Complainte pour Pélinal : Différence entre versions

De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Aller à : navigation, rechercher
m
m (Remplacement de texte — « Michael Kirkbride » par « Michael Kirkbride »)
 
(12 révisions intermédiaires par 4 utilisateurs non affichées)
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{texte obscur|titre=Lament for Pelinal|auteur=[[Michael Kirkbride]]|date=inconnue|commentaire=Aucun.}}
+
{{book|developpeur=1|auteurIRL=[[Méta:Michael Kirkbride|Michael Kirkbride]]|dateIRL=inconnue|source=|commentaire=|sous titre=|auteur=[[Morihaus]]|titre auteur=|date=|resume=|langue=}}
 +
''Les érudits sont en désaccord quant à savoir si la fameuse complainte de Morihaus appartient aux volumes fragmentaires du "Chant de Pélinal" ou des soi-disantes mémoires du dieu-taureau, "L'Adabal-a". Elle appartient certainement aux deux, étant donné que ces deux textes célèbrent la grande affection entre ces immortels. Histoire et indécision, cependant, ont amené la "Complainte de Pélinal" dans la relative obscurité des sources secondaires associées à la Rébellion Alessienne.''
 +
<poem>
 +
Et le taureau Mor s'envola de l'Affrontement,
 +
Où les rois étrangers avaient laissé Pélinal
 +
Huit sages - s'enfuyant, disant des mots insensés
 +
Grincer la cime des arbres, envoyant les feuilles du Sud
 +
Comme la pluie de sa mère - Fils de la Déesse du Ciel
 +
Et soudain ce fut une toile de chute
 +
Car ses cornes étaient des spirales de sang
 +
Leur peignant l’œil du destin
  
[[Catégorie:Textes Non Officiels à traduire]]
+
Les couleurs de l'orage frappèrent le bord de la rivière,
[Scholars disagree as to whether Morihaus’ famous lament belongs in the fragmentary volumes of “The Song of Pelinal” or the bull-god’s own so-called memoir, “The Adabal-a”. Certainly it could belong to either, given that both of those texts celebrate the great affection between these immortals. History and indecision, however, have maneuvered the “Lament for Pelinal” into the relative obscurity of secondary sources associated with the Alessian Rebellion.]
+
Le surprenant, détrempé
 +
C'était une torche perdue pour lui
 +
C'était la descente de sa folie
 +
Arrivant au galop
 +
Et toutes les trajectoires de fuite
 +
Courbées vers l'intérieur, célébré jusqu'à une fin
  
And the Mor bull flew from the Taking,<br>
+
“Pelinal-ada, démembré à nouveau,
Where the alien kings had left Pelinal<br>
+
Quel écho est encore insatisfait?
Eight-wise – leaking, talking fool talk<br>
+
Dont le rêve est marmonné ivre?
To gnash treetops, sending southern leaves<br>
+
Je voudrais casser le compas de la carte
Like his mother’s rain – Sky Goddess Son<br>
+
Et le devenir en meilleur airain
And suddenly it was a canvas of fall<br>
+
Et m'écorcher dans le pays
For his horns were spirals of gore<br>
+
Je pourrais ainsi contenir chaque morceau de vous
Painting them doom-eyed<br>
+
Ils se sont cachés, pour évoquer un précieux
 +
Retour de votre rire muet
  
Thunder-color hit the river’s edge,<br>
+
"Si je pouvais être sûr que les étoiles primitives
Surprising it, distempered<br>
+
De nos maisons continuelles
This was jacklight lost to him<br>
+
Ne serait pas déjà une nouvelle
This was his landing-madness<br>
+
Avidité, et pourtant doux comme l'amour
Given hoof-point<br>
+
Cela appartient hors des mains
And all the trajectory of took-away<br>
+
Fixées au sanctuaire, avec de grandes bougies
Bent inward, storied to an end<br>
+
Alors pour ne pas réveiller le sans-sommeil
 +
Un léger gout amer
  
“Pelinal-ada, again partitioned, what echo is<br>
+
"Pélinal-ada, tu reposes en un long silence,
Unsatisfied still?<br>
+
Rendant moins simple de rester ici entre
Whose dream is mumbling drunk?<br>
+
Les champs d'ondes du temps
I would break the compass of the map<br>
+
Où les formes se parent d'idées plutôt
And become it in better brass<br>
+
Que les autres fous des cieux
And skin myself in country<br>
+
Dont les draperies désormais toujours, toujours
So I could contain each piece of you<br>
+
Modèlent ces objectifs dans le modèle régulier
They hid, to conjure one precious<br>
 
Return of your dumb laughter<br>
 
  
“If I could be assured the rude stars<br>
+
"Qui nous as mis à l'auto-arrogance, de rubans brûlés
Of our continuing houses<br>
+
De fugue affiliée?
Would not already be in fits of remake<br>
+
Quel frisson aurait été pire?
Covetous, and yet stepping like soft love<br>
+
Si mon propre suspens pourrait frapper l'été
That belongs outside the hands<br>
+
De retour dans ta pâle disparition
Made fast at shrine, with candle-strides<br>
+
Pourrais-je encore lever ce pied, affecté?"
So as not to wake the unsleeping<br>
+
</poem>
Smack of insect scruple<br>
+
[[Catégorie:Livres]]
 
+
[[Catégorie:Livre : Textes apocryphes]]
“Pelinal-ada, you lay in longest quiet,<br>
+
[[Catégorie:Livre : Spiritualité, mythologie et religion]]
Making it less easy to stay here between<br>
 
The wave-fields of time,<br>
 
Where forms adorn ideas rather<br>
 
Than the insane else of heaven<br>
 
Whose drapery now always, always<br>
 
Patterns those aims to the regular mold<br>
 
 
 
“Who set us to self-hubris, to burnt ribbons<br>
 
Of kindred fugue?<br>
 
Which tremble would do it worse?<br>
 
If my own abeyance might stamp summer<br>
 
Back into your pallid vanish,<br>
 
Would I lift this hoof again, assigned?” <br>
 

Version actuelle datée du 19 avril 2015 à 20:40

Texte de développeur
Auteur réel : Michael Kirkbride
Date de publication : inconnue



Les érudits sont en désaccord quant à savoir si la fameuse complainte de Morihaus appartient aux volumes fragmentaires du "Chant de Pélinal" ou des soi-disantes mémoires du dieu-taureau, "L'Adabal-a". Elle appartient certainement aux deux, étant donné que ces deux textes célèbrent la grande affection entre ces immortels. Histoire et indécision, cependant, ont amené la "Complainte de Pélinal" dans la relative obscurité des sources secondaires associées à la Rébellion Alessienne.

Et le taureau Mor s'envola de l'Affrontement,
Où les rois étrangers avaient laissé Pélinal
Huit sages - s'enfuyant, disant des mots insensés
Grincer la cime des arbres, envoyant les feuilles du Sud
Comme la pluie de sa mère - Fils de la Déesse du Ciel
Et soudain ce fut une toile de chute
Car ses cornes étaient des spirales de sang
Leur peignant l’œil du destin

Les couleurs de l'orage frappèrent le bord de la rivière,
Le surprenant, détrempé
C'était une torche perdue pour lui
C'était la descente de sa folie
Arrivant au galop
Et toutes les trajectoires de fuite
Courbées vers l'intérieur, célébré jusqu'à une fin

“Pelinal-ada, démembré à nouveau,
Quel écho est encore insatisfait?
Dont le rêve est marmonné ivre?
Je voudrais casser le compas de la carte
Et le devenir en meilleur airain
Et m'écorcher dans le pays
Je pourrais ainsi contenir chaque morceau de vous
Ils se sont cachés, pour évoquer un précieux
Retour de votre rire muet

"Si je pouvais être sûr que les étoiles primitives
De nos maisons continuelles
Ne serait pas déjà une nouvelle
Avidité, et pourtant doux comme l'amour
Cela appartient hors des mains
Fixées au sanctuaire, avec de grandes bougies
Alors pour ne pas réveiller le sans-sommeil
Un léger gout amer

"Pélinal-ada, tu reposes en un long silence,
Rendant moins simple de rester ici entre
Les champs d'ondes du temps
Où les formes se parent d'idées plutôt
Que les autres fous des cieux
Dont les draperies désormais toujours, toujours
Modèlent ces objectifs dans le modèle régulier

"Qui nous as mis à l'auto-arrogance, de rubans brûlés
De fugue affiliée?
Quel frisson aurait été pire?
Si mon propre suspens pourrait frapper l'été
De retour dans ta pâle disparition
Pourrais-je encore lever ce pied, affecté?"