Forge d'Aetherium

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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La Forge d'Aetherium en 4E 201

La Forge d'Aetherium est une très ancienne forge conçue par l'antique civilisation Dwemer. Elle fut néanmoins l'objets de nombreuses discordes.

Fonction

Elle servait principalement aux Dwemers pour faire fondre de l'Aetherium, un matériau rare très résistant. La forge est d'ailleurs la seule manière de forger ce matériau, permettant la fabrication d'artefacts magiques très puissants et résistants[1].

Histoire

Au début de la Première Ère, les Dwemers découvrirent de grands filons d'Aetherium dans les profondeurs de leurs refuges sous-terrains de Bordeciel. Sans même savoir comment le faire fondre, quatre cités dwemers firent alors une alliance, dirigée par Arkngthamz, le grand centre de recherche situé au sud de la Crevasse, fut formée pour superviser l'extraction, l'exploitation et l'étude du matériau en attendant un moyen de le façonner[1].

C'est alors que vers 1E 450[2], la Forge d'Aetherium fut finalement terminée dans la cité de Bthalft, les objets fabriqués dans la forge étaient des artefacts aux pouvoirs immenses, imprégnés dès leur création d'enchantements puissants. Elle dés lors déclencheur de grands nombres de conflits entre les différents cités dwemers pour s'approprier la forge. Ces décennies de discordes les affaiblirent à un tel point que le Haut-roi nordique Gellir put les conquérir sans grand mal. Ils durent attendre plus d'un siècle pour regagner leurs terres en totalité, suite à cela, ils n'étudièrent que très peu voire plus du tout les propriétés de l'Aetherium[1].

Après l'abandon de la forge, les dwemers y construisirent un énorme centurion à vapeur pour empêcher quiconque de s'en servir. La Forge incita tout de même beaucoup d'aventuriers à partir à sa recherche sans qu'aucun d'entre eux n'en sorte vivant, mourant les uns après les autres par les pièges et les automates présents dans les cités dwemers[2].

Durant la Quatrième Ère, une aventurière du nom de Katria tenta de retrouver la forge, elle se fit malheureusement voler la vedette par Taron Dreth, son apprenti, qui publia un livre la même année sur la forge. Suite à cela, elle se rendit au quatre coins de Tamriel avant de tomber sur une ancien livre du roi dwemer Mzund évoquant la cité d'Arkngthamz ainsi que d'autres cité en rapport avec l'Aetherium, elle se rendit alors dans les ruines de la cité d'Arkngthamz[3], mais à peine rentrât elle à l'intérieur qu'une immense faille s'ouvrit sous ses pieds, la tuant sur le coup et détruisant une grande partie de la cité déjà bien amochée par les années. Ses recherches reprirent en peu de temps après en 4E 201, un aventurier étant tombé par hasard sur le livre de Taron Dreth se rendit aux ruines d'Arkngthamz, il fut contacté par l'âme errante de Katria qui lui conseilla de faire demi-tour pour ne par risquer de mourir. Lorsqu'elle se rendit compte que celui-ci serait près à l'aider, elle l'aida activement dans la poursuite de ses recherches. L'aventurier se rendit alors dans les quatre cités présumées être les conceptrices de la forge pour y récupérer les morceaux d'Aetherium s'y trouvant. Il se rendit en dernier lieu sur l'emplacement présumé de la forge, les ruines de Bthalft, ce qui s'avéra être le bon endroit. Arrivé devant l'imposante forge, ayant déjà accompli un tas d'énigme et affronter une multitude d'automates, il dût affronter le colossal centurion à vapeur, protecteur des lieux, alors endormi dans la lave. Il se servit par la suite de la forge stoppée depuis plusieurs millénaires et créât un artefact en Aetherium, celui-ci n'ayant pas suffisamment de minerai pour en fabriquer d'autres. L'âme de Katria put alors reposer en paix[2].

Notes et références