Ce que mon bien-aimé m'a appris
Texte de développeur Auteur réel : Michael Kirkbride Date de publication : 01/05/2012 Commentaire : Ceci est une interview de Vivec par Indoril Nérévar avant l'apothéose divine du Tribunal.
Le texte original est disponible ici. Traduction réalisée par la GBT. Un point de vue personnel sur la culture chimeri.
Un éventreur, un coupe-jarret, un fils de netcher. J'ai ma propre bande. Éloignez-vous de moi ou ils vont nous regarder de travers.
"Nous"... ? Vous voulez dire "vous". Vous, sera, vous portez l'homonyme d'une maison de traînées et vos sandales sont poussiéreuses. Je devinerais le garde de quelque caravanier, si je le devais, et je devinerais votre pouvoir seigneurial si vous me payiez. Venez à présent. Une gorgée six-fois-mordue et je toucherai. Un rouleau de scrib, et nous aurons des bougies. Approchez et je vous glisserai ceci à l'oreille : je suis né avec un bas de petite chienne, si cela vous convient.
Vraiment, vous me demandez cela ? Je ne vois qu'une épée chaussée de sandales, amoureuse des enseignements de Méphala et de Véloth. Ne m'aimerez-vous pas, vous aussi ? Ou bien sa seigneurie veut-elle cela à la Saliache, en pleurs et réduit à genoux, avec des zozotements et un air entraînant ? Car je peux le faire, ça aussi.
Hum ? C'est Longsanglot, vous pourriez garder toute auberge dont vous avez besoin. Moi, j'appelle mon foyer ces allées, ou alors les dessous des quais, et je marque les seuls de mes jours que je connaisse avec des plaies. Vous inclinez la tête d'une façon qui me déplaît.
Vous ? Vous ne vivez aucune vie à laquelle je puisse correspondre, et vous semblez la vivre depuis derrière un masque. Avec des tubes de condensation au-dedans, si je ne m'abuse. D'accord, dans ce cas : vous possédez des richesses et un bon maître. Alors payez-moi maintenant ou allez-vous en. Je vis en étripant ceux qui m'estimeraient d'un tout autre prix; plus haut, plus bas, basique, ou en bête abrutie.
C'est à vous de juger. Pour le moment, sans vouloir être offensant, vous m’ennuyez. Vous avez amené une pipe à skooma avec vous, ou du flin ? Je pourrais vous montrer un toit où nous pourrions regarder ce malheureux pays de parias cendreux et partager des symboles. Partager des lances.
Cette [censuré] de [censuré] de tempête qui régit l'Orphelinat, si les contrats sont lus. Et je dois encore apprendre cette partie du marchandage. Je ne vois à présent que dans les symboles, et les vôtres sont suffisamment reconnaissables. Me laisseriez-vous porter ce masque, ne serait-ce qu'une minute?
S'assurer que les autres meurent avant soi.
Ça ne fait aucune différence pour moi, mon seigneur. Venez sur le toit. Apportez votre argent.
Se faire désirer.
Une sixième gorgée tombée à terre, et vous tressaillez sous ma main. Bien, muthsera. Tant mieux pour vous. Je possède le feu du troisième œil, et je peux vous raconter l'histoire de votre maison. En tout honnête Vel, je préférerais avoir cela plutôt que votre main. Elle a le ghartoki sur elle. Oh, attendez, les deux l'ont. Qui êtes-vous, homme à sandales ?
Pour vous, je me raserais la tête. Il serait inconvenant que votre nouvel ami se la secoue et en tire un kwama-pou. Je devrais prendre le sceau de Vel, le V, et le porter deux fois. Et je serais nouveau, et je croirais dans la lune étoilée comme votre bannière. Je constituerais une légende de ce long crochet de netch. Ne froncez pas les sourcils à l'idée que cela sera mon arme dans votre garde, et cependant gardez-la baissée. Nous buvons tous du lait de nos pères. Je devrais apprendre à lire, et puis à écrire, afin que je puisse voir correctement votre nom pour toujours. Et je laverais vos pieds pour que, la prochaine fois que vos concluez un pacte, vous le fassiez d'un pas assuré.
Celui qui prononce mal votre nom, dans la barbe céleste, ou le quatrième coin, ou les simili-marcheurs de nos cousins les tunneliers. Ceci également: cette [censuré] [censuré] de tempête si elle ne prend votre main quand vous le demandez. Et je vois déjà cette idée derrière votre masque. Votre but est de prendre à nouveau le pays. Votre but est de réveiller le vieux dormeur. Votre but est de rendre le ciel rouge. Vous avez déjà un nom pour cela.
De vieilles choses. Des rebuts. Nous les avons tous laissés derrière avec les pleureurs. Leurs noms à présents ne sont que des nombres. Je deviendrai bon avec ceux-ci, votre Grâce. Faites-moi confiance.
Les mots s'arrêtent à HORTATOR. |