Utilisateur:Destroy/bac-à-sable/Au jour d'invocation de Boethia-1
Texte de développeur Auteur réel : Développeur inconnu Date de publication : 02/11/2011 Commentaire : Le texte original se trouve ici.
Année 205 de l'Étoile de Stendarr À mon ami Tal Marog Ker, Cela fait presque cinquante ans depuis nous avons eu la chance de parler pour la dernière fois, lors, je donnais le protonymique de Dagon au mage de guerre et mon île fut pour un court temps débarrassée de sa prison. La libération dura assez longtemps pour me permettre de regarder à nouveau Direnni, et de voir la chute de Tharn, que le même temps permit à Dagon de se réapproprier. Je vous aurais prévenu plus tôt si je n'avais pas été repoussé. Je l'aurais immédiatement fait mais mon esprit allait et venait. Avez vous vu mon fils? Peut-être était-je mieux dans le vide. Le vide. Ça nétait pas vide tant que j'y était... Vos notes dans le journal que je vous ai donné la dernière fois que nous nous sommes vu était terriblement maigres. Peut-être le journal était-il maigre. Je devrais être en mesure de clarifier la question lors de notre prochaine rencontre. Je vous écris au début de la crise. Les vieilles habitudes ont la vie dure (même pour un Leaper Demon) mais Caecilly est loin d'être en sécurité face à la tempête d'Alduin; nous étions autrefois- cachés au loin sous la voûte céleste des Terres Mortes soustraites à l'esprit de Dagon - une poche de stase dans un vide de chaos, une nouvelle Aldmeris attendant de s'épanouïr. Numidius voulait la sienne, Camoran l'a fait, mais il l'a mal fait. Vous réalisez par cet écrit que le bannissement de Dagon par l'Avatar d'Akatosh fit Caecilly libre une fois encore, bien que je ne puisse pas en dire plus - si les Thalmor qui virent étudier son autel sont définitivement nécessaires. Mais maintenant nous sommes ici et le Dévoreur de Monde nous trouvera , très bientôt, car nous sommes au Nord. J'ai toujours sentit depuis ma naissance que si je rencontrais un dragon il serait de mon devoir solennel de le tuer. Tiens 20 Sombreciel, 4E 13 À Chimere Graegyn, Je peux difficilement transmettre l'émotion qui s'est emparée de moi après mon retour de cours/conférence lorsque j'ai trouvé ce parchemin estampé de l'ancienne dynnastie des Direnni sur mon bureau. Les traditionnalistes communiquent si peu avec Cyrodiil ces derniers temps que j'espérais apprendre quelque chose à propos de ces nouveaux hérétiques Altmers, et note alors pourtant la marque des Chimers! J'ôse dire que mon bâton n'était proche d'où j'eu pu tomber, ce qui a grandement dérangé mon assistant. Pourquoi les Enquêteurs n'ont-ils pas signalé le retour de Caecilly? J'aurais pu penser que votre réapparition ne fut pas pour les autres sujets qui aujourd'hui nous pressent ardemment. C'est à la fois une bénédiction et un présage que je reçoive votre lettre aujourd'hui. Cela ce produit alors que l'Université désire que je voyage vers la Baie de Scathing y collecter les murmures des esprits ancestraux. Le pays en grouille comme si les portes de Necrom elle-même avaient éclaté à en percuter les lunes; Thras ne doute pas d'être le meilleur marché qu'ils aient eu depuis la (peste) et sans le Temple il n'y aurait personne pour faire appliquer leurs propres rites, mais plus que cela, votre lettre sera suffisante pour me soustraire à l'expédition de l'est pour faire route vers l'ouest. Quelle est cette question à propos de Dagon et Camoran? Tout ceci reste au sein de notre amitié. Aucun agent de l'Aube Mythique ne demeure en Cyrodiil, quand bien même nous les avons déjà expulsé de Tamriel en totalité. Nulle rumeur ne nous est parvenue du nord à propos d'Alduin, était-il un Temple Zéro pouvant être parmi les premiers au courant, et donné |