De La Grande Bibliotheque de Tamriel
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Venez marin, prêtez-moi l'oreille
Pour une romance sans pareil
J'ai combattu les pirates, les vagues et les vents
Mais trouvé ma fin par une joute à Caraque
Le héraut appelle, et tous nous accourons
nDes falaises ou des côtes amères
Armes dressées, nous acclamons la belle
devenue dame de Castel Caraque
Muscles plus durs que des gréements tendus
Une droite surnommée canon à un coup,
Elle tendit seule dans les rues de Gonfalon
Et ne perdit jamais un tournoi
Le héraut appelle, et tous nous accourons
Des falaises ou des côtes amères
Armes dressées, nous acclamons la belle
devenue dame de Castel Caraque
Sueur au front elle dressa l'épée,
pointée sur le seigneur de Caraque
« Tes chevaliers sont vaincus, tes épreuves remplies,
Je défie en duel l'élite de l'Île-Haute. »
Le héraut appelle, et tous nous accourons
Des falaises ou des côtes amères
Armes dressées, nous acclamons la belle
devenue dame de Castel Caraque
Tonnerre de sabots et d'applaudissements, quel combat
Boucliers brisés, pavés ensanglantés
Jeunes et vieux la croyaient morte
Au dernier assaut, tous retinrent leur souffle
Vieux pirate que je suis, jamais de ma vie
je n'avais tant versé de larmes
Mais la voyant sortir de cette poussière brune
je lui aurais donné la mer, car à présent je croyais.
Le héraut appelle, et tous nous accourons
Des falaises ou des côtes amères
Armes dressées, nous acclamons la belle
Devenue dame de Castel Caraque
Devenue dame de Castel Caraque
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