Portes d'Oblivion : Différence entre versions

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Son plan est contrecarré par [[Martin Septim]], qui se sacrifie en se transformant en avatar d'[[Akatosh]] avec l'aide du [[champion de Cyrodiil]]. Il en résulte une immense statue de dragon au cœur de la [[cité impériale]] qui remplace alors l'amulette des rois dans son rôle de protection de Nirn contre les forces d'Oblivion<ref>[[La crise d'Oblivion]]</ref><ref>Évènements de [[TES 4 : Oblivion]]</ref>.
 
Son plan est contrecarré par [[Martin Septim]], qui se sacrifie en se transformant en avatar d'[[Akatosh]] avec l'aide du [[champion de Cyrodiil]]. Il en résulte une immense statue de dragon au cœur de la [[cité impériale]] qui remplace alors l'amulette des rois dans son rôle de protection de Nirn contre les forces d'Oblivion<ref>[[La crise d'Oblivion]]</ref><ref>Évènements de [[TES 4 : Oblivion]]</ref>.
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Les mages les plus expérimentés peuvent créer leur propre portail vers Oblivion, à l'aide d'une [[pierre sigillaire]] et d'un rituel extrêmement sophistiqué<ref>[[Ponts magiques]]</ref>.
  
 
== Notes et références ==
 
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Version du 30 août 2014 à 19:10


Les portes d'Oblivion désignent de manière générique des portails entre Oblivion et Nirn, qui permettent aux Daedra de pénétrer dans le Mundus sans avoir été préalablement invoqués, et à certains êtres du Mundus de pénétrer en Oblivion - à leurs risques et périls.

Il ne faut pas les confondre avec les portails de conjuration conçus par les puissants mages Direnni[1], désormais couramment utilisés par tous les experts en conjuration. Ces portails sont éphémères et ne permettent le passage que des êtres conjurés, et donc soumis et contrôlés.

Les portails permanents sont très dangereux et extrêmement rares, entre les mains de quelques privilégiés supposément sages, comme par exemple l'Ordre Psijique[2].

L'étanchéité entre le Mundus et l'Oblivion est garantie par l'Amulette des Rois, à condition qu'elle soit entre les mains d'un Empereur possédant le Sang de Dragon[3].

Cette amulette a été dérobée a plusieurs reprises dans l'histoire, entraînant à chaque fois la multiplication de portails et des invasions daedriques en Tamriel.


Les ancres noires de Molag Bal

En 2E 578, Molag Bal réussit à s'emparer de l'amulette grâce à son complice Mannimarco infiltré parmi les Cinq Compagnons[4]. Il provoque alors l'Éruption des âmes, un événement qui altère la barrière entre le Mundus et l'Oblivion. Des portes, sous la forme de redoutables ancres noires, s'ouvrent sur tout le continent de Tamriel, déversant des hordes des Daedra en provenance de Havreglace. Molag Bal vise ce qu'il appelle la Coalescence, c'est-à-dire l'absorption pure et simple de Nirn par Havreglace. Il est mis en échec par un héros qui est pour l'occasion aidé par toutes les forces en présence en Tamriel, quelque antagonistes qu'elles puissent être par ailleurs[5].


Les ancres noires utilisent des dolmens comme point d'atterrissage et d'ancrage. Ce sont les adeptes de Mannimarco, les membres du Culte du Ver, qui les y dirigent.


Autel d'invocation d'une ancre noire


Les portes de Méhrunes Dagon

Oblivion12.jpg


Vers 3E 433 lors de la crise d'Oblivion, le prince Daedrique Méhrunes Dagon réussit à son tour à s'emparer de l'Amulette des Rois grâce à ses adeptes de l'Aube Mythique, et ouvre lui aussi des portes sur tout Cyrodiil, reliées aux Terres Mortes.

Son plan est contrecarré par Martin Septim, qui se sacrifie en se transformant en avatar d'Akatosh avec l'aide du champion de Cyrodiil. Il en résulte une immense statue de dragon au cœur de la cité impériale qui remplace alors l'amulette des rois dans son rôle de protection de Nirn contre les forces d'Oblivion[6][7].


Les pierres sigillaires

Les mages les plus expérimentés peuvent créer leur propre portail vers Oblivion, à l'aide d'une pierre sigillaire et d'un rituel extrêmement sophistiqué[8].

Notes et références