Nom secret

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Le Nom secret (ou nymique[1][2]) est un nom que possède tout être[3], c'est le "Vrai Nom d'un être", le connaître donne un certain contrôle sur celui-ci.

Les Dragons seraient capables de les révéler[4].

Hermaeus Mora est connu pour enregistrer de nombreux nymiques dans ses archives[5].

Pour faire simple, un nymique est le vrai nom d'un Daedra. Certains en ont plusieurs, d'autres un seul. Si quelqu'un connaît l'un de ces noms secrets, il exerce une grande influence sur les Daedra concernés. Les mortels les utilisent dans leurs incantations pour nous maîtriser.Lyranth, 2E 582

Nature

Les véritables et longs tribunymes des Kyns restent à jamais muets, cachés, de peur qu'ils deviennent des armes retournées contre nous. Et aucun mortel n'a jamais réussi à tisser un sort assez puissant pour nous forcer à les révéler.— Lyranth, 2E 582

Le nymique semble être lié à la nature même du daedra qui le porte. De fait, une magie suffisamment puissante pourrait littéralement changer le daedra[1] aussi ceux-ci prennent grand soin de ne jamais le révéler[6].

Les clans drémora altérerait le nymique de leurs membres pour ainsi les marquer[7].

Protonymique

Le Protonymique, ou paléonymique, est utilisé dans la discipline de l'Invocation[8] et soumet des daedra à ses ordres[9][10]. Il peut également être utilisé pour bannir un daedroth sans avoir à le combattre véritablement, en invoquant son protonymique, il est possible de le vider de son énergie vitale qui s'écoule alors dans les Eaux d'Oblivion[3]. Le daedroth n'a alors d'autre choix que de la suivre[11].

Le pouvoir du protonymique reste toutefois limité[2]: le daedroth peut ancrer son énergie vitale dans le monde où il se trouve, c'est notamment le cas dans les divers plans d'Oblivion. Dans de telles conditions il faut faire couler le sang du daedroth.

Pour un daedroth, le protonymique est en réalité la concaténation de plusieurs caractères daedriques. Ainsi, le protonymique de Méhrunes Dagon est Lehkelogah :LKLGLKLG.

L'expérience d'un bannissement semble traumatique pour le daedroth[3], Imago Storm compare cela au sommeil, ce qui n'est pas une expérience normale pour un daedroth, il y ressentirait un sentiment de terreur et de désespoir comme à l'approche de la mort.

Neonymique

BIEN ! Je dois dire que je suis impressionné. Bravo ! Tu es un étudiant prometteur. Toutefois je crains de devoir t'informer que sans mon neonymique, le protonymique te sera inutile. Har-har-har.— Méhrunes Dagon

Après le bannissement du daedroth, il semblerait que le protonymique ne fonctionne plus, empêchant ainsi de le commander ou le bannir à nouveau ; il est remplacé par le neonymique. Ce neonymique changeant au bannissement suivant.

L'origine de ce neonymique est disputée, entre les partisants du neonymique créé par le daedroth lui-même pour se protéger[12], ou que la perte du protonymique au profit du neonymique soit dû au bannissement[3].

Le fonctionnement d'un protonymique et d'un neonymique est semble-t-il le même, à ceci près que le neonymique est bien plus long.

Durant l'incident de Mortecime, nous avons pu obtenir trois neonymiques différents[13]:

  • Méhrunes Dagon: Djehkeleho-dehbe-effehezepeh : JKLO DB FEZPJKLO DB FEZP
  • Xivilai Moath : Wegerohseh-chehkohieu : WGRS CKUWGRS CKU
  • Faydra Shardai: Nepehkweh-kodo : NPK KDNPK KD

Autres nymiques

L'Ordre Psijique utilise des "chrononymiques" afin de réparer les failles temporelles qui apparaissent sur Nirn en 2E 582[14]. Ce terme est également employé pour parler de Sotha Sil[15][16].

L'égonymique semble être une version plus puissante du nymique. Seul Méhrunes Dagon est connu en posséder un aussi il est supposé qu'il ne concerne que les Prince Daedra[14].

Hermaeus Mora utilise une "barrière logonymique" comme système de protection[14].

Notes et références