De Jephre : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 24 : Ligne 24 :
 
En vérité, il est vénéré comme le dieu du chant et de la forêt.
 
En vérité, il est vénéré comme le dieu du chant et de la forêt.
  
En Valenwood, on considère Jephre comme un des plus grands
+
Au Val-Boisé, on considère Jephre comme un des plus grands
 
dieux sylvains; des temples et des autels lui sont dédiés au plus
 
dieux sylvains; des temples et des autels lui sont dédiés au plus
 
profond des bois. La tradition elfique prétend que les enfants
 
profond des bois. La tradition elfique prétend que les enfants
Ligne 33 : Ligne 33 :
  
 
C'est son goût prononcé pour la beauté naturelle qui le mena
 
C'est son goût prononcé pour la beauté naturelle qui le mena
à l'Ile de Sumurset. Il appris aux grands oiseaux de mer à
+
à l'Archipel de l'Automne . Il appris aux grands oiseaux de mer à
 
chanter et transforma le déferlement de la vague sur la plage
 
chanter et transforma le déferlement de la vague sur la plage
 
en un chant fait de murmures et de puissances mêlés.
 
en un chant fait de murmures et de puissances mêlés.
Ligne 52 : Ligne 52 :
 
n'est tous les bardes elfes rendent encore hommage à Jephre.
 
n'est tous les bardes elfes rendent encore hommage à Jephre.
  
Les Temples de Jephre en ValenWood et sur l'Ile de Sumerset
+
Les Temples de Jephre au Val-Boisé et sur l'Archipel de l'Automne glorifient l'Ordre Naturel des choses. La seule chose que Jephre
glorifient l'Ordre Naturel des choses. La seule chose que Jephre
 
 
ne tolérera pas est que l'on y porte atteinte à des fins
 
ne tolérera pas est que l'on y porte atteinte à des fins
 
maléfiques.
 
maléfiques.

Version du 6 février 2007 à 12:20


De Jephre

auteur inconnu




Lorsque le peuple elfique traversa seul le pays en chantant des odes de pouvoir au milieu des arbres et des étoiles, Jephre le chantre marcha parmi eux. Jephre était sensible à la nature sylvestre, et son coeur s'émerveillait du murmure des rivières et des ruisseaux. C'était Jephre qui avait appris aux oiseaux à pousser leurs chants des saisons, et lui qui avait enseigné aux rivières leurs doux clapotements. On dit que les arbres eux-mêmes s'approchaient pour l'écouter chanter par les chaudes nuits d'été de ces jours lointains. C'étaient en ce temps-là que les premières grandes Balades Elfiques sont nées, inspirées des chansons que Jephre avait appris à la jeunesse de ces bois qui batifolait au son de ces airs enjoués et aux ballades dédiées à la nature et à la forêt virginale. En vérité, il est vénéré comme le dieu du chant et de la forêt.

Au Val-Boisé, on considère Jephre comme un des plus grands dieux sylvains; des temples et des autels lui sont dédiés au plus profond des bois. La tradition elfique prétend que les enfants doués pour le chant ont été bénis par Jephre lui-même. On dit qu'il gratifia les elfes sylvains d'une affinité toute naturelle avec la nature et plus particulièrement la forêt. La plupart des rangers elfes sylvains vénèrent Jephre.

C'est son goût prononcé pour la beauté naturelle qui le mena à l'Archipel de l'Automne . Il appris aux grands oiseaux de mer à chanter et transforma le déferlement de la vague sur la plage en un chant fait de murmures et de puissances mêlés.

Les hauts-elfes prétendent que rien qui ne vit a proximité de l'onde ne lui est étranger, qu'il s'agisse d'une plage, d'une rivière, d'un ruisseau ou encore d'une cascade. On dit aussi que même les oiseaux font le guet pour lui, en remerciement pour les mélodies qui leur a enseigné. On dit qu'il a fait don a ces elfes d'une beauté digne de celle de leur île natale.

Il est chez les elfes noirs une légende qui dit que Jephre parcourait la terre avant le prime jour, et à la lumière des étoiles tissa un chant si beau que ces étoiles elles-mêmes dansaient à son rythme. Encore aujourd'hui, certaines des étoiles clignotent et vacillent encore en souvenir de la chanson de la nuit et de l'obscurité. La plupart, si ce n'est tous les bardes elfes rendent encore hommage à Jephre.

Les Temples de Jephre au Val-Boisé et sur l'Archipel de l'Automne glorifient l'Ordre Naturel des choses. La seule chose que Jephre ne tolérera pas est que l'on y porte atteinte à des fins maléfiques.