TESA:The origin of Cyrus!
Ce livre n'est pas vraiment un livre que l'on peut trouver dans le monde des Elders Scrolls comme les autres proposés ici. Il s'agit d'une BD sortie lors de la sortie de TES A : Redguard et qui raconte l'histoire de Cyrus avant son aventure dans Redguard.
La traduction se trouve en dessous de chaque page avec le numero de la bulle.
The Elder Scrolls Adventures : Redguard ; L'origine de Cyrus
L'Histoire Jusqu'a présent
Maintenant :
Un homme nommé Tiber Septim cherche à restaurer la gloire de l'Empire Cyrodiillien, qui était en repos pendant les quatre derniers siècles.
Les ancienne provinces de l'Empire ont tentées de résister au changement, mais, une par une, elles sont tombées. Tous les royaumes humains sont maintenant sous le joug de Septim : Bordeciel, Hauteroche, et Lenclume, la terre des rougegardes.
Il a été spéculé que, si ils ne s'étaient pas affaiblis lors de leur guerre civil, les rougegardes aurait put arrêter la progression de l'Empire ; car uni Lenclume serait invincible.
Helas, avec la mort de leur haut roi, les factions rougegardes depuis longtemps opposées, Les Crowns et les Forebears entrèrent en guerre. A la fin, il sembla que les Crowns allait garder le Trône pour eux, mais les Forebears, battus et prêts à tenter quelque chose, invitèrent les forces de l'Empire en Lenclume pour les aider.
L'empire ne fit pas long feu des forces diminués des Crowns, et les vainquirent pour finir sur l'île de Stros M'Kai.
Ensuite :
Dans leur jeunesse, Cyrus et Iszara vivait à Sentinelle, capitale de Lenclume. Bien que ce soit une ville traditionnellement Forebear, le haut roi des Crowns était assit dans son palais. C'est une heure sombre, et on peut entendre des murmures de rébellion dans l'air. Et avec le troisième Empire soudainement intéressé par ses frontières, le point de cassure de Lenclume était proche.
Comme un sécession Forebear menaçait, et que leurs anciens conquérants les entouraient, les rougegardes se préparaient à la guerre.
Dylxexes le jeune, de la première ère, exposa clairement qu'une aventure ne pouvait vraiment commencer que de trois façons : Par la mort, par un marmonnement, ou par une lettre.
Commencer d'aucune de ces façons est relègue au statut d'un manque de discrétion ou, au mieux, une frasque.
De manière correcte, nous commençons donc avec la dernière, la meilleur, des trois solutions : La lettre, invariablement le plus séduisant catalyseur de tous--
-- Et par conséquent le plus puissant.
1 :
Surtout si cela concerne le sang.
2 :
Écrit sans fioriture par une main connu.
3 :
Voir la lettre de Tobias
4 :
Marin :
Cyrus : Cyrus.
5 :
Marin :Bien sur. Peut être devrions nous attendre, donc, Sir Cyrus.
Jusqu'à demain, quand l'Illiaque sera plus coopérative.