Maison Tharn de Nibenay : Différence entre versions
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La [[maison Tharn]] de [[Cheydinhal]] et l'une des familles nobles les plus distinguées du nord de [[Nibenay]], où ils possèdent de vastes propriétés depuis le début de l'[[Ère Première]]. La famille pourrait bien être, comme elle l'affirme, aussi vieille que l'Ère Première elle-même : comme aiment à le faire remarquer les biographes de la maison, il est fait mention d'un « Tharanus les mains rouges » dans les Tractations Tamriléennes de 1E 200. En cette époque avant la révolte des esclaves d'[[Alessia]], ce proto-Tharn était apparemment un surveillant d'esclaves employé par les [[Elfe]]s [[ayléide]]s de Fanacas, une mine dans les collines nord de l'actuelle Cheydinhal. Puisque les Ayléides avaient pour habitude de tenir leurs registres de commerce à l'encre rouge, les historiens des Tharn supposent que ce « mains rouges » devait être lettré et employé à quelque poste administratif. À titre d'exhaustivité, j'aimerais mentionner la théorie de dame Euphémie Glaber, qui identifiait ce Tharanus avec le fameux « Tharhan le Mutilant » du Massacre Graduel de 1E 227, mais le texte du « Parchemin des Saints Prédécesseurs », découvert dans les cryptes sous la [[Tour d'or blanc]] par le chancelier [[Abnur Tharn]] en 2E 541, démentait entièrement cette idée. | La [[maison Tharn]] de [[Cheydinhal]] et l'une des familles nobles les plus distinguées du nord de [[Nibenay]], où ils possèdent de vastes propriétés depuis le début de l'[[Ère Première]]. La famille pourrait bien être, comme elle l'affirme, aussi vieille que l'Ère Première elle-même : comme aiment à le faire remarquer les biographes de la maison, il est fait mention d'un « Tharanus les mains rouges » dans les Tractations Tamriléennes de 1E 200. En cette époque avant la révolte des esclaves d'[[Alessia]], ce proto-Tharn était apparemment un surveillant d'esclaves employé par les [[Elfe]]s [[ayléide]]s de Fanacas, une mine dans les collines nord de l'actuelle Cheydinhal. Puisque les Ayléides avaient pour habitude de tenir leurs registres de commerce à l'encre rouge, les historiens des Tharn supposent que ce « mains rouges » devait être lettré et employé à quelque poste administratif. À titre d'exhaustivité, j'aimerais mentionner la théorie de dame Euphémie Glaber, qui identifiait ce Tharanus avec le fameux « Tharhan le Mutilant » du Massacre Graduel de 1E 227, mais le texte du « Parchemin des Saints Prédécesseurs », découvert dans les cryptes sous la [[Tour d'or blanc]] par le chancelier [[Abnur Tharn]] en 2E 541, démentait entièrement cette idée. | ||
− | La tradition de cette maison veut que la famille Tharn ait participé au soulèvement des esclaves de St. Alessia, où un certain Vilius Tharn aurait servi [[Pélinal Blancserpent]] comme « indentateur de lame et maître de l'Abattoir. » Mais le Tharn suivant identifié par l'histoire est Fervidius Tharn, de l'[[ordre alessien]], achi-prélat du Sélectif Maruhkati de 1E 1188 jusqu'à sa mort (date exacte inconnue). Fervidius est connu de nos jours comme l'auteur des « Sermons dénonçant les Dix-sept complaisances. » | + | La tradition de cette maison veut que la famille Tharn ait participé au soulèvement des esclaves de St. Alessia, où un certain Vilius Tharn aurait servi [[Pélinal Blancserpent]] comme « indentateur de lame et maître de l'Abattoir. » Mais le Tharn suivant identifié par l'histoire est Fervidius Tharn, de l'[[Ordre Alessien|ordre alessien]], achi-prélat du Sélectif Maruhkati de 1E 1188 jusqu'à sa mort (date exacte inconnue). Fervidius est connu de nos jours comme l'auteur des « Sermons dénonçant les Dix-sept complaisances. » |
De nobles capitaines Tharn dirigeaient des compagnies de mercenaires dans les deux camps de la [[Guerre des Vertu]] dans les années 2300, et lorsque le conflit fut retombé, le général Turpis « Volte-Face » contrôlait les vastes terres où réside aujourd'hui la famille. Sous le titre de Duc du Cheydinhal extérieur, Turpis épousa une nièce de l'amiral [[Bendu Olo]] et engendra de nombreux héritiers. | De nobles capitaines Tharn dirigeaient des compagnies de mercenaires dans les deux camps de la [[Guerre des Vertu]] dans les années 2300, et lorsque le conflit fut retombé, le général Turpis « Volte-Face » contrôlait les vastes terres où réside aujourd'hui la famille. Sous le titre de Duc du Cheydinhal extérieur, Turpis épousa une nièce de l'amiral [[Bendu Olo]] et engendra de nombreux héritiers. | ||
− | Plusieurs générations de Tharn servirent avec noblesse sous l'[[Empire | + | Plusieurs générations de Tharn servirent avec noblesse sous l'[[Empire Réman]], dont Regulus Tharn, qui ranima la tradition des Mages de bataille [[impérial|impériaux]], et Excoraeus Tharn, ministre du châtiment de l'[[empereur]] [[Kastav]]. |
Ce qui nous amène aux membres actuels de la maison Tharn. Avant tout, bien sûr, citons le chef de la famille, chancelier de longue date du conseil des anciens, Abnur Tharn. Malgré les troubles ou les changements d'empereur, le Chancelier perdure, pour apporter continuité et confiance à notre civilisation impériale. | Ce qui nous amène aux membres actuels de la maison Tharn. Avant tout, bien sûr, citons le chef de la famille, chancelier de longue date du conseil des anciens, Abnur Tharn. Malgré les troubles ou les changements d'empereur, le Chancelier perdure, pour apporter continuité et confiance à notre civilisation impériale. | ||
− | Seulement supplantée par respect pour son aîné, nous présenterons ensuite Sa Majesté [[Clivia Tharn]], impératrice régente de [[Cyrodiil]], et fille d'Abnur Tharn par sa septième épouse, Pulasia. L'impératrice Clivia, il est inutile de le rappeler, est veuve de deux empereurs, ayant été la compagne de Léovic puis de [[Varen Aquilarios]]. | + | Seulement supplantée par respect pour son aîné, nous présenterons ensuite Sa Majesté [[Clivia Tharn]], impératrice régente de [[Cyrodiil]], et fille d'Abnur Tharn par sa septième épouse, Pulasia. L'impératrice Clivia, il est inutile de le rappeler, est veuve de deux empereurs, ayant été la compagne de Léovic puis de [[Varen Aquilarios|Varen]]. |
À peine moins puissante, la demi-sœur cadette du chancelier, Euraxia Tharn, reine de Rimmen depuis le Coup d'état de soufflegivre en 2E 576. Et que seraient les événements mondains de la cité impériale sans son fils, le charmant et si drôle Javad Tharn ? | À peine moins puissante, la demi-sœur cadette du chancelier, Euraxia Tharn, reine de Rimmen depuis le Coup d'état de soufflegivre en 2E 576. Et que seraient les événements mondains de la cité impériale sans son fils, le charmant et si drôle Javad Tharn ? |
Version actuelle datée du 16 février 2019 à 19:09
Média d'origine : TES Online
Nobles familles de Cyrodiil, Volume dix-sept Par le comte Opius Voteporix
La maison Tharn de Cheydinhal et l'une des familles nobles les plus distinguées du nord de Nibenay, où ils possèdent de vastes propriétés depuis le début de l'Ère Première. La famille pourrait bien être, comme elle l'affirme, aussi vieille que l'Ère Première elle-même : comme aiment à le faire remarquer les biographes de la maison, il est fait mention d'un « Tharanus les mains rouges » dans les Tractations Tamriléennes de 1E 200. En cette époque avant la révolte des esclaves d'Alessia, ce proto-Tharn était apparemment un surveillant d'esclaves employé par les Elfes ayléides de Fanacas, une mine dans les collines nord de l'actuelle Cheydinhal. Puisque les Ayléides avaient pour habitude de tenir leurs registres de commerce à l'encre rouge, les historiens des Tharn supposent que ce « mains rouges » devait être lettré et employé à quelque poste administratif. À titre d'exhaustivité, j'aimerais mentionner la théorie de dame Euphémie Glaber, qui identifiait ce Tharanus avec le fameux « Tharhan le Mutilant » du Massacre Graduel de 1E 227, mais le texte du « Parchemin des Saints Prédécesseurs », découvert dans les cryptes sous la Tour d'or blanc par le chancelier Abnur Tharn en 2E 541, démentait entièrement cette idée. La tradition de cette maison veut que la famille Tharn ait participé au soulèvement des esclaves de St. Alessia, où un certain Vilius Tharn aurait servi Pélinal Blancserpent comme « indentateur de lame et maître de l'Abattoir. » Mais le Tharn suivant identifié par l'histoire est Fervidius Tharn, de l'ordre alessien, achi-prélat du Sélectif Maruhkati de 1E 1188 jusqu'à sa mort (date exacte inconnue). Fervidius est connu de nos jours comme l'auteur des « Sermons dénonçant les Dix-sept complaisances. » De nobles capitaines Tharn dirigeaient des compagnies de mercenaires dans les deux camps de la Guerre des Vertu dans les années 2300, et lorsque le conflit fut retombé, le général Turpis « Volte-Face » contrôlait les vastes terres où réside aujourd'hui la famille. Sous le titre de Duc du Cheydinhal extérieur, Turpis épousa une nièce de l'amiral Bendu Olo et engendra de nombreux héritiers. Plusieurs générations de Tharn servirent avec noblesse sous l'Empire Réman, dont Regulus Tharn, qui ranima la tradition des Mages de bataille impériaux, et Excoraeus Tharn, ministre du châtiment de l'empereur Kastav. Ce qui nous amène aux membres actuels de la maison Tharn. Avant tout, bien sûr, citons le chef de la famille, chancelier de longue date du conseil des anciens, Abnur Tharn. Malgré les troubles ou les changements d'empereur, le Chancelier perdure, pour apporter continuité et confiance à notre civilisation impériale. Seulement supplantée par respect pour son aîné, nous présenterons ensuite Sa Majesté Clivia Tharn, impératrice régente de Cyrodiil, et fille d'Abnur Tharn par sa septième épouse, Pulasia. L'impératrice Clivia, il est inutile de le rappeler, est veuve de deux empereurs, ayant été la compagne de Léovic puis de Varen. À peine moins puissante, la demi-sœur cadette du chancelier, Euraxia Tharn, reine de Rimmen depuis le Coup d'état de soufflegivre en 2E 576. Et que seraient les événements mondains de la cité impériale sans son fils, le charmant et si drôle Javad Tharn ? La maison Tharn est le summum de la noblesse nibénèse actuelle. Espérons qu'elle continuera de nous accompagner à l'avenir, quel qu'il soit. (Note : assez laudatif ? Ai oublié de caser le Grand mage général Septima. Dois toucher cette prime qu'A. a promise.) |