Chantelame

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Les chantelames (également appelée Chante-épée) sont une antique classe guerrière rougegarde disciple de la Voie de l'Epée Spirituelle, une philosophie martiale basée sur la maitrise du maniement des épées[1]. Les chantelames étaient capables de prouesses étonnantes en matière de maniements des épées et étaient considérés par certains comme des mages autant que de guerriers. Ils recherchaient la force du corps et de l'esprit[2]. La tradition des chantelames est originaire de Yokuda, est fut amenée en Tamriel par la Ra Gada durant la Première ère. Ils ont joué un rôle déterminant dans la revendication de la province de Martelfell et l'établissement d'une nouvelle patrie pour les habitants de Yokuda. Le chantelame le plus accompli fut Frandar Hunding, dont les écrits sur la philosophie de la Voie de l’Épée sont vénérés par les rougegardes[1].

Origine

Les Yokudan étaient autrefois un peuple d'artisans, de poètes, de mystique et d'érudits mais le pays était constamment plongé dans des guerres civiles ce qui a poussé de nombreuses personnes à recherché l'illumination par le biais de la Voie de l'Epée Spirituelle qui finit par devenir une tradition martiale connue sous le nom de chante-épée. À travers leurs fabrications d'épée enrichit par la magie, leurs arts et poésie non pas seulement survécus mais ont prospéré[1][3][4]. Les chantelames croient en la supériorité des épées sur les autres types d'armes et sont dévouées en leurs uniques utilisations. Toute autres les autres armes ne feraient que créer de la confusion sur leur chemin pour obtenir la maîtrise de la Voie de l'Epée Spirituelle[5].

Les chantelames ont construit des temples aux dieux de la guerre et un hall d'entrainement nommé la Salle des vertus de la guerre dans laquelle ils peuvent pratiquer leurs compétences de combat et l'art du forgeage de puissante épée[1]. Ils vénèrent divers dieux tels que Onsi, qui a montré aux premiers Yokudan comment transformer leurs couteaux en épée[5], Diagna un avatar de l'HoonDing qui leurs à apporter les armes en orichalques et Leki, la déesse de l'escrime anormale qui introduit aux chantelames la Feinte Éphémère[6]. Les chantelames étaient recrutés initialement parmi les descendants de familles nobles[1]. Les nouveaux membres étaient acceptés dans l'ordre à l'âge de onze ans. Les garçons sont connus sous le nom de Frères de la lame tandis que les filles obtiennent le titre de Vestales de l'esprit[3]. Au cours des siècles qui ont suivi, le Walkabout était devenu une maîtrise incontestable de la Voie : un périple sauvage inspirée de la vie de Frandar Hunding, où les chantelames erraient dans la campagne en vainquant des monstres et en aidant les citoyens au nom de la vertu. Le Walkabout pouvait prendre des années et certains chanteurs ne survivaient pas aux essais[4].

Bien que les chantelames n’aient jamais été nombreux en raison de leur mode de vie impitoyable dans le désert, ils ont eu une influence considérable sur Yokuda. En quelques générations, la Voie de l'Epée Spirituelle était devenue leur vie et était enracinée dans la culture du Yokudan[1]. Pour les chantelames, l'épée était considérée comme un prolongement de leur âme et un symbole d'honneur[3]. Ils ont soutenu que c'était l'épéiste, pas l'épée, qui importait[7]. Les légendes et les récits ultérieurs parlent de maîtres de l'épée ne nécessitant qu'une simple épée d'entraînement pour vaincre leurs adversaires[8],[9]. L'influence de la Voie de l'Epée sur la vie au Yokudan était telle que des objets de tous les jours portaient des représentations d'épées ou de guerriers en position de combat[10].

Notes et références