Journal de Calis

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Révision datée du 7 novembre 2020 à 16:35 par Goultard (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Book|developpeur=|auteur=|titre auteur=|date=|source={{média|Online}}'' - Markarth''|commentaire=|resume=|sous titre=|auteurIRL=|dateIRL=|langue=}} Maître Pythis m'a d... »)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher
Média d'origine : TES Online - Markarth


Maître Pythis m'a demandé de tenir un journal de nos recherches, pour nos archives. Je n'ai jamais été doué pour cela, mais j'imagine que j'occuperai la plupart de ces pages en dessinant nos spécimens, au lieu de les décrire en mots. Les illustrations me semblent plus instructives que de simples textes. Peut-être parce que l'écrit n'est pas mon fort.

Mais il semble que maître Pythis me fait confiance. Cela ne cesse de m'étonner. Son travail botanique m'inspire depuis longtemps déjà. Lorsqu'il a proposé de devenir mon mentor, je ne sus que répondre. Pourquoi une personne aussi établie que lui voudrait-elle perdre son temps à former une nouvelle recrue comme moi ? Je lui suis très reconnaissant, bien sûr. C'est un véritable rêve qui s'accomplit.

Il parle peu. Pas par sévérité, mais il ne souffre pas non plus d'un excès de chaleur humaine. Ce qui me convient, car je ne suis guère disert non plus. J'espère simplement que cette propension au silence n'est pas une marque de déception envers son apprenti.

Le maître m'a confié peu d'informations sur notre nouveau projet. J'ai remarqué que peu de Prisjiques prennent la botanique aussi au sérieux que nous. Peu importe, je trouve qu'il vaut mieux varier les talents et les intérêts au sein d'un groupe. Mais je pense que maître Pythis ne parle pas de ses projets par égard pour la passion qu'ils nous inspirent. Il n'a pas clairement annoncé que les autres ne comprendraient pas (et lorsque je leur parle, ils semblent tous au fait des subtilités de cette discipline), mais j'ai le sentiment qu'il préfère les tenir à l'écart de nos affaires.