Nous autres hors-la-loi ne sommes pas très organisés, mais nous avons des codes pour reconnaître. Des Symboles, comme la dague à trois lames, et des phrases-clefs comme… en fait, non, je préfère ne pas les consigner par écrit. Mais puisque nous sommes tous complices des mêmes crimes, vous allez voir que nous partageons aussi un style commun.
- Haches
- Autant que possible, nous aimons que nos armes aient un côté utilitaire. Car à vrai dire, s’il faut se servir d’une arme, c’est que le plan a déjà dérapé. Toutes nos haches portent un crochet sur le bas de la lame, pour servir de piolet ou de grappin. Vive les monte-en-l’air !
- Ceintures
- Lorsqu’on travaille le plus silencieusement possible, il n’y a rien de pire qu’une ceinture qui cède et envoie tout l’équipement au sol dans un grand fracas. Voilà pourquoi les hors-la-loi portent généralement des ceintures doubles et solides, pour que tout reste bien à sa place.
- Bottes
- Même en armure, un hors-la-loi aime avoir le pied léger. Nos bottes et chaussures sont donc souples et flexibles. Et bien huilées, aussi : ce n’est pas le moment de grincer !
- Arcs
- Si les hors-la-loi préfèrent les armes simples et utilitaires, ils sont aussi très attachés à leur arc, qu’ils bichonnent et décorent avec soin. Après tout, une arme qui nous permet d’éliminer un ennemi avant qu’il n’ait conscience de notre présence est un don du ciel !
- Plastrons
- Lorsque la discrétion passe avant tout, et que rien ne doit tinter, on fabrique une armure en couche successives de matériau souple et flexible. Des plaques ou tiges de métal sont glissées dans des logements en cuir, et toutes les articulations sont étouffées pour que l'armure reste silencieuse même lorsqu'on court.
- Dagues
- La lame doit être droite, simple et à double tranchant. Lorsqu’on veut enfoncer une main d’acier dans le dos de quelqu’un, il n’y a rien de mieux qu’une dague droite. La mienne s’appelle « Chatouille-Reins ».
- Gants
- Lorsqu’on gagne sa vie au bout des doigts, on apprécie les gants fins, qui n’entravent pas la sensibilité. Mais on se protège le dos des mains de plaques épaisses, pour détourner une lame au besoin.
- Casques
- Les hors-la-loi apprécient les capuches, souvent en cuir, pour dissimuler leur visage. Mais ils tiennent à ce que rien n'entrave leur champ de vision - mieux vaut rester prudent si l'on veut déceler les patrouilles suffisamment à l'avance.
- Jambières
- Là encore, les maîtres mots sont vitesse et flexibilité. Nos jambières sont donc constituées principalement de lanières autour de bandes de cuir. Mais nous portons souvent des genouillères conséquentes : pratiques pour ramper dans un endroit confiné, et utiles pour se protéger au combat.
- Masses
- L’arme contondante typique d’un hors-la-loi est un marteau, car il servira souvent d’outil. Que l’on défonce une porte ou une vitre, ou que l’on cloue une trappe pour retarder les poursuivants, il n’y a rien de plus utile qu’un marteau.
- Bouclier
- Si un hors-la-loi sort son bouclier, c’est signe que tout est perdu. Mais alors, il sera bien heureux d’avoir construit un bouclier solide, cerclé d’acier pour parer les coups d’épée. Et la bosse centrale sera ornée de la dague à trois lames. Car quand on en est là, pourquoi se cacher ?
- Épaulières
- Les épaulières d’un hors-la-loi sont composites et résistantes, mais assez courtes. Il serait dommage de rester coincé dans un tunnel parce qu’on a voulu faire le paon.
- Bâtons
- Lorsque le tissu social s’élime sous le poids de la guerre ou de la catastrophe, même les lanceurs de sorts s’écartent de la loi. Alors, leur bâton s’orne d’une dague à trois lames, symbole de notre rébellion. Et une pointe au bout du bâton est très utile pour repousser des chiens de garde.
- Épées
- comme leurs dagues, les épées des hors-la-loi sont souvent droites, simples et à double tranchant. S'il faut dégainer l'épée, alors au Daedra la subtilité : on fait la sale besogne, on s'en va, et on reviendra prendre le butin un autre jour. Au moins, ça fera une bonne histoire à raconter au refuge.
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