Journal d'expédition de Bazorgbeg

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Aller à : navigation, rechercher
Média d'origine : TES Online

Par Bazorgbeg


Jour 1

Nos premières heures à Rkindaleft s'avèrent inutiles. Des Orques pâles nous ont pris en embuscade. Ils avaient l'air complètement fous. On a perdu quelques spadassins. Jeirmun et Glurbasha sont convaincus que l'endroit est maudit.

Imbéciles. Si c'était sans danger, il ne resterait rien de précieux. Heureusement, c'est Dorand qui commande. Il veut continuer. Dont acte.

Jour 2

Drôle de journée. Productive, cela dit. Toujours aucune explication pour la folie des Orques pâles. On en a vu d’autres, mais ils ont décampé vers les portions glaciales. Bon débarras.

Incroyable comme les assemblages dwemers sont endurants. Plusieurs étaient figés par la glace, mais continuaient de bourdonner. Nous nous attendions à une attaque, mais ils nous ont ignorés. Comme si on n’était pas la. De temps en temps, j'ai l'impression qu'ils me regardaient, mais ils repartaient de plus belle.

Dorand nous a interdit d'étudier les assemblages. "Pas la peine de les provoquer". Ça me sale les yeux de penser qu'il a raison.

Jour 3

On sait pourquoi ces ruines fondent. Quelqu'un est venu après les Dwemers, sans doute un bon moment. Difficile de comprendre pourquoi, mais les recherches qu'ils ont éparpillées un peu partout indiquent une grosse équipe de mages, qui utilisaient beaucoup d'énergie thermoharmonique. On a tout ramassé, pour l'étudier plus tard.

Dorand commence à craquer. Un instant il crie sur Glurbasha pour avancer, puis il sursaute au moindre murmure. Il répète que les ruines sont vivantes. Que les murs nous regardent. Il devrait dormir.

Jour 4

Séparé de Dorand et des autres après l'attaque des Orques pâles. Du coup, je dirige les mercenaires. Je ne connais même pas leur nom, mais ils comprennent bien "toi". Ça me va.

Je leur ai parle de la valve thermoharmonique qu'on a vue en chemin, et leur ai dit de la fermer. La pression verrouille la porte, comme Dorand avait dit. Si on ouvre la valve, la porte s'ouvre. J'attends à côte de la porte, jusqu'à ce que ça s’ouvre. Une fois à l'intérieur, je verrai pourquoi toute cette pression entrait dans la pièce.

Jour 5

Ça n'a pas suffi. La porte a perdu sa pression, mais elle ne bougeait pas. Une heure plus tard, la pression s'est rétablie. Les mercenaires ne sont jamais venus. Ils se sont enfuis... ou ils se sont fait tuer.

Les assemblages me regardent. Ils approchent. Si je ne bouge pas, ils vont peut être...