]. Cependant, ce ne sont que des rumeurs et les Freux pillent sans redistribuer^[1].

Ils apparaissent d'abord dans la région ouest de la Glénumbrie, Garde royale, et progressent par opportunisme, en rançonnant les caravanes circulant entre la Glénumbrie, Fendretour et Havre-tempête^[2]. En parallèle des attaques sur les caravanes^[3], les Freux se lancent dans le pillage des ruines et anciens forts partout en Glénumbrie et jusqu'en vue de Daguefilante^[4].

Profitant de la perte de terrain de la Garde du Lion, ils pillent et investissent les forts qu'elle abandonne derrière elle^[5]^[6], affirmant leur prise sur le territoire. Ils vont même jusqu'à s'emparer de Croissalant et de ses mines^[7], asservissant la population bien que des villageois résistent à leur joug. Un groupe d'aventuriers les délogera finalement, après avoir mené un raid sur les mines^[7].

Lors de la guerre des Alliances, ils s'unissent à la secte des Sangrépines qui attaque alors toute la Glénumbrie, ce qui cause des dissensions dans ses propres rangs^[1].

Son dirigeant, Sternis Gelves, est réputé avoir été tué lors de la libération de Croissalant, mais on ignore la façon dont cela impacta les Freux.

Apparences

Les Freux ont un uniforme reconnaissable^[1], parmi lequel figure un tissu coloré porté au cou, que l'on peut remonter sur le visage pour dissimuler ses traits^[8].