Abagarlas

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Abagarlas est une ancienne cité ayléide ensevelie et partiellement inondée se trouvant sur l'île de la cité, au millieu du lac Rumare, juste à l'est de la Tour d'Or Blanc.
Elle est totalement inaccessible depuis l'extérieur : pour y entrer il faut traverser une grotte proche des égouts de la prison Impériale.

Ses ruines restèrent longtemps perdues jusqu'à ce qu'elles furent découvertes dans les environs de 3E 433 par un lettré altmer anonyme, retrouvé mort par un aventurier dans la salle du trône, décédé d'une cause non-déterminée.[1]

Avant sa mort, le lettré parvint à traduire trois tablettes qui permettent de connaître la cause de la destruction de la cité:

  • Enfant-Méridia, puissance racine terre, pareil à une vague (terre inondée ?). Gens-dehors (Fuite ? Présent ? Impératif ?).
  • Heure de la quatrième étoile (heure ?) Terreur des terreurs de Méridia vient (est venue ?)
  • Poseurs-pierres (maçons) sans repos (éveillés ?) Méridia. Terreur des terreurs. En hâte vers refuge.

Les habitants de cette ville étaient principalement des guerriers qui louer leur service en tant que mercenaire. La ville était concurrente de la cité de Délodiil, le roi de la ville décida de construire un autel au seigneur Daedra Molag Bal plus grand que celui de Délodiil consacré à Méridia. Comme ses habitants ne portaient pas attention à son nouvel autel il décida d'envoyer des soldats détruire l'autel de Méridia dans sa ville. Il fit alors un serment auprès de Molag Bal de capturer tous les habitants de Délodiil pour les sacrifier en sont honneur. À sont arrivé il découvrit que la citée avait disparus et a sont retour il découvrit que sa ville avait était détruite.[2]

En effet, la ville, à force de s’agrandir, déterra un sanctuaire oublié de la princesse daedrique Méridia ce qui courrouça la déesse. Pour les punir elle ensevelit Abagarlas lorsque la Terreur des terreurs de Méridia eut semble-t-il attaqué la cité et que les Ayléides eurent tenté de s'enfuir vers un refuge quelconque, condamnant la voie empruntée.

Malheureusement la majorité des ruines est impraticable, de nombreuses structures se sont effondrées et la roche et autres racines n'ont pas hésité à surgir en plein milieu des constructions restantes, bouchant bon nombre de couloirs, allées et autres salles.
Ainsi nous n'avons pu connaître l'histoire de la ville plus en avant.

Galerie

Notes et références

Modèle:Cyrodiil