Mains d'Almalexia : Différence entre versions

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Les [[Mains d'Almalexia]] étaient un groupe constitué de Grands [[Ordonnateurs]] qui étaient les yeux, les oreilles, les porte-parole d'[[Ayem|Almalexia]], ainsi que sa garde personnelle. Leur corps, leur âme, leur armure et leur [[cimeterre]] avaient été renforcés par des enchantements divins et elles avaient juré d'honorer, de protéger et de servir la déesse en tous points.   
 
Les [[Mains d'Almalexia]] étaient un groupe constitué de Grands [[Ordonnateurs]] qui étaient les yeux, les oreilles, les porte-parole d'[[Ayem|Almalexia]], ainsi que sa garde personnelle. Leur corps, leur âme, leur armure et leur [[cimeterre]] avaient été renforcés par des enchantements divins et elles avaient juré d'honorer, de protéger et de servir la déesse en tous points.   

Version du 10 mars 2017 à 21:54

Les Mains d'Almalexia étaient un groupe constitué de Grands Ordonnateurs qui étaient les yeux, les oreilles, les porte-parole d'Almalexia, ainsi que sa garde personnelle. Leur corps, leur âme, leur armure et leur cimeterre avaient été renforcés par des enchantements divins et elles avaient juré d'honorer, de protéger et de servir la déesse en tous points.

Autrefois, les Mains se chargaient de toutes les tâches pour lesquelles Almalexia se croyait trop importante (protéger le peuple, châtier les criminels...) et lui rapportaient les informations du monde extérieur (Almalexia restant la plupart du temps cloîtrée dans son temple). Mais depuis la perte de pouvoir des Tribuns, ce groupe de combattants ne défendaient plus que la déesse. Cela mettait certains membres du Temple mal à l'aise. Les Mains d'Almalexia étaient donc considérés non plus comme des protecteurs mais comme des anges vengeurs.

Leur siège était basé à Longsanglot, dans le temple même de la déesse.

Toutefois, il n'était pas rare qu'elle demande à un homme "du peuple" d'accomplir les tâches qu'elle donnait normalement à ses Mains, afin qu'on ne sache pas qu'elle était la commanditaire.

C'est ce qu'elle fera en 3E 427, en demandant à un certain prisonnier gracié par l'empereur de l'aider. Malheureusement, c'est ce prisonnier qui la mènera à sa perte.