Journal du Dragon Noir : Différence entre versions

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Je n'ai pas ressenti le besoin d'ouvrir ce journal depuis longtemps, mais les événements récents semblent m'avoir fait regretter les jours où j'étais véritablement heureuse, lorsque j'étais entourée d’une famille qui m’aimait et me faisait confiance. Pas comme les membres de l'ordre. Ils me respectent. Ils me craignent. Mais ils n'aiment personne à part le dieu dragon. Et, peut-être, le Primat Artorius.
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Je n'ai pas ressenti le besoin d'ouvrir ce journal depuis longtemps, mais les événements récents semblent m'avoir fait regretter les jours où j'étais véritablement heureuse, lorsque j'étais entourée d’une famille qui m’aimait et me faisait confiance. Pas comme les membres de l'ordre. Ils me respectent. Ils me craignent. Mais ils n'aiment personne à part le dieu dragon. Et, peut-être, le Primat [[Artorius Ponticus|Artorius]].
  
Avant que je revête l’armure du Dragon Noir, je servais comme Surineuse POUR la Confrérie noire. A présent, je suis le Dragon Noir, Surineuse DE la Confrérie noire et Première Lame de l'Ordre des Heures. Ce n'est pas un rôle que j’ai choisi, mais que la Confrérie noire m'a imposé. Et il se trouve que j'y excelle.
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Avant que je revête l’armure du [[Dragon Noir]], je servais comme Surineuse POUR la [[Confrérie noire]]. A présent, je suis le Dragon Noir, Surineuse DE la Confrérie noire et Première Lame de l'[[Ordre des heures|Ordre des Heures]]. Ce n'est pas un rôle que j’ai choisi, mais que la Confrérie noire m'a imposé. Et il se trouve que j'y excelle.
  
 
J'ai tué la femme nommée Lyra Viria de mes propres mains. C'était mon dernier acte en tant que membre de la Confrérie noire, mon dernier acte dans un sanctuaire depuis longtemps oublié. Aprés cela, fut un temps où je n'étais rien ni personne. Jusqu'à ce que je trouve l'Ordre et devienne le Dragon Noir.
 
J'ai tué la femme nommée Lyra Viria de mes propres mains. C'était mon dernier acte en tant que membre de la Confrérie noire, mon dernier acte dans un sanctuaire depuis longtemps oublié. Aprés cela, fut un temps où je n'étais rien ni personne. Jusqu'à ce que je trouve l'Ordre et devienne le Dragon Noir.
  
Je tente de trouver le pardon au service d’Akatosh, mais les choses ont-elles vraiment changé ? Je suis toujours un assassin. Je me sens toujours damnée. Mais, désormais, je tue ceux qui m'ont été désignés par Akatosh lui-même. Du moins, par les représentants qu'il a désignés en Tamriel. J'imagine que c'est un progrès.
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Je tente de trouver le pardon au service d’[[Akatosh]], mais les choses ont-elles vraiment changé ? Je suis toujours un assassin. Je me sens toujours damnée. Mais, désormais, je tue ceux qui m'ont été désignés par Akatosh lui-même. Du moins, par les représentants qu'il a désignés en [[Tamriel]]. J'imagine que c'est un progrès.
  
 
Jadis, j'étais arrogante, sûre de moi et de mes faits et gestes. C’était vrai quand j'étais de la Confrérie noire (pour un temps, du moins) et c’était aussi vrai en tant que Dragon Noir. A présent, toutefois, je me sens emplie d'une sorte de mécontentement qui me mène à faire une chose pour laquelle je ne suis pas douée: me poser des questions. Je dois penser à tout ça, et peut-être avoir une autre discussion avec le Primat.
 
Jadis, j'étais arrogante, sûre de moi et de mes faits et gestes. C’était vrai quand j'étais de la Confrérie noire (pour un temps, du moins) et c’était aussi vrai en tant que Dragon Noir. A présent, toutefois, je me sens emplie d'une sorte de mécontentement qui me mène à faire une chose pour laquelle je ne suis pas douée: me poser des questions. Je dois penser à tout ça, et peut-être avoir une autre discussion avec le Primat.

Version du 24 septembre 2017 à 08:42

Média d'origine : TES Online

Par Dragon Noir


Je n'ai pas ressenti le besoin d'ouvrir ce journal depuis longtemps, mais les événements récents semblent m'avoir fait regretter les jours où j'étais véritablement heureuse, lorsque j'étais entourée d’une famille qui m’aimait et me faisait confiance. Pas comme les membres de l'ordre. Ils me respectent. Ils me craignent. Mais ils n'aiment personne à part le dieu dragon. Et, peut-être, le Primat Artorius.

Avant que je revête l’armure du Dragon Noir, je servais comme Surineuse POUR la Confrérie noire. A présent, je suis le Dragon Noir, Surineuse DE la Confrérie noire et Première Lame de l'Ordre des Heures. Ce n'est pas un rôle que j’ai choisi, mais que la Confrérie noire m'a imposé. Et il se trouve que j'y excelle.

J'ai tué la femme nommée Lyra Viria de mes propres mains. C'était mon dernier acte en tant que membre de la Confrérie noire, mon dernier acte dans un sanctuaire depuis longtemps oublié. Aprés cela, fut un temps où je n'étais rien ni personne. Jusqu'à ce que je trouve l'Ordre et devienne le Dragon Noir.

Je tente de trouver le pardon au service d’Akatosh, mais les choses ont-elles vraiment changé ? Je suis toujours un assassin. Je me sens toujours damnée. Mais, désormais, je tue ceux qui m'ont été désignés par Akatosh lui-même. Du moins, par les représentants qu'il a désignés en Tamriel. J'imagine que c'est un progrès.

Jadis, j'étais arrogante, sûre de moi et de mes faits et gestes. C’était vrai quand j'étais de la Confrérie noire (pour un temps, du moins) et c’était aussi vrai en tant que Dragon Noir. A présent, toutefois, je me sens emplie d'une sorte de mécontentement qui me mène à faire une chose pour laquelle je ne suis pas douée: me poser des questions. Je dois penser à tout ça, et peut-être avoir une autre discussion avec le Primat.