L'esprit criminel : Différence entre versions
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Tout d'abord, le comportement criminel trouve en grande mesure son origine dans les difformités du cerveau. Ensuite, les criminels violents peuvent posséder les structures crâniennes des anciennes races mers ou humaines, connues pour leur violence. Ces criminels, me semble-t-il, seront donc identifiables sur la base de caractéristiques physiques similaires, comme une grande mâchoire et un front pentu. | Tout d'abord, le comportement criminel trouve en grande mesure son origine dans les difformités du cerveau. Ensuite, les criminels violents peuvent posséder les structures crâniennes des anciennes races mers ou humaines, connues pour leur violence. Ces criminels, me semble-t-il, seront donc identifiables sur la base de caractéristiques physiques similaires, comme une grande mâchoire et un front pentu. |
Version actuelle datée du 23 décembre 2018 à 21:26
Média d'origine : TES Online
Par l'érudit Mingalion
Il y a de cela plusieurs années, je me suis rendu en visite dans la prison de la cité impériale. Là, j'eux l'occasion d'examiner le cadavre de plusieurs prisonniers qui, de l'avis de tous, avaient été des individus aussi violents que perturbés. En pratiquant une autopsie de routine sur un immonde brigand Colovien appelé Villius, je découvris une indentation inhabituelle à la base de son crâne. Depuis cette observation singulière, je développai une théorie en deux points. Tout d'abord, le comportement criminel trouve en grande mesure son origine dans les difformités du cerveau. Ensuite, les criminels violents peuvent posséder les structures crâniennes des anciennes races mers ou humaines, connues pour leur violence. Ces criminels, me semble-t-il, seront donc identifiables sur la base de caractéristiques physiques similaires, comme une grande mâchoire et un front pentu. À partir de mes longues recherches et des mesures de telles caractéristiques, j'ai créé une hiérarchie de l'espèce criminelle parmi les races, les Nordiques, Rougegardes et Dunmer en occupant le sommet tandis que les Bosmers, Brétons et Khajiits se trouvent tout en bas. J'avoue une plus grande appréciation du pied à coulisse commun. Malheureusement, toute tentative pour publier mes théories n'a rencontré qu'hostilité et moquerie. On m'a ouvertement accusé de moquer les races ! J'ai donc décidé d'immortaliser mon travail sur papier dans l'espoir que les générations à venir seront plus disposées à aborder cette nouvelle branche de la science l'esprit ouvert. |