L'Aîné : récit d'un pèlerinage : Différence entre versions
(Page créée avec « {{Book|sous titre=|auteur=Anonyme|titre auteur=|date=|source=TES Online|commentaire=|langue=}} Au plus lumineux du printemps, alors que la terre est ivre de pluie et q... ») |
m |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Book|sous titre=|auteur=Anonyme|titre auteur=|date=|source=[[TES Online]]|commentaire=|langue=}} | {{Book|sous titre=|auteur=Anonyme|titre auteur=|date=|source=[[TES Online]]|commentaire=|langue=}} | ||
+ | |||
+ | |||
Au plus lumineux du printemps, alors que la terre est ivre de pluie et que le soleil sourit sur le [[Val-boisé]], les [[Bosmer|Elfes des bois]] se rendent à la Tanière de l'Aîné, une étrangleuse antique. Là, ils louent [[Y'ffre]] pour le bourgeonnement d'un nouveau printemps, et ils lisent l'histoire de leur patrie dans les branches de l'Aîné. | Au plus lumineux du printemps, alors que la terre est ivre de pluie et que le soleil sourit sur le [[Val-boisé]], les [[Bosmer|Elfes des bois]] se rendent à la Tanière de l'Aîné, une étrangleuse antique. Là, ils louent [[Y'ffre]] pour le bourgeonnement d'un nouveau printemps, et ils lisent l'histoire de leur patrie dans les branches de l'Aîné. | ||
Ligne 14 : | Ligne 16 : | ||
Les pèlerins se racontent bien d'autres histoires, mais rares sont celles qu'on a consignées par écrit. Les curieux feraient bien de se rendre auprès de l'Aîné au Printemps, pour entendre ces récits et contempler eux-mêmes cette étrangleuse ancestrale. | Les pèlerins se racontent bien d'autres histoires, mais rares sont celles qu'on a consignées par écrit. Les curieux feraient bien de se rendre auprès de l'Aîné au Printemps, pour entendre ces récits et contempler eux-mêmes cette étrangleuse ancestrale. | ||
+ | |||
+ | [[en:The eldest, a pilgrim's tale]] | ||
[[Catégorie:Livres]] | [[Catégorie:Livres]] | ||
[[Catégorie:Livre : Fictions]] | [[Catégorie:Livre : Fictions]] |
Version du 3 juin 2014 à 20:09
Média d'origine : TES Online
Par Anonyme
Alors, un grand festival est donné par le Pacte Vert bosmer, à la gloire du Printemps et de l'Aîné. Les Elfes festoient jusque tard dans la nuit, à grand renfort de boisson et de récits de festivals passés et de pèlerinages. Ces histoires sont aussi volontiers sacrées que profanes. On peut citer le récit d'un fameux chef de guerre dont toute l'armée s'arrêta à la Tanière de l'Aîné pour aller lui rendre hommage. Lorsque les soldats en émergèrent, ils laissèrent leurs armes sur le sol, et ne livrèrent plus jamais la guerre. Mais mentionnons aussi l'histoire de l'Elfe des bois facétieux qui rehaussa la boisson des pèlerins avec une poudre à base de bouse de mammouth sylvestre, qui affligea tout le camp de la pire puanteur émanant de leur derrière. Longtemps après la nuit tombée, ils grognèrent sous cette puanteur insoutenable, jusqu'à être tous si accommodés de cette odeur que leurs grognements se muèrent en éclats de rire qui emplirent les bois. On parle aussi des premiers pèlerins, un vieux couple sans enfants qui prenait soin de l'Aîné comme on le fait d'un enfant. Ils devinrent le premier Silvenar et la première Dame Verte. Les pèlerins se racontent bien d'autres histoires, mais rares sont celles qu'on a consignées par écrit. Les curieux feraient bien de se rendre auprès de l'Aîné au Printemps, pour entendre ces récits et contempler eux-mêmes cette étrangleuse ancestrale. |