Les Sept Malédictions : Différence entre versions

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Les Sept malédictions
 
Les Sept malédictions
  

Version du 17 mars 2006 à 11:44


Les Sept malédictions

Tiré de l'Apogryphe des Dissidents, annoté par Gilvas Barelo, abbé d'Holamayan




Entre les murs de la maison que personne ne pleure,


Où les moqueurs raillent et les fourbes ourdissent leurs plans,


Dans les couloirs de la maison parjure et impure,


Résonnent les sept malédictions des dieux que l'on blasphème



La première, celle du feu


La deuxième, celle de la cendre


La troisième, celle de la chair


La quatrième, celle des spectres


La cinquième, celle de la semence


La sixième, celle du désespoir


Et la septième, celle des rêves




Notes


Lignes 1-3 : ambigu. Font peut-être référence à l'impiété reconnue de la Maison Dwemer ou à la diplomatie traîtresse de la subtile Maison Dagoth (ou aux deux). La Maison Dagoth était traitée de parjure pour la traîtrise dont elle avait fait preuve au mont Ecarlate. Ces vers peuvent également faire référence à des traités non respectés entre les seigneurs Nérévar et Dumac, co-fondateurs du Grand Conseil. Nérévar et Dumac étaient amis avant que le désaccord opposant les Dwemers aux autres Grandes Maisons ne dégénère en conflit ouvert.


Ligne 4 : les Dwemers étaient connus pour profaner tout ce qui était divin et s'en moquer.


Lignes 5-6 : les malédictions du feu et de la cendre proviennent sans doute du mont Ecarlate où Dagoth Ur règne en maître. Il s'agit des premiers périls rapportés en concomitance avec le mont Ecarlate.


Ligne 7 : la malédiction de la chair fait vraisemblablement référence à une terrible épidémie, sans doute la peste. Les tempêtes de feu et de cendre ont en effet précédé une succession d'épidémies.


Lignes 8-10 : obscur. Font peut-être référence à une autre menace non identifiée en provenance de Dagoth Ur.


Ligne 11 : de récents rapports de mal de l'âme et de rêves troublés nous proviennent de citadins et de Cendrais. Le fait que la septième malédiction commence à se faire sentir suggère que les périls annoncés atteignent leur apogée.