Nirncrux : Différence entre versions
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| + | Parallèlement, la tribu [[crevassais]]e [[Corneffroi]] rouvre un antique temple Nède appelé "Sangracine"<ref>[[Note de Nicolard sur l'origine des ruines]]</ref><ref>[[TESO:TES Online/Chargement|Écran de chargement]] de {{média|Online}}.</ref> et entreprend d'utiliser le nirncrux<ref>[[TESO:Boutique à couronnes#Peau de forge-sang|Boutique à couronnes - Peau de forge-sang]]</ref> pour se battre contre les [[Nordique]]s<ref>[[Motifs artisanaux 55 : Les Corneffroi]]</ref> d'[[Épervine]]. | ||
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| + | La poussière de nirncrux inhalée provoque chez le sujet des tremblements, de la nausée et une désorientation. Ces deux derniers symptômes sont temporaires, mais les tremblements, eux, sont irréversibles. Si l'exposition est prolongée, les tremblements se transforment en convulsions, le sujet subit des pertes de mémoire importantes et des difficultés d'élocution. À ce stade, le sujet contaminé est condamné à très court terme. | ||
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== Notes et références == | == Notes et références == | ||
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Version actuelle datée du 10 mars 2021 à 13:48
Le Nirncrux est un élément primordial rare, une roche friable de couleur rouge cramoisi, aux propriétés magiques liées à l'Aetherius.
Longtemps considérée comme dangereuse et inutile, son exploitation reste anecdotique tout au long de l'histoire. Seuls les Nédiques l'utilisent au cours des ères Méréthique et Première pour notamment ériger les Pierres de Mundus, ainsi que la Cour écailleuse en 2E 582 pour fortifier leurs armées.
Noms d'usage
“Elle a beaucoup de noms. Plaie du mineur, pierre à spasmes. Il paraît que quelqu'un s'est mis à l'appeler gravier de nirn. Mais nous, on l'appelle effriteux rouge.”— Mineur Ahmih, 2E 582
Le terme de "nirncrux" est employé par les savants, mais les populations le désignent plus couramment sous les noms de :
- Effriteux rouge[1].
- Sang de Nirn.
- Pierre à spasme.
“Oui, du nirncrux. Une pierre écarlate qu'on ne trouve qu'ici. Nous considérions que cet élément rare était dangereux et ne valait rien. Mais la Cour écailleuse l'appelle "le sang de Nirn". Ils ont révélé que la puissance contenue dans cette pierre est phénoménale.”— Nendirume, 2E 582
Origine et gisements
Le nirncrux est rare. Il en existe quelques gisements dans la partie supérieure de la région de Raidelorn sur Tamriel[2]. On le trouve sous sa forme naturelle solide dans des veines de roches. Il est aussi possible de le trouver sous forme de poussière ou de pépite au fond des lits des rivières[2].
Il existe deux théories quant à son origine pour expliquer sa présence a priori exclusive à Raidelorn[2] :
- Il aurait été déposé par des météorites tombées de l'Aetherius. La région étant très liée à l'Aetherius.
- Il viendrait du cœur de Nirn. Les Nédiques, les premiers habitants de la région, auraient réussi par rituel à le faire remonter à la surface.
Exploitation
Armure d'un welwa apprivoisé, fabriquée à partir d'un alliage de nirncrux
Les Nédiques sont le premier peuple à exploiter le nirncrux[3]. La relation entre le nirncrux et l'Aetherius a permis d'ériger des Pierres de Mundus dans toutes les provinces de Tamriel.
“Certains de mes collègues pensent que les Nèdes ont créé les pierres de Mundus et les ont placées dans Tamriel. Ils pouvaient imprégner leurs sculptures d'énergie aethérienne, grâce à des techniques que nous ne pouvons plus répliquer. Je crois que le nirncrux est la clef de ces techniques.”— Nendirume, 2E 582
Suite à l'extinction de la culture nédique à la fin du premier millénaire de la première ère, le nirncrux est délaissé : les populations ne connaissent plus les propriétés du minerai et craignent sa toxicité extrême.
En 2E 582, la Cour écailleuse redécouvre le potentiel du nirncrux et reprend son exploitation[4][5]. Elle s'allie avec les Orques de fer locaux afin de profiter de leurs connaissances en métallurgie et en alchimie[6]. La coopération entre les deux factions s'avère fructueuse, ils exploitent le nirncrux[7][8] via différents procédés :
- Ils le mélangent à l'encre utilisée par les Orques pour renforcer la puissance de leurs tatouages magiques[2].
- Ils le mélangent à l'eau, à la boue et à du sang pour en enduire les trolls domestiques, les rendant bien plus forts[9].
- Ils utilisent la poudre dans des alliages afin de confectionner des armes et armures[10], les rendant plus solides et plus légères[11].
“L'armurière Uthik fabrique l'armure que portent les trolls et les welwas. Ce n'est pas une armure ordinaire. Uthik ajoute du nirncrux pour rendre son armure plus puissante.”— Petite Feuille, 2E 582
- Ils injectent la poudre dans les runes gravées dans la chair des trolls domestiques[12] afin de renforcer le pouvoir des runes[11].
“Le scribe runique Kulth est un véritable artiste! Ses motifs sont ravissants. Et puissants, en outre! Il ajoute du nirncrux à son encre, et grave les runes jusque dans la chair des trolls. Il dit que cela renforce la magie.”— Petite Feuille, 2E 582
Parallèlement, la tribu crevassaise Corneffroi rouvre un antique temple Nède appelé "Sangracine"[15][16] et entreprend d'utiliser le nirncrux[17] pour se battre contre les Nordiques[18] d'Épervine.
Toxicité
Si le nirncrux est un composant précieux et utile, sa poussière à l'état brut est en revanche très toxique : l'extraction et l'utilisation du minerai requièrent donc certaines précautions.
La poussière de nirncrux inhalée provoque chez le sujet des tremblements, de la nausée et une désorientation. Ces deux derniers symptômes sont temporaires, mais les tremblements, eux, sont irréversibles. Si l'exposition est prolongée, les tremblements se transforment en convulsions, le sujet subit des pertes de mémoire importantes et des difficultés d'élocution. À ce stade, le sujet contaminé est condamné à très court terme.
“Un empoisonnement mineur provoque des spasmes, des nausées et la désorientation. La nausée et la désorientation passeront, mais je crains que les spasmes soient permanents. Mais faites attention avec cette pierre. Convulsions sévères, problèmes d'élocution, perte de mémoire... et la mort, pour finir, lorsque l'empoisonnement est trop massif. Ce n'est pas une façon agréable de partir.”— Timmon Junciennes, 2E 582
Notes et références
- ↑ Lettre à Dusandar
- ↑ 2,0, 2,1, 2,2, 2,3 et 2,4 Étude du nirncrux
- ↑ La perfection de la caverne de Tremblecrocs
- ↑ Vie quotidienne à la Cour écailleuse
- ↑ De la Régente des Stratagèmes serpentins
- ↑ Aube de la Vipère exaltée
- ↑ Ordres de l'exarque
- ↑ Note de l'intendant
- ↑ Soin et nutrition des trolls
- ↑ Lettre à l'armurière Uthik
- ↑ 11,0 et 11,1 Lettre à l'exarque Braadoth
- ↑ Lettre au scribe runique Kulth
- ↑ Il est vivant !
- ↑ Cassipia change d'avis
- ↑ Note de Nicolard sur l'origine des ruines
- ↑ Écran de chargement de TES Online.
- ↑ Boutique à couronnes - Peau de forge-sang
- ↑ Motifs artisanaux 55 : Les Corneffroi
