Crevassais : Différence entre versions

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Les '''Hommes-sorcières''' ou '''Crevassais''', aussi surnommés le ''Peuple des Cimes''<ref name=heresie>[[L'hérésie arcturienne]]</ref>, les ''fous de la crevasse'' ou encore les ''Parjures'', sont un peuple tribal de la châtellerie de [[la Crevasse]] en [[Bordeciel]] dont les ancêtres seraient des descendants des anciens [[Brétons]] de [[Hauteroche]]<ref name=fou>[[Les "Fous" de la Crevasse : Apprendre à connaître les Parjures]]</ref>.
  
 
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L'occasion se présenta en 4E 174, quand la [[Légion Impériale]] occupée à protéger [[Cyrodiil]] des assauts du [[Domaine Aldmeri]] ne put défendre [[Markarth]] et sa châtellerie lorsqu'ils se soulevèrent. Pendant deux ans, ils instaurèrent une sorte de royaume parallèle jusqu'à ce qu'[[Ulfric Sombrage]] n'assiège la ville lors de ce que l'on appelle [[l'Incident de Markarth]]<ref>[[L'ours de Markarth, les crimes d'Ulfric Sombrage]]</ref>.
  
 
Massacrés et contraints à fuir dans les montagnes, ils se barricadèrent dans les nombreuses grottes de la région et ruminèrent leur vengeance. Depuis ils mènent régulièrement des assauts contre les intérêts impériaux et nordiques sur ce qu'ils considèrent toujours comme leur terre.
 
Massacrés et contraints à fuir dans les montagnes, ils se barricadèrent dans les nombreuses grottes de la région et ruminèrent leur vengeance. Depuis ils mènent régulièrement des assauts contre les intérêts impériaux et nordiques sur ce qu'ils considèrent toujours comme leur terre.
  
Le dernier Roi Parjure connu se nommait Madanach. Il fut emprisonné durant l'Incident de Markarth dans la Mine de Cidna.
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Le dernier Roi Parjure connu se nommait Madanach<ref>[[Note de Madanach]]</ref>. Il fut emprisonné durant l'Incident de Markarth dans la Mine de Cidna<ref>[[Journal de Nepos]]</ref><ref>[[Journal de Thonar]]</ref>. En 4E 201, ce même roi réalisa une tentative d'évasion avec l'aide de ses parjures prisonniers. Le résultat de cette tentative est cependant inconnu<ref>[[TES 5 : Skyrim]]</ref>.
En 4E 201, ce même roi réalisa une tentative d'évasion avec l'aide de ses parjures prisonniers. Le résultat de cette tentative est cependant inconnu.
 
  
 
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Proches de la nature, ils fabriquent eux-mêmes tout ce dont ils ont besoin, adorent d'anciennes divinités et exécutent d'obscurs rituels considérés comme païens et dangereux par l'[[Empire]].
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Considérés donc des sauvages arriérés<ref>[[Journal d'une nageuse]]</ref> adorateurs de [[Daedra]]<ref>[[Notes de Shamiyad, marchand]]</ref> par le reste du monde, c'est un peuple proche de la nature qui fabrique lui-même tout ce dont il a besoin.  
  
Ils semblent révérer les [[harfreuse]]s et leur étrange magie permettant de remplacer le coeur d'un homme pour en faire un puissant guerrier, appelé roncecoeur.
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Adorant d'anciennes divinités et exécutant d'obscurs rituels considérés comme païens et dangereux par l'[[Empire]]<ref name=fou/><ref name=pge1/>, ils semblent révérer les [[harfreuse]]s, qu'ils appellent matriarches<ref>[[Missive de Parjure]]</ref><ref>[[Note de Parjure 1]]</ref><ref>[[Note de Parjure 2]]</ref>, et leur étrange magie permettant de remplacer le coeur d'un homme pour en faire un puissant guerrier<ref name=carmin/>, appelé roncecoeur.
  
À lire:
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{{quotation|text=Coeur d'épine... ossements du désert... par ta vie, Parjure...<br>...surgit d'entre les morts, sang de notre sang.|author=Harfreuse}}
*[[Les "Fous" de la Crevasse : Apprendre à connaître les Parjures]]
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== Notes et références ==
*[[L'ours de Markarth, les crimes d'Ulfric Sombrage]]
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<references/>
  
 
[[Catégorie:Guildes et autres organisations]]
 
[[Catégorie:Guildes et autres organisations]]
 
[[Catégorie:Peuples et Tribus]]
 
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Version du 3 avril 2014 à 19:34

Les Hommes-sorcières ou Crevassais, aussi surnommés le Peuple des Cimes[1], les fous de la crevasse ou encore les Parjures, sont un peuple tribal de la châtellerie de la Crevasse en Bordeciel dont les ancêtres seraient des descendants des anciens Brétons de Hauteroche[2].

Histoire

Ils sont mentionnés pour la première fois dans les Propriétés du jarl Gjalund puis lorsque Hestra soumit la Crevasse aux alentours de 1E 1030[3][4].

Modèle:TESO En 2E 571, une armée de crevassais mena un raid en Hauteroche, détruisant et pillant plusieurs villes avant d'être défaite aux portes de Daggerfall par celui qui allait devenir le Haut Roi Émeric lors de la Guerre des Alliances[5].

Modèle:TESO À la fin de la Seconde Ère, Tiber Septim les combattit au vieil Hrol'dan dans sa conquète de Tamriel[1]. Après leur défaite, ils entrèrent dans la clandestinité, nourissant le voeu secret de récupérer un jour leur terre[2][6].

L'occasion se présenta en 4E 174, quand la Légion Impériale occupée à protéger Cyrodiil des assauts du Domaine Aldmeri ne put défendre Markarth et sa châtellerie lorsqu'ils se soulevèrent. Pendant deux ans, ils instaurèrent une sorte de royaume parallèle jusqu'à ce qu'Ulfric Sombrage n'assiège la ville lors de ce que l'on appelle l'Incident de Markarth[7].

Massacrés et contraints à fuir dans les montagnes, ils se barricadèrent dans les nombreuses grottes de la région et ruminèrent leur vengeance. Depuis ils mènent régulièrement des assauts contre les intérêts impériaux et nordiques sur ce qu'ils considèrent toujours comme leur terre.

Le dernier Roi Parjure connu se nommait Madanach[8]. Il fut emprisonné durant l'Incident de Markarth dans la Mine de Cidna[9][10]. En 4E 201, ce même roi réalisa une tentative d'évasion avec l'aide de ses parjures prisonniers. Le résultat de cette tentative est cependant inconnu[11].

Société

Un camp parjure dans une grotte

Considérés donc des sauvages arriérés[12] adorateurs de Daedra[13] par le reste du monde, c'est un peuple proche de la nature qui fabrique lui-même tout ce dont il a besoin.

Adorant d'anciennes divinités et exécutant d'obscurs rituels considérés comme païens et dangereux par l'Empire[2][6], ils semblent révérer les harfreuses, qu'ils appellent matriarches[14][15][16], et leur étrange magie permettant de remplacer le coeur d'un homme pour en faire un puissant guerrier[3], appelé roncecoeur.

Modèle:Quotation

Notes et références