Rejetons des Porcs : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Aller à : navigation, rechercher
m (Remplacement de texte — « Ted Peterson » par « Ted Peterson »)
 
(9 révisions intermédiaires par 5 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
[[Catégorie:Livres]]
+
{{Book|developpeur=|auteur=Tyston Bane|titre auteur=|date= |source=[[TES 2 : Daggerfall]]|commentaire=|resume=|sous titre=|auteurIRL=[[Méta:Ted Peterson|Ted Peterson]]|dateIRL=|langue=}}
  
Rejetons des Porcs
+
Personne, ni les Elfes noirs du mont Dagoth-Ur, ni l'ancien sage de Solitude ne peut se souvenir d'une époque où les Orques n'ont pas ravagé notre beau continent de Tamriel. Quel que soit son nom, l'immonde Daedra du Néant qui leur a donné vie n'aurait pu créer de pire menace pour les races civilisées.
  
Par Tyston Bane
 
  
 +
Fort heureusement, les Orques sont faciles à reconnaître en raison de leur taille (ils font le plus souvent quarante pertans de haut pour un poids moyen de quinze cents angaïdes), en raison de leur faciès porcin et de leur atroce puanteur. Ils se montrent perpétuellement agressifs, amoraux, stupides et répugnants. Les races civilisées de Tamriel auraient normalement dû les éradiquer depuis longtemps, mais leur férocité, leur sournoiserie et l'étrange loyauté qui règne au sein d'une même tribu, leur ont permis de survivre telles des sangsues dans une mare d'eau stagnante.
  
----
 
  
 +
Les récits faisant état de la barbarie des Orques remontent plus loin que l'invention de l'écriture. Quand Jastyaga consigna en l'an 1E 950 que l'Ordre de Diagna s'était joint à Daguefilante et Sentinelle " de manière à contenir les immondes Orques dans leur abject Orsinium... et de les brûler dans les flammes des enfers ", elle savait que tous ses lecteurs connaissaient déjà les créatures dont elle parlait, c'est la raison pour laquelle celles-ci ne sont pas décrites. Trente ans plus tard, à la fin du siège, alors que de nombreux héros tels Gaiden Shinji avaient péri et que la destruction d'Orsinium avait contraint les rares Orques survivants à se réfugier dans les Monts de Wrothgarian, elle ajouta : " Les peuples libres peuvent se réjouir, car leur ennemi juré est vaincu et dispersé". Il est donc manifeste que les Orques terrorisent la région de la baie d'Iliaque depuis le début de l'ère Première.
  
Personne, ni les Elfes noirs du mont Dagoth-Ur, ni l'ancien sage de Solitude ne peut se souvenir d'une époque où les Orques n'ont pas ravagé notre beau continent de Tamriel. Quel que soit son nom, l'immonde Daedra du Néant qui leur a donné vie n'aurait pu créer de pire menace pour les races civilisées.
+
[[Catégorie:Livres]]
 
+
[[Catégorie:Livre : Histoire et Biographies]]
 
 
TABFort heureusement, les Orques sont faciles à reconnaître en raison de leur taille (ils font le plus souvent quarante pertans de haut pour un poids moyen de quinze cents angaïdes), en raison de leur faciès porcin et de leur atroce puanteur. Ils se montrent perpétuellement agressifs, amoraux, stupides et répugnants. Les races civilisées de Tamriel auraient normalement dû les éradiquer depuis longtemps, mais leur férocité, leur sournoiserie et l'étrange loyauté qui règne au sein d'une même tribu, leur ont permis de survivre telles des sangsues dans une mare d'eau stagnante.
 
 
 
 
 
TABLes récits faisant état de la barbarie des Orques remontent plus loin que l'invention de l'écriture. Quand Jastyaga consigna en l'an 1E 950 que l'Ordre de Diagna s'était joint à Daggerfall et Sentinelle " de manière à contenir les immondes Orques dans leur abject Orsinium... et de les brûler dans les flammes des enfers ", elle savait que tous ses lecteurs connaissaient déjà les créatures dont elle parlait, c'est la raison pour laquelle celles-ci ne sont pas décrites. Trente ans plus tard, à la fin du siège et alors que de nombreux héros, Gaiden Shinji inclus, avaient péri, elle ajouta, afin de mettre un terme à l'Orsinium et d'obliger les rares Orques survivants à se disperser dans les monts de Wrothgarian : " Les peuples libres peuvent se réjouir, car leur ennemi juré est vaincu et désorganisé. "
 
  
Il est donc manifeste que les Orques terrorisent la région de la baie d'Iliac depuis le début de l'ère Première.
+
[[en:The pig children]]

Version actuelle datée du 19 avril 2015 à 20:59

Auteur réel : Ted Peterson
Média d'origine : TES 2 : Daggerfall

Par Tyston Bane


Personne, ni les Elfes noirs du mont Dagoth-Ur, ni l'ancien sage de Solitude ne peut se souvenir d'une époque où les Orques n'ont pas ravagé notre beau continent de Tamriel. Quel que soit son nom, l'immonde Daedra du Néant qui leur a donné vie n'aurait pu créer de pire menace pour les races civilisées.


Fort heureusement, les Orques sont faciles à reconnaître en raison de leur taille (ils font le plus souvent quarante pertans de haut pour un poids moyen de quinze cents angaïdes), en raison de leur faciès porcin et de leur atroce puanteur. Ils se montrent perpétuellement agressifs, amoraux, stupides et répugnants. Les races civilisées de Tamriel auraient normalement dû les éradiquer depuis longtemps, mais leur férocité, leur sournoiserie et l'étrange loyauté qui règne au sein d'une même tribu, leur ont permis de survivre telles des sangsues dans une mare d'eau stagnante.


Les récits faisant état de la barbarie des Orques remontent plus loin que l'invention de l'écriture. Quand Jastyaga consigna en l'an 1E 950 que l'Ordre de Diagna s'était joint à Daguefilante et Sentinelle " de manière à contenir les immondes Orques dans leur abject Orsinium... et de les brûler dans les flammes des enfers ", elle savait que tous ses lecteurs connaissaient déjà les créatures dont elle parlait, c'est la raison pour laquelle celles-ci ne sont pas décrites. Trente ans plus tard, à la fin du siège, alors que de nombreux héros tels Gaiden Shinji avaient péri et que la destruction d'Orsinium avait contraint les rares Orques survivants à se réfugier dans les Monts de Wrothgarian, elle ajouta : " Les peuples libres peuvent se réjouir, car leur ennemi juré est vaincu et dispersé". Il est donc manifeste que les Orques terrorisent la région de la baie d'Iliaque depuis le début de l'ère Première.