De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Je vois Amaffi le rusé, aux atours de prêtre
Noir est son cœur, comme nulle Hauteur ne peut l'être.
L'eau est douce, Oranu le dirait
De sous la lune, jamais ne s'en irait
Cherchez la Pie, voleuse sur ses gardes
Au sud chercha la mort, qui jamais ne tarde
Bufasa, toujours bruyant et fanfaron
Rentre chez lui, fier et bon larron.
Le destin de la belle Seleiz est sinistre,
Un cœur de pierre, un lit du même registre.
Heureux Hiijar, à jamais pour moi inoubliable
Même si sa lueur joyeuse n'est qu'une braise.
Grastia l'aînée se tait, seule sur sa colline
Sans faine au moulin, ni brise câline
Danseur cherche toujours le frisson,
Caché avec les voleurs, fripons et polissons
Farro a trouvé une unique sentinelle, muette et haute
Une vue extraordinaire, et un étonnant hôte
Kesta, si secrète, à l'œil si fureteur
Veille sur une tour, de loin et en hauteur
Jarro m'a étonné, retourné de suite en ville
Froid dans les échafaudages, à l'ambiance si vile
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