Xanmeer

Xanmeer de la région de Tourbevase.

Un xanmeer est une pyramide à étage construite par les Argoniens lors de la civilisation pré-Tombée de la nuit.

Sommaire

1 Description
2 Controverse sur leurs origines
3 Notes et références
- 3.1 Apparitions
- 3.2 Références

Description

Les xanmeers sont les structures les plus emblématiques de l'ancienne civilisation argonienne. Les plus grands d'entre-eux servent le plus souvent de temple ou de tombeau ; par exemple le temple xanmeer d'Ixtaxh-thtithil-meht dans la région de Tourbevase ou encore le tombeau xanmeer de Beela-Kaar sur l'île de Norg-Tzel.

Certains xanmeers ont été verrouillé à l'aide d'une magie particulière. Une concentration magique intense est nécessaire pour les déverrouiller. ^[1]

Si la plupart de ces xanmeers ont été abandonnés lors de la Tombée de la nuit, certains d'entre-eux restent utilisés par les Argoniens ; par exemple l'imposant xanmeer d'Hissmir est toujours utilisé en 2E 582^[2].

Controverse sur leurs origines

“Je suis tout à fait certain que les lézards n'ont pas construits ces xanmeers et autres bâtiments de pierre eux-mêmes. Mais je n'ai aucun mal à croire qu'ils les occupent et s'en attribuent la paternité.”— Margus Derius, Journal de Margus Derius

Si les Argoniens considèrent qu'ils sont à l'origine de la construction des xanmeers et autres ruines pré-Tombée de la nuit, notamment influencés par les visions de l'Hist^[3], certaines personnes estiment qu'un autre peuple est à leur origine. Si certaines de ces accusations sont clairement dûes à de la haine ou du mépris des Argoniens^[4], ce n'est pas le cas de toutes.

Par exemple, l'écrivain Waughin Jarth considère que les xanmeers sont d'origine kothringi^[5], ou encore les érudits Barsaebic du Temple de Sul nient eux-aussi l'origine argonienne des xanmeers^[2].

“- Les anciennes ruines sont d'une complexité étonnante. Les lézards n'ont pu les construire.
- Nous n'avons trouvé aucune trace d'une civilisation antérieure.
- Au moins, ces lézards sont résistants. Ils feront l'affaire.”— Échange entre deux érudits Barsaebic