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Révision datée du 21 mars 2015 à 15:57 par Shadow she-wolf (discussion | contributions) (Page créée avec « {| class=wikitable ! Numéro ! Auteur ! Texte |- | style="text-align:center; "| 1 || Pacrooti || Je vous transmets ces matériaux d'artisanat. Je m'appelle Pacrooti, je... »)
Numéro | Auteur | Texte |
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1 | Pacrooti | Je vous transmets ces matériaux d'artisanat. Je m'appelle Pacrooti, je suis un Khajiit. J'espère que nous aurons l'occasion de nouer une relation longue et prospère, notamment parce que les méchants croupiers de la caravane de jeux m'ont floué et dépossédé de mon or. Je m'efforcerai de le gagner à nouveau. Cela leur apprendra. |
2 | Pacrooti | Voici vos matériaux de travail du bois. Je suis triste de voir tant de pans de la forêt coupés et brûlés pour l'effort de guerre. Je pense que nous devrions sauver les arbres. Si seulement nous avions un entrepôt assez grand pour les protéger. |
3 | Pacrooti | Je tends l'oreille lors de mes périples, j'écoute le murmure des arbres qui se balancent au vent. Le bruissement des feuilles raconte des secrets. Leur écorce porte la trace de passés enfouis. Les écureuils nichent dans leurs recoins. Les écureuils, c'est délicieux. Je devrais me faire à manger. J'espère que ces matières premières vous seront utiles. |
4 | Pacrooti | Voici un autre lot de marchandises utiles. Je regarde le bois, et je me demande ce qu'il deviendra. Formera-t-il le berceau d'un enfant ? Le pupitre de quelque grand érudit ? Le toit qui protège une tendre famille ? Je l'espère, car je me suis mis beaucoup d'échardes dans l'arrière-train pour le couper. |
5 | Pacrooti | Je me réjouis de vous adresser de nouvelles fournitures. J'aimerais vous rappeler qu'avec six morceaux de bois, l'on peut créer une sa vie ou construire un cercueil. Le marché des cercueils se porte-t-il bien ? |
6 | Pacrooti | Ce travail me plaît beaucoup. Je travaille sans guère m'encombrer, avec très peu de biens matériels. Il s'agit peut-être de l'une des deux voies qui mènent au bonheur. L'on peut passer sa vie à accumuler, ou simplement désirer posséder moins. Dans ce cas, il est aussi très utile d'avoir très mauvaise mémoire. |
7 | Pacrooti | Voici vos fournitures. Où que je me rende, je croise des gens qui consomment du skouma. C'est la grande tragédie de mon peuple. Pour les Khajiits de ce genre, le bonheur ne suffit pas. Ils désirent l'euphorie. Mais tous finissent par puer, et par perdre leurs dents. |
8 | Pacrooti | Tous les Brétons trouvent-ils leurs plaisanteries hilarantes ? L'un d'eux avait une pelote de ficelle, qu'il faisait rouler à terre, persuadé que je me mettrais à courir après comme un chat domestiqué. Bien sûr, j'y ai volontiers donné quelques coups de pattes, mais seulement après l'avoir fait avaler audit Bréton. |
9 | Pacrooti | Lunes noires et griffes ternes, quelle triste journée. Il n'en finit plus de pleuvoir, et ma fourrure est toute collée. J'ai les griffes pleines de boue. Mais j'ai tout de même réuni quelques objets pour vous, cher ami. Voici vos fournitures détrempées. |
10 | Pacrooti | Voici votre nouvelle livraison. Me voici revenu à la ville, où j'ai passé de longues heures à me peigner la fourrure. Plus tard, j'ai joué aux dés avec un jeune Bréton, et remporté une armure tout entière. Je pense la vendre, car il serait trop coûteux d'y faire percer un trou pour ma queue. |
11 | Pacrooti | J'ai trouvé un bosquet de beaux chênes, que je comptais faucher pour vous. Je n'avais pas remarqué que ce bosquet était surveillé par le Peuple de la Sève, les Bosmers. Ils m'ont attrapé au filet et m'ont tenu un long discours sur ce qu'ils appellent le Pacte Vert. J'ai promis de suivre leur loi. |
12 | Pacrooti | Je ne parviens pas à faire entendre raison à ces Bosmers. J'ai trouvé un arbre marron aux feuilles jaunes, et pourtant, ils vocifèrent tout ce qu'ils savent lorsque j'essaie de l'abattre. Pourquoi appellent-ils ça le « Pacte Vert » si ça concerne les arbres de toutes les couleurs ? Ces Elfes sont fous. Ou daltoniens. |
13 | Pacrooti | J'ai quitté les terres des Bosmers, et bon débarras ! Il est impossible de mener des affaires avec ces Elfes fous. Je pars aujourd'hui vers les marais du sud. J'ai entendu dire qu'il s'y trouve des arbres encore plus gros. Les autochtones n'auront sans doute aucune objection à ce que je coupe quelques Hists. |
14 | Pacrooti | Les hommes-lézards sont grossiers et peu hospitaliers. Ils ont refusé que je coupe du bois d'Hist, mais j'ai pu ramasser un peu de sève pour m'en faire du thé. Et maintenant, tous les hommes-lézards ont une tête géante, et ils dansent avec une sauterelle qui parle. Je vous déconseille de faire du thé avec de la sève d'Hist. |
15 | Pacrooti | Voici votre nouvelle livraison. Je vais à présent prendre un peu de temps pour moi. Peut-être vais-je aller pêcher. Je m'attriste de voir autrui pêcher avec des cannes grossières et des crochets sur des fils. Pourquoi les humains ne se laissent-ils pas pousser les griffes ? |
16 | Pacrooti | Les lunes sont noires, en ce jour. J'avais entendu parler des Ancres noires de Molag Bal, mais à présent, j'en ai vu une de mes propres yeux. J'en avais la fourrure tout hérissée. Je pense qu'il n'y a aucune honte à avoir détalé à ce spectacle. Et après tout, ça m'a permis de vous envoyer vos provisions. |
17 | Pacrooti | Voici vos matières premières. Un garde de caravane m'a dit que les vasards cuits à la vapeur sont délicieux. J'en ai attrapé quelques-uns, mais ils n'avaient rien de délicieux. Comment peut-on manger une telle chose ? Je les ai laissés cuire pendant des heures, mais ils sont toujours aussi durs. Je crois que je me suis cassé une dent. |
18 | Pacrooti | Je vous envoie cette livraison depuis une taverne qui sert un bien bon hydromel. J'ai bu toute la nuit avec un loup-garou charmant. Lorsque l'aube est venue, le loup-garou s'est transformé en un gros Bréton aux dents gâtées. Je pense qu'il vaut mieux éviter de se faire mordre par un gros Bréton. |
19 | Pacrooti | J'ai trouvé une source de revenus supplémentaires ! J'achète des potions de Vigueur à vil prix chez les marchands Baandari, et je les vends en ville aux vieillards dotés de jeunes épouses énergiques. On dit que ces potions sont comme une traversée de Vendeaume en charrette. On attend une heure et c'est fini en deux minutes. |
20 | Pacrooti | Cet envoi aura peut-être été retardé. J'ai trop bu hier dans une taverne nordique. Je ne me rappelle plus comment, mais au lever du soleil, je me suis retrouvé nu, allongé devant la cheminée. J'aurais aimé dormir plus longtemps, mais la servante m'a pris pour un tapis en peau d'ours et m'a tapé dessus avec un balai. |
21 | Pacrooti | Voici votre livraison. Aujourd'hui en ville, j'ai goûté de la mélasse pour la première fois. J'ai été surpris par ce goût sucré. |
22 | Pacrooti | J'ai acheté un cheval qui répond aux ordres. Pour qu'il s'arrête, on crie « Croissant » et pour qu'il avance, on crie « Les Divins soient loués ! ». Alors que nous avancions, je me suis endormi en selle. Lorsque je me suis réveillé, le cheval fonçait au galop vers une falaise. J'ai crié « Croissant » et il s'est arrêté juste à temps. « Ouf ! Les Divins soient loués ! » Ce soir, j'ai mangé du cheval. |
23 | Pacrooti | Aujourd'hui Pacrooti a entendu une voix lui dire « Khajiit ! J'ai besoin de votre aide ! ». Je me suis retourné et j'ai vu une grenouille. La grenouille m'a dit « J'ai été maudite par un magicien maléfique. La malédiction disparaîtra si vous m'embrassez. Je me transformerai en superbe princesse ». J'ai mis la grenouille dans ma poche. Je pense qu'une grenouille qui parle vaut beaucoup d'or. |
24 | Pacrooti | J'espère que ces matières premières vous seront utiles. J'ai dû prendre la fuite devant deux spriggans après les avoir récoltées. C'était très inquiétant, et j'ai dû leur envoyer des dizaines de mercenaires brétons. Ils ont fini par arrêter d'avancer, mais cette semaine, les finances seront justes. |
25 | Pacrooti | Comme toujours, je veux que vous utilisiez ces matières premières. Je ne trouverai rien à redire à la manière dont vous les emploierez, que ce soit pour construire un arc ou vous mettre le bois dans la bouche. Contrairement aux Dunmers. J'ai mangé un œuf de kwama un peu plus tôt, et l'ai assaisonné de sucrelune. Le chef Dunmer me l'a fait lâcher d'une claque et l'a écrasé sous son talon. |
26 | Pacrooti | Vous ai-je dit que j'étais Compagnon de l'art du Croc murmurant ? Pratiquer mes formes de griffe lorsque le soleil cède la place aux lunes m'aide à me recentrer. Je m'entraînais ce soir lorsqu'un ours monstrueux m'a attaqué. J'ai pris une posture, bandé un arc et tiré dans le flanc de l'ours. Il n'est pas revenu. |
27 | Pacrooti | J'en ai plus qu'assez des Hauts-Elfes si imbus d'eux-mêmes qu'on croise par ici. Ils se conduisent comme si le grand Lorkhan avait créé tout le Mundus rien que pour eux. J'étais si furieux après l'une de leurs caravanes que j'ai baissé mon pantalon pour leur montrer mon derrière. Mon peuple appelle cela « Montrer les deux Lunes ». |
28 | Pacrooti | Voici votre cargaison. Je me demandais, pourquoi les Humains persistent-ils à appeler mon peuple « hommes chats » ? Cela n'a aucun sens. Nous ne gambadons pas à quatre pattes en se frottant sur eux, pour demander de la nourriture. Je crois que je vais commencer à les appeler « hommes singes ». |
29 | Pacrooti | Je suis satisfait d'adresser de nouvelles matières premières à mon ami, et de le remercier pour cet emploi qu'il me donne. J'ai dépensé mes derniers gains pour acheter des bouches en or pour mes oreilles. Je suis très élégant, du moins est-ce ce que les dames m'ont dit. |
30 | Pacrooti | Ces matières premières sont difficiles à trouver. J'ai vaincu un Bréton rusé lors d'une partie de bonneteau. Je l'ai regardé arnaquer des dizaines de personnes par sa dextérité. J'ai décidé de jouer. Comme les autres j'ai soulevé une tasse. Mais contrairement à eux, je l'ai brisée sur le visage du Bréton. Tandis qu'il était inconscient, j'ai pris son or pour acheter votre bois. |
31 | Pacrooti | Voici encore de quoi travailler, mon ami. Excusez l'odeur qui accompagne ce bois. Cela fait longtemps que je n'ai pas touché l'eau. Je préférerais affronter un atronach de feu que toucher de l'eau. Bien sûr, cela a des conséquences regrettables, et j'ai dû décoller ce bois de ma personne. Je vous garantis qu'il est de la meilleure qualité, malgré son odeur. |
32 | Pacrooti | Cher ami, si vous me trouviez facétieux, vous me le diriez, n'est-ce pas ? L'aubergiste du cru m'a dit qu'il ne me faisait pas confiance, sans m'en donner la raison. Je n'ai fait que dormir dans sa chambre et prendre les objets laissés en évidence. À aucun moment je n'ai menti ou tenté de commettre un acte immoral. |
33 | Pacrooti | Je pratique la Griffe murmurante, un puissant art martial. J'ai rencontré un autre Khajiit aujourd'hui, maître du Croc trempé, un style adverse. Nous avons échangé des mots, et presque entrepris un duel pour déterminer quel art était supérieur, mais un mage est apparu et a brûlé vif le maître de Croc trempé. Je me suis échappé avec la technique du « saut de Senche ». La Griffe murmurante gagne toujours ! |
34 | Pacrooti | Voici d'autres matières premières pour vous. Un Impérial ivre m'a dit aujourd'hui que je lui rappelais un « petit tigre Senche ». Il a ajouté « c'est curieux, mais ça ne me dérange pas ». Il a fini par s'endormir. Personne ne regardait alors je me suis emparé de sa bourse pour vous apporter son contenu. |
35 | Pacrooti | Lorsque je bois trop de sucrelune, mes pattes deviennent énormes. C'est déconcertant, mais le goût est tellement délicieux. Le sucrelune améliore n'importe quel aliment. |
36 | Pacrooti | J'espère que ces objets vous seront utiles. Je les ai pris à un bûcheron local dont la maison était pleine d'écrits en pattes de mouche circulaires. J'y ai rencontré un animal de compagnie cruel, à la peau rouge et barbelée. Heureusement, je connais les secrets de la Griffe murmurante, ce qui m'a permis de faire du prédateur une proie. |
37 | Pacrooti | C'est la centième fois aujourd'hui qu'on me répète que la plupart des fournisseurs trouvent leurs marchandises de manière honnête, dans les champs et cavernes de Tamriel. Les gens s'offusquent que je prenne les miennes dans les poches et tiroirs d'autrui. Au moins, vous, vous les appréciez. Et puis, vous ne pourriez jamais retrouver leur propriétaire d'origine. |
38 | Pacrooti | J'ai du mal à comprendre la magie, mais je ne méprise pas ceux qui la pratiquent. Je comprends qu'il s'agit là d'un danger contre lequel il faut se prémunir, comme n'importe quel art martial, et j'étudie attentivement les mages. Il semble particulièrement approprié de viser leurs mains. Les gestes sont essentiels pour lancer un sort – toujours à lever un bras et à serrer le poing. Difficile avec un membre brisé ! |
39 | Pacrooti | J'ai réfléchi aux anciens maîtres de la Griffe murmurante. Ses maîtres lui ont raconté ce qu'il prenait pour des rêves éveillés. Les maîtres de la Griffe murmurante auraient été capables de saisir une flèche au vol. Ridicule. Mais aujourd'hui, j'ai vu un tigre-senche saisir un couteau de lancer avec les dents ! J'ai envie d'essayer, mais mon visage actuel me plaît. |
40 | Pacrooti | Les nobles Khajiits vagabondaient autrefois. Puis vint la peste thrassienne. Imaginez la culture, les arts martiaux et les techniques de travail du bois qui furent perdus alors ! Je donnerais mes essences les plus précieuses pour voir l'époque des 16 Royaumes, lorsque l'ancienne Elsweyr était jeune. Mais c'est impossible. Aussi préféré-je vous donner ce bois. |
41 | Pacrooti | Les Khajiits tendent naturellement vers un régime sucré. Et les autres le leur reprochent. Je me suis un jour attablé avec un mercenaire bréton, qui a foudroyé mon assiette du regard et commenté « Mon fils aussi mange des sucreries ». Je lui ai montré les crocs et j'ai dit « Certes, mais votre fils est un vilain garçon ». J'ai bien aimé que le Bréton le prenne mal. |
42 | Pacrooti | Je pourrais entrer dans un salon de thé impérial avec une fourrure en berne qui me ridiculiserait dans n'importe quel village khajiiti, et personne ne s'en offusquerait. Mais si je ne me baigne pas pendant quelques semaines, les Impériaux deviennent des vauriens qui me lancent insultes et projectiles. Quel peuple volage. Je trouve que quelques semaines sans eau ajoutent un peu de caractère à l'odeur. |
43 | Pacrooti | Tandis que je récolte ces matières premières pour vous, j'en viens parfois à penser aux légendaires artefacts de l'histoire comme l'Anneau des Khajiits, qui permit à Rajhin de devenir un véritable dieu du vol. On raconte que cet anneau existe encore, dans la nature. Je me demande si je le trouverai un jour. |
44 | Pacrooti | Je n'aime pas les tavernes. Je préfère boire seul. Les Hommes et les Mers renversent toujours leur boisson et crient des vantardises. Dans le cas des Mers, des immodesties très subtiles. Un jour, lorsque la collecte de marchandises sera devenue lucrative, j'achèterai une taverne où je couvrirai mes clients de fourrure, avant de les noyer de boissons. |
45 | Pacrooti | Profitez bien de ces matières premières, mon ami. Les créatures à qui je les ai arrachées étaient terrifiantes, formidables… on peut dire qu'elles avaient cinq griffes. C'étaient des enfants brétons, les descendants d'un bûcheron ! Ils m'ont mordu, griffé et se sont cramponnés à chacun de mes membres, et m'ont maîtrisé pour me voler mes marchandises. J'ai dû me faufiler de nuit dans leur demeure pour les leur reprendre. |
46 | Pacrooti | J'aimerais que tout Tamriel arrête de nous confondre avec des animaux domestiques. Un jour, peut-être, le monde hors d'Elsweyr sera accueillant. Mais pas encore. J'espère que ces matières premières vous seront utiles, mon ami. |
47 | Pacrooti | Ces matières premières que je rassemble pour vous me demandent beaucoup de travail. Il y a des jours sans, où je ne rencontre pas une personne dont les poches sont garnies comme il faut, et d'autres jours d'abondance, où je trouve un village de bûcherons ! Je pourrais fouiller les cavernes et profondeurs de Tamriel, mais rien que d'en parler, je suis fatigué. |
48 | Pacrooti | Je veux vous dire que vous êtes mon commanditaire préféré. Vous acceptez mes lettres avec plus d'aplomb que quiconque. Cela me plaît. Otto Vincaedian, un employeur impérial, m'a demandé s'il pouvait me payer un supplément pour que j'arrête de lui envoyer des lettres avec les matières premières. Ça ne m'a pas plu. |
49 | Pacrooti | J'essaie de ne pas abuser de sucrelune, car c'est là que les saintes dorées de Sheggorath se font connaître. Les saintes dorées ruinent tout Tamriel, et ce sont les seuls êtres qui souillent même la bienveillance générale du sucrelune. C'est à cause d'elle qu'il arrive des malheurs aux Khajiits qui en abusent. |
50 | Pacrooti | Je me demande parfois ce qu'il se serait passé si j'étais né sous la pleine lune. Ces kjaiits deviennent des tigres-senche, parfois élevés pour devenir des montures. J'aurais fait un tigre-senche rapide et puissant, capable d'atteindre les matières premières bien plus vite qu'à présent. Mais je ne pourrais pas les tenir, par contre. L'univers est parfois cruel. |
51 | Pacrooti | Les Khajiits vivent dans l'harmonie, mais mes autres amis affirment que les chansons khajiities ressemblent à deux rochers qui frottent contre du verre. Je vous jure que j'ai une voix digne des plus anciens bardes elfiques, après une bière ou deux. Profitez bien de ces matières premières. J'ai essayé, mais je n'ai pas pu financer leur achat en chantant dans la rue. |
52 | Pacrooti | Je suis fier de ma crinière, mais elle a meilleure allure après quelques jours de voyage. La coiffure naturelle qui se met en place alors est incroyable – cinq griffes, facilement. Les femmes n'apprécient pas l'odeur, mais on dirait que les femmes ne m'apprécient pas, tout court. J'espère que ces matières premières vous parviendront. Laissez-les au soleil si l'odeur vous dérange. Ça passera. |
53 | Pacrooti | Je suis convaincu qu'il sommeille un fauve dans chaque Khajiit, quel que soit son statut ou sa vocation. Et que Lorkhaj vienne en aide à quiconque éveille ce fauve ! J'ai dû punir un enfant bréton qui m'a tiré la queue, aujourd'hui. L'enfant a crié comme si je le faisais brûler vif quand je l'ai attaché pour lui réciter des extraits de « Civilité et étiquette Khajiit ». |
54 | Pacrooti | J'ai toujours entendu dire que les hauts-chanoines altmeris étaient très bien élevés. Comme tout ce qui concerne les politiciens, je n'ai pas compris ce que cela voulait dire. J'en ai vu une dans la rue, aujourd'hui, suivie par des justiciars. Ceux-ci lui portaient ses affaires et lui ouvraient les portes. Apparemment, « bien-élevée » est un euphémisme qui signifie handicapé. |
55 | Pacrooti | Sachez que le propriétaire originel de ces matières premières ne les méritait pas. Elles seront bien mieux chez vous. |
56 | Pacrooti | Montrez-moi un Elfe riche, et je vous montrerai un bigot qui se conduit avec mépris en matière de cuisine et de décoration. Montrez-moi un Elfe pauvre, et je vous montrerai un bigot qui se conduit avec mépris en matière de cuisine et de décoration. Les Elfes devraient apprendre à être aussi ouverts d'esprit que les Khajiits. Veuillez accepter les matières premières que je vous ai trouvées. |
57 | Pacrooti | Parfois, j'ai le mal du pays, et je crie vers les Lunes, alors mes voisins, dont certains sont Khajiits, ont décidé de me lancer des gourdins et de m'assommer au lieu de compatir. J'ai transformé leurs présents en matériaux qui vous seront utiles. |
58 | Pacrooti | Lorsque je ne rassemble pas vos marchandises, je rêve, parfois, d'enseigner le combat sans armes à tous ceux qui l'ignorent. Mais les gens se moquent de moi, et me répondent qu'ils n'ont besoin que de leur épée. Ils ne comprennent pas que, si je le voulais, je pourrais les regarder en face et prendre leur épée en même temps. |
59 | Pacrooti | J'espère que ces marchandises vous satisferont. J'ai affronté un spriggan pour les obtenir. En fait, une ces marchandises étaient autrefois une tête de spriggan. |
60 | Pacrooti | J'ai entendu parler des Anseïs, les saints de l'épée yokudans, qui avaient maîtrisé l'art de l'épée au point qu'ils en possédaient des capacités presque magiques. J'imagine que mon entraînement dans la voie du Croc murmurant nécessite la même discipline physique et mentale, mais le Croc murmurant ne m'a jamais aidé à voler. |
61 | Pacrooti | J'ai craché mes dernières pièces pour m'offrir une tourte à l'anguille, ce matin, et je n'avais pas les moyens d'acheter un cheval. Un passeur m'a proposé de m'amener aux marchandises dont vous aviez besoin. J'ai préféré marcher que d'emprunter son bac. À moins qu'elle soit dans ma bouche, j'ai horreur de l'eau. |
62 | Pacrooti | La liste de gens à qui je ne confierais pas ses meilleures marchandises est plus longue que ma langue. Sachez que je refuse de faire affaires avec les meilleurs facteurs d'arcs du pays, car je sais que cela ne me laisserait pas assez de marchandises pour satisfaire vos besoins. Continuez de m'employer. Je vous en prie. |
63 | Pacrooti | Mon cher ami, je crois que j'ai un problème. Je sais depuis un moment que je dois une certaine somme à un homme en ville qu'on n'appelle que « le percepteur ». Il y avait des hommes étranges dans ma chambre à la Dame rouillée cette après-midi. Je pense qu'ils travaillent pour ce percepteur, qui n'hésite pas à faire appel à la force pour ceux qui ne payent pas. |
64 | Pacrooti | Je suis un maître du Croc murmurant, et je ne crains ni l'Huissier ni ses hommes, mais je préférerais ne pas les combattre. Je ne veux pas leur faire de mal, vous comprenez. Alors j'ai payé pour embarquer à l'arrière de la charrette d'un paysan, aujourd'hui, sous une couverture. Il faisait très chaud. |
65 | Pacrooti | J'ai été acculé par les hommes de l'Huissier, aujourd'hui, et bien qu'ils ne m'aient pas forcé à déchaîner la puissance du Croc murmurant contre eux, ils ont dit qu'ils me laissaient l'occasion de vous envoyer ma dernière livraison avant de me forcer à les suivre. J'espère que ce colis vous parviendra en temps utile. sruoces ua |
66 | Pacrooti | J'ai enfin rencontré l'Huissier, qui, à ma grande surprise, ressemblait beaucoup à mon cousin, Hadalit ! C'est parce qu'il s'agit de mon cousin, Hadalit ! Tout a été pardonné dès que nous nous sommes serré la main, même si Hadalit a insisté pour que je paie ma dette. J'ai rappelé qu'on ne peut pas avoir de dette dans une famille. Nous nous sommes battus dans la rue jusqu'à ce qu'il m'ait pris tout mon or. |
67 | Pacrooti | Je me trouve plutôt intelligent, pour un Khajiit, mais moins que ceux qui ont eu l'illumination de créer le sucrelune dans la forêt de Tenmar. Mais je suis doué pour rassembler des matières premières, j'espère qu'elles vous seront utiles. |
68 | Pacrooti | Pour la plupart des Khajiits, le sucrelune est un symbole religieux – un moyen savoureux de se rapprocher des dieux. Mais moi, j'aime simplement le sucrelune. Je passe mon temps à manger, et c'est une religion en soi, à mes yeux. Ne vous inquiétez pas. Je place la récolte de matières premières très haut dans mes priorités. Pensez à épousseter celles-ci, ou vous pourriez attirer des mouches. |
69 | Pacrooti | Je sais que je suis le meilleur des récolteurs de matières premières, mais j'ai entendu parler d'un tandem de frères rougegardes, qui me disputent ce titre. Il paraît qu'ils se spécialisent en pierres runiques pour l'enchantement, mais j'ai l'impression que mes méthodes spécifiques d'acquisition me permettraient de réussir même dans d'autres domaines. |
70 | Pacrooti | J'ai gagné un jeu de hasard aujourd'hui, contre une autre Khajiit appelée Double-Chance. Elle ne devait pas avoir l'habitude de perdre, parce qu'elle avait l'air doublement furieuse après moi ! Elle n'a pas apprécié que je le lui fasse remarquer à voix haute. J'essayais de faire la conversation, mais elle a voulu me transformer en carpette. Avec un couteau. |
71 | Pacrooti | Selon les Lunes qui gouvernent notre naissance, les Khajiits viennent au monde avec des corps et des statures différents. Nous acceptons notre lot, et agissons en fonction, contrairement aux manigances perpétuelles des Hommes et des Mers. J'ai passé une très mauvaise journée. Un Impérial et un Altmer me sont passés devant dans la file d'attente du marché, alors qu'ils savaient pertinemment que j'étais avant eux. |
72 | Pacrooti | J'espère que ces matières premières vous apporteront satisfaction. Elles m'ont coûté un bras. Enfin, elles l'ont surtout coûté au spriggan ! Ha ha, bonne blague. Et j'étais content de survivre à l'attaque du spriggan, aussi. |
73 | Pacrooti | Je traque un trio de harfreuses depuis des jours, dans l'espoir qu'elles me ramènent à leur logis, où je suis sûr qu'elles disposent de matières premières en abondance. Je vous écris parce qu'elles ont arrêté de se déplacer et son silencieuses. J'ai entendu dire que lorsque les harfreuses font silence, c'est qu'elles vont attaquer. Je me demande après qui elles en ont. Je ne vois personne d'autre à la ronde. |
74 | Pacrooti | Je me suis fait attaquer par les trois harfreuses que je suivais. J'espérais qu'elles me mèneraient à leur habitation, que j'aurais alors vidée des matières premières qu'il contenait, mais elles ont dû m'apercevoir dans les fourrés. Elles m'ont roué de coups et de sorts, mais je suis maître du Croc murmurant. Je fus le seul à sortir debout de ce combat. |
75 | Pacrooti | Je n'ai pas pu m'empêcher de rire lorsqu'un petit Altmer est descendu de selle, aujourd'hui. Il m'a défié en duel, aussi me suis-je caché dans l'ombre pour en sortir une heure plus tard, au bord de la route, où je l'ai roué de coups. Je ne l'ai pas tué, mais j'ai pris son épée en récompense. Elle a payé ces objets que je vous envoie, et bien davantange encore ! |
76 | Pacrooti | Ne touchez jamais au skouma, mon ami. Bien qu'il soit populaire auprès de certains Khajiits, j'ai vu aujourd'hui un Rougegarde, l'un des grands chasseurs de matières premières de la région, l'un des deux cimeterres d'al-Babnab, sous l'influence de cette sinistre substance. Il tremblait, non pas de fièvre, et ses yeux injectés de sang allaient sans cesse de droite et de gauche. J'espère qu'il survivra. |
77 | Pacrooti | Je tiens à vous dire que je travaille dur pour vous, chaque jour. Rien qu'aujourd'hui, j'ai porté toute une livraison de matières premières de chez le vieux Rickler jusqu'à la malle-poste. J'ai gagné beaucoup de temps : j'avais trouvé toutes ces matières premières chez le vieux Rickler. |
78 | Pacrooti | J'ai remercié un barde pour sa chanson, aujourd'hui, mais le barde ne m'a pas entendu, ou n'a pas voulu répondre. Je me suis attardé pour en avoir le cœur net, au cas où d'autres remercieraient le barde. Personne ne l'a fait, et quand le barde est parti, sans doute pour aller donner une autre représentation, je l'ai suivi. Au bout d'un moment, le barde s'est mis à courir, et je n'ai pas pris la peine de lui courir après. Drôles de gens, ces bardes. |
79 | Pacrooti | Il y a beaucoup de vandales dans les endroits où je mange. Les autres établissements refusent de me servir. En conséquence, je suis souvent le client le plus respectable. Un acquisiteur de matières premières parmi les criminels endurcis. Je mange rapidement, pour pouvoir écrire ma lettre. Les clients partiront bientôt, avec les matières premières que je devrai prendre pour vous les envoyer. |
80 | Pacrooti | Je n'aime pas fréquenter les morts-vivants. Ils sont comme des animaux, des prédateurs naturels des vivants. Méprisables, et contraires au monde qui respire, de toutes les façons possibles. Toutefois, la plupart des morts-vivants étaient vivants avant de devenir morts, et leur dernier repos peut donc abriter de nombreuses matières premières intéressantes. |
81 | Pacrooti | L'Anneau est un artefact légendaire des Khajiits, et il rendrait qui le porte maître du déplacement indétectable. Beaucoup disent qu'ils utiliseraient un tel objet pour changer le cours de la guerre, ou se venger de leurs ennemis. Comme tous les Khajiits, je préférerais me lancer dans une débauche de cambriolages. |
82 | Pacrooti | Un jour, je découvrirai comment l'on peut franchir une rivière sans se mouiller. Mais pas aujourd'hui. J'ai même payé le passeur double tarif pour qu'il nous fasse traverser sans heurt. Il n'a pas réussi. J'espère que vos matières premières vous plairont. Elles, heureusement, étaient emballées, et sont restées sèches. Je n'avais pas cette chance. |
83 | Pacrooti | Je me suis toujours demandé à quel point un mage utilise son art au quotidien. Je suis maître du Croc murmurant, et ses techniques, comme une brume infime, se faufilent dans tous les aspects de ma vie. Je préfère grimper à un arbre, par exemple, qu'emprunter un escalier. Un mage vole-t-il au lieu de gravir un escalier ? |
84 | Pacrooti | Je ne sais pas si je trouverai un jour le véritable amour, pour autre chose que le sucrelune, s'entend. J'essaie de faire attention entre les repas, mais pensez bien à épousseter vos matières premières avant de vous en servir. Et pardonnez-moi. |
85 | Pacrooti | Je n'y peux rien, si je ne sais pas nager. Je refuse de me mettre à l'eau et d'apprendre. Il y a peut-être pire dans la vie que d'être immergé des pieds à la tête, mais je ne vois pas de quoi il peut s'agir. Peut-être les plans d'Oblivion. Faites bon emploi de ces matières premières, j'ai failli me noyer pour vous les envoyer. |
86 | Pacrooti | Lorsque je le veux, je peux être très discret. Mais j'y parviens grâce à ma souplesse et ma très grande ruse. Les Lunes savent ce que j'ai fait pour me cacher des gardes de la ville. Mais les mages se fichent bien de la sueur et des efforts ! D'un seul mot, ils accomplissent la même chose. Et maintenant, je dois à nouveau voler des matières premières. |
87 | Pacrooti | Je pense que vous êtes le meilleur employeur que j'ai jamais eu. Vous n'avez jamais un mot méchant envers moi. Et cela me fait chaud au cœur. |
88 | Pacrooti | Je ne sais pas quand cette livraison vous parviendra, mais j'espère qu'elle sera intacte. Pour une fois, c'est moi qui ai poursuivi un spriggan, et non l'inverse. Une torche enflammée en main, je lui ai fait payer les terreurs que les autres spriggans avaient pu m'infliger. Il est tombé d'une falaise, et est devenu les pièces détachées que vous tenez en ce moment. |
89 | Pacrooti | Je n'ai aucune patience pour ceux qui ferment leur porte à un voyageur par une nuit pluvieuse comme celle-ci. J'ai autorisé trois mercenaires brétons à dormir dans ma chambre jusqu'au petit matin. S'ils ont des matières premières intéressantes dans leurs affaires, je vous les enverrai avec cette lettre. |
90 | Pacrooti | Je me demande pourquoi les squelettes prennent la peine de m'embêter. Ils ne mangent pas, ils ne se font jamais d'amis ni d'ennemis. Ils se contentent de m'embêter lorsque je passe près d'eux. Mais imaginez un peu comment ils devaient être de leur vivant. C'étaient sans doute les pires personnes que j'aie jamais rencontrées. Je ne me considère pas intolérant, mais les morts-vivants me dégoûtent. |
91 | Pacrooti | J'ai beaucoup d'amis, mais je ne suis pas certain qu'ils m'apprécient beaucoup. Il y a Luna la boulangère, Liam le forgeron, et Timéo le pêcheur, avec qui je fais souvent commerce. Ils serrent leur bourse comme s'ils avaient des serres de harfreuses chaque fois que j'approche, alors que je leur ai assuré plusieurs fois ne pas chasser les matières premières lorsque je leur rends visite. |
92 | Pacrooti | Une Nordique m'a provoquée en combat à mains nues aujourd'hui. Je sais qu'il n'y a pas de manière facile de se sortir d'une rixe avec les Nordiques, aussi n'ai-je pas perdu de temps à lui répondre. Au lieu de cela, j'ai porté le premier coup. Elle était lourdement imprégnée, et malgré mes coups de poings et mes coups de pieds bas, elle ne sentait rien du tout. J'ai fini par rendre les armes. |
93 | Pacrooti | Parfois, je me demande si les histoires de dragon étaient vraies ou non. Des créatures qui crachent le feu seraient très dangereuses. Je doute que les habitants de Tamriel auraient pu survivre dans un monde où de telles bêtes sillonnaient les cieux. |
94 | Pacrooti | J'aurai fait un très bon Altmer. J'aurai passé toute la journée à me pavaner, la poitrine gonflée, pour me vanter de toutes les grandes choses que j'aurais accomplies. Me lever, par exemple. |
95 | Pacrooti | Faites bon usage de ces matières premières, mon ami. J'ai dû combattre une terrifiante machine dwemer pour les obtenir. Personne n'en avait, en ville. J'ai regardé partout, même dans les maisons. |
96 | Pacrooti | En Khajiit, nous parlons de nous-même à la troisième personne. Mais cela ne se traduit pas en langue courante, et j'ai fini par m'en faire une raison. Mais au premier abord, la combinaison entre cette parlance et l'accent rauque des Khajiits m'évoquait un Mer qui parlait avec le visage d'un Khajiit. C'est très troublant. |
97 | Pacrooti | Voici une nouvelle livraison de matières premières, mon cher ami. J'aimerais vous faire savoir combien j'apprécie de travailler pour vous, et j'ai inclus dans ce paquet la quantité habituelle d'objets (plus ou moins) malgré la confiscation d'une grande partie des fruits de ma chasse par les gardes de la ville. Avec toutes ces patrouilles, je ne sais pas comment font les autres fournisseurs. |
98 | Pacrooti | Mon logeur actuel est très arrogant. Il méprise les choses que je fais pour payer mon loyer, quoiqu'il ne refuse jamais le loyer que je lui verse. Si mon propriétaire savait que c'est lui qui paie le loyer que je lui donne, il serait encore plus contrarié. |
99 | Pacrooti | Chaque fois que je brise un automate dwemer, je regrette de ne pas pouvoir en récupérer les pièces détacher, voire le réparer pour qu'il m'obéisse. Avec un peu de colle et des assiettes, les marteaux tournoyants d'un centurion dwemer feraient une très belle desserte. |
100 | Pacrooti | Mes amis se vantaient aujourd'hui de leurs chevaux, et se disputaient pour savoir lequel était le plus rapide. Si j'avais assez d'argent, j'achèterais un tigre-senche pour monter dessus. Ils sont plus amicaux que les chevaux, et j'arrive à lire leur humeur sur leur visage. Ils sont un peu comme moi. Mais les chevaux ont un regard sournois qui me déplaît. |
101 | Margog le Martel | On dit que vous êtes en quête d'un fournisseur, de quelqu'un qui vous procurerait des ingrédients. Des matériaux pour le travail du bois. Margog le Martel est votre Orque. Je suis fait pour ce travail. Mes prix sont bas, je livre dans les temps et je connais des Orques qui en connaissent d'autres, si vous me suivez. |
102 | Margog le Martel | Margog vous salue. Je suis fier de dire que mon affaire a vraiment pris un bon tour. Comme vous pouvez voir, ma marchandise est de la meilleure qualité. C'est grâce à mes fournisseurs. J'ai passé des accords pour vous procurer les meilleurs matériaux de façon régulière. Des accords qui ne peuvent pas se refuser. |
103 | Margog le Martel | Le dernier chargement n'est pas tombé d'un chariot, du moins pas entièrement. Je plaisante. Vous découvrirez au fil de notre correspondance que Margog le Martel a un très bon sens de l'humour. Je suis même plus drôle que la plupart des Orques. Enfin, c'est ce qu'on dit. Tous mes gars le disent. Bien sûr, je les paye pour ça ! Ha ! |
104 | Margog le Martel | J'ai une confidence à vous faire. Je ne vous fournis pas en ingrédients artisanaux par devoir ou obligation. J'ai un but. Je me sers des profits dégagés pour financer de plus grandes ambitions. Je projette de bâtir une organisation qui intervient dans toutes sortes d'affaires. Vous pouvez me voir comme une sorte d'entrepreneur. |
105 | Margog le Martel | Certaines de mes entreprises pourraient être considérées comme criminelles. J'assume. Je fais le nécessaire pour répondre à une demande toujours croissante, et si c'est un crime alors je suis un Bosmer maigrelet ! Mais ne vous en faites pas, patron. Pour vous, tout se fera en dessus de table et dans les règles. La plupart du temps. Parole ! |
106 | Margog le Martel | Salut, patronne. C'est moi, Margog le Martel. Puisque mes diverses entreprises semblent vous intriguer, je me suis dit que la dernière en date vous intéresserait. Je suis en train d'établir une méthode de redistribution de biens trouvés dans la ville où j'habite. Il se trouve que quelqu'un contrôle déjà ce marché, et ce quelqu'un n'aime pas mon initiative. |
107 | Margog le Martel | Est-ce que je me soucie d'un sale Khajiit ? Et de ses prétentions selon lesquelles il détient le marché de la redistribution des biens mal acquis dans ma ville ? Bien sûr que non ! Pour qui Pattes-splendides se prend-il ? Ce n'est pas mon patron ! Ce n'est même pas un Orque ! S'il m'envoie encore ses larbins, je ne serai pas responsable du résultat. |
108 | Margog le Martel | Aujourd'hui, un malencontreux accident est arrivé aux associés de Pattes-splendides. Ils m'ont demandé leur part d'or sur mes affaires, avec lesquelles ils n'ont rien à voir. C'est à ce moment que le marteau suspendu au-dessus de mon établi s'est décroché et a percuté le crâne de ces deux malheureux. À plusieurs reprises. J'espère que le Khajiit a engagé un bon guérisseur. |
109 | Margog le Martel | Salut, patron. J'espère que cette cargaison d'ingrédients pour le travail du bois est bien arrivée. J'espère aussi que vous allez mieux que les bandits que ce soi-disant seigneur du crime khajiit m'a envoyés pour discuter. Il paraît que l'un d'entre eux pourrait ne pas s'en remettre. J'imagine que ça va aggraver les choses entre ce chat et moi, mais les affaires sont les affaires. Pas vrai ? |
110 | Margog le Martel | Vu que toutes mes autres affaires se portent bien, vous vous demandez sûrement pourquoi je continue à travailler comme fournisseur en ingrédients artisanaux. C'est une bonne question. Le travail du bois me calme. Il me clarifie les idées et me détend. C'est un passe-temps, si vous voulez. Je me suis dit que je pourrais faire un peu d'or au passage, voilà tout. Votre livraison accompagne ce mot. |
111 | Margog le Martel | Bon, patron, comme je vous le disais la dernière fois, le travail du bois me calme. Comme vous le savez, je suis un Orque et j'ai le tempérament d'un Orque, peut-être même de deux ! Mes autres affaires exigent parfois que je lui laisse libre cours. À la fin de la journée, j'ai besoin de me détendre et de laisse retomber la pression. Scier et marteler me conviennent à merveille ! |
112 | Margog le Martel | Les larbins du Khajiit connu sous le nom de Pattes-splendides m'ont rendu visite. J'ai décidé d'ouvrir une taverne en face de son auberge, et ça lui hérisse le poil. Il doit ignorer que la compétition est bonne pour la digestion. Et je construis les lieux de mes propres mains. Voyez ça comme un gros projet de travail du bois pour m'aider à garder mon sang-froid ! |
113 | Margog le Martel | Salut, patron. C'est Margog. Un autre accident idiot a encore envoyé les employés de Pattes-splendides chez la guérisseuse. C'est ce qui arrive quand on traîne dans un chantier sans faire attention où on met les pieds. On tombe sur une pile de poutres et de clous, encore et encore. Peut-être que maintenant, le Khajiit se mêlera de ses affaires. |
114 | Margog le Martel | Ma taverne sera bientôt prête pour sa grande inauguration. Je vais l'appeler « marteau et scie », parce que le travail du bois représente beaucoup pour moi. Je suis un Orque industrieux ! Fournisseur d'ingrédients, propriétaire de taverne, spécialiste en objets trouvés, convoyeurs de biens indésirables… un véritable entrepreneur ! Et, puisqu'on en parle, voici vos matériaux. |
115 | Margog le Martel | Vous et moi, on n'a jamais eu à en venir aux mots, mais mes autres affaires nécessitent souvent que je laisse parler mon Orque intérieur. Je ne suis pas fier de mes tendances violentes, mais elles permettent à l'or de couler à flots. On ne fait pas d'omelette d'œufs de kwama sans casser quelques bras, pas vrai ? Mon oncle le répétait toujours. |
116 | Margog le Martel | Salut, patron. Si je suis moins joyeux que d'habitude, c'est parce que je suis énervé. Je me sens toujours un peu mal à l'aise après avoir été forcé de blesser à plusieurs reprises un client ou un rival, au cours d'une transaction. C'est le mauvais côté des affaires. Mais celle d'aujourd'hui me laisse un goût amer. J'éprouve même du regret. |
117 | Margog le Martel | Vous vous demandez probablement ce qui a pu se passer pour que le vieux Margog le Martel pleurniche comme un horqueur mélancolique, et où a bien pu passer l'Orque insouciant et plein d'idées que vous avez embauché. Hé ! Bien ! Il se sent mal suite à ce qui s'est passé l'autre jour. Et au lieu de s'évaporer comme la rosée, un sentiment persiste : la culpabilité. |
118 | Margog le Martel | Mais de quoi Margog se sent-il coupable ? J'ai blessé une des associées de mon rival ! C'est exact, Pattes-splendides s'est encore mis en boule à propos d'un truc ou d'un machin que j'avais fait, et m'a envoyé deux larbins pour me donner une leçon. Ça finit toujours mal pour ces andouilles, comme vous le savez, mais l'une d'eux était Fahdah la Délicieuse. |
119 | Margog le Martel | Fahdah la Délicieuse. C'est une femme de main rougegarde dont la beauté stupéfiante égale la force. J'ai eu l'opportunité de la regarder travailler, en tant que spectateur, et elle a un don pour rosser les gens. Elle peut faire plus en une grimace et un regard qu'un gros bras de base avec un tonneau rempli d'armes. J'espère que la guérisseuse connaît son travail ! |
120 | Margog le Martel | Je l'admets. Moi, Margog le Martel, j'ai tabassé Fahdah la Délicieuse. Je lui ai cassé un bras. Et ça me casse le moral ! Bien sûr, elle et son associé sont venus dans ma taverne un peu avant son inauguration exprès pour me faire passer un message brutal et douloureux de la part de leur patron, Pattes-splendides. Mais c'était Fahdah ! Que dois-je faire ? |
121 | Margog le Martel | Patron. Au cas où vous vous diriez que je me ramollis, laissez-moi mettre les choses au point. Je suis Margog le Martel ! Un entrepreneur qui aime le travail du bois et doit parfois afficher une façade dure pour mes différents associés en affaire. Mais les gens que je savate l'ont mérité. Et Fahdah l'avait bien mérité. Alors pourquoi suis-je malheureux ? |
122 | Margog le Martel | J'ai parlé avec la guérisseuse. Je suis rassuré, Fahdah la Délicieuse s'en remettra bien. En fait, son bras n'est pas cassé. C'est juste un vilain œdème. Elle sera sur pied et elle bottera des postérieurs en un rien de temps. Je vais sûrement devoir prendre garde à mes arrières pendant un certain temps, mais au moins je la verrai un peu plus souvent. Je n'ai pas oublié vos ingrédients. |
123 | Margog le Martel | Marteau et scie a ouvert aujourd'hui. Il y a eu une grande fête. La salle était comble, les boissons coulaient à flots et la foule était heureuse et enthousiaste. Tout ce que j'espérais. Si jamais vous passez par Abandon, venez me dire bonjour. Votre première bière sera pour la maison. Et j'adorerais parler travail du bois avec vous. |
124 | Margog le Martel | Les événements prennent une drôle de tournure. Le seigneur du crime, Pattes-splendides, a décidé de visiter mon humble taverne. Il quitte rarement le confort et la sécurité de son auberge, mais il est entré comme s'il était chez lui, entouré de ses gros bras, dont Fahdah la Délicieuse. Il a bu un verre et a porté un toast à mon succès. Je ne sais pas pourquoi, mais je suis inquiet. |
125 | Margog le Martel | Je vous ai déjà parlé de la ville d'Abandon ? C'est une petite localité en pleine expansion dans les étendues sauvages de Hauteroche. Il y a une auberge, une taverne, une étable, et l'assortiment habituel de commerçants et d'artisans. Nous avons même un guérisseur, mais elle s'occupe surtout de Pattes-splendides et de ses gusses. Nous n'avons pas de temple, mais les prêtres itinérants passent de temps en temps. |
126 | Margog le Martel | Une prêtresse itinérante de Mara est passée en ville, aujourd'hui. Je ne suis pas du genre religieux. Je crois à peine en Mauloch. Mais je me posais toujours des questions, rapport à mes affaires et la nécessité de la violence, quand elle a poussé la porte de ma taverne. Nous avons pu parler et elle a réussi à me faire réfléchir à une vie plus pacifique. |
127 | Margog le Martel | Margog le Martel peut-il devenir Margog le Serein ? D'après la prêtresse de Mara, c'est ma meilleure chance d'être heureux. Elle veut que j'ignore mes pulsions violentes. Elle dit que je dois cesser d'être grossier et vulgaire. Que je devrais voir la beauté en toutes choses et tâcher d'être plus amical. Ça pourrait me tuer, mais je vais essayer. |
128 | Margog le Martel | Salut, patron. Voici une autre livraison d'ingrédients artisanaux. Je fais vraiment des efforts pour rester calme et serein, même si tout mon entourage est aussi agaçant qu'une pièce remplie de Bosmers maigrichons. Il me faut énormément de volonté pour ne pas jouer du marteau dès que quelqu'un l'ouvre. Quant à vous, je vous souhaite une bonne journée. |
129 | Margog le Martel | Ce maudit chat, le seigneur du crime, mon rival Pattes-splendides ! Il a décidé d'interférer à nouveau dans mes affaires. Cette fois, il a engagé des brigands pour intercepter mes cargaisons de marchandises illicites. Vous savez, mes réseaux de contrebande ? Pardonnez-moi d'être si direct, mais rester serein commence à me taper sur les nerfs ! Il faut que je cogne quelque chose ! |
130 | Margog le Martel | C'est moi, Margog le Martel. J'ai perdu deux cargaisons de contrebande en autant de jours, à cause des brigands qui travaillent pour Pattes-splendides, le seigneur du crime Khajiit. Ras-le-bol ! Avec quelques-uns de mes employés, on va les trouver. Et quand ce sera fait, je vais calmement et sereinement les réduire en purée ! |
131 | Margog le Martel | Je serai bref, je n'ai pas le temps d'écrire. Nous sommes sur le coup pour les brigands de Pattes-splendides. Voici vos ingrédients artisanaux. Cela fait des jours que je ne me suis pas senti aussi bien. Je donnerai des nouvelles plus tard. Margog le Martel. |
132 | Margog le Martel | Salut, patron. C'est Margog le Martel. Je me suis dit que vous aimeriez savoir que j'ai récupéré les marchandises volées par les brigands. Et je me suis occupé d'eux, comme autant de clous sous le marteau. Les routes autour d'Abandon devraient être un peu plus sûres. Pour l'instant. Je suppose que la sérénité, comme tout le reste, doit se pratiquer avec modération. |
133 | Margog le Martel | Je suis revenu en ville pour découvrir un tout nouvel arrivant. Dans son infinie sagesse, quelqu'un a décidé qu'on avait besoin d'un peu d'ordre dans notre localité naissante. Je dois donc désormais trouver que faire du milicien Chédric Celd et de son vœu d'apporter l'ordre dans les étendues sauvages de Hauteroche. Si vous saviez à quel point je me sens en sécurité, maintenant. C'est indescriptible. |
134 | Margog le Martel | Pattes-splendides, Fahdah la Délicieuse, les marchands réticents… Je sais comment traiter avec eux. Le milicien Chédric Celd ? Pas du tout. Il est si débordant de juste indignation, d'honneur et d'honnêteté inflexible… En fait, il est tellement incorruptible qu'il me file la nausée ! Il a refusé mon pot-de-vin et m'a dit qu'il me tenait à l'œil. C'est très ennuyeux ! |
135 | Margog le Martel | Que je déteste ce brave et honorable milicien Chédric Celd ! J'aurais dû laisser Pattes-splendides agir le premier, mais je devais mettre sa loyauté à l'épreuve. J'ai toujours mon or, mais à présent ce bon milicien se doute que je pourrais avoir des liens avec certains milieux un rien moins qu'honnêtes. C'est assez pour me faire dire que le crime ne paye pas vraiment. |
136 | Margog le Martel | Et voilà une autre livraison d'ingrédients artisanaux. Veuillez excuser mon humeur, ce nouveau milicien fourre le nez dans mes affaires et m'a mis de mauvais poil. Si je n'attire pas bientôt son attention ailleurs, je vais perdre un tas d'or. Ça pourrait se terminer en accident, mais je n'ai rien dit. |
137 | Margog le Martel | Salut patron ! C'est Margog le Martel. Je suis de meilleure humeur, aujourd'hui. Ce brave milicien Chédric a enfin appris que Pattes-splendides se fait appeler « seigneur du crime d'Abandon » ! Il avait des soupçons contre moi, mais le voilà qui expose toutes les combines du Khajiit. Espérons qu'il découvrira un truc moche et surtout, incriminant. |
138 | Margog le Martel | Un des fournisseurs avec qui je travaille, un Dunmer nommé Béranzen, a décidé de s'ouvrir des opportunités en éliminant l'intermédiaire. Malheureusement, cela voudrait dire que je ne serais plus dans la boucle. Vous imaginez bien que je ne peux pas le laisser faire. Il faut que je lui parle. Je prendrai mon marteau. |
139 | Margog le Martel | Le Dunmer Béranzen. Une sorte de collecteur de biens perdus. Il s'est adressé à moi ses acquisitions en or, que nous nous partageons. J'ai entendu que ce voleur cherche une meilleure offre. J'imagine qu'il veut profiter des possibilités du marché libre. Nous aurons un tête-à-tête, dès que j'aurai expédié votre cargaison. |
140 | Margog le Martel | Mauvaise nouvelle, patron. Béranzen et moi ne sommes pas parvenus à un accord. Je suis désolé de ne plus pouvoir travailler avec lui. Et d'avoir dû le jeter dans une porcherie après qu'il ait malencontreusement glissé et percuté mon marteau avec le front. Deux fois. C'est malheureux, mais ce genre de choses tend à arriver aux gens qui cherchent à profiter de ma nature généreuse. |
141 | Margog le Martel | Margog le Martel, à votre service ! J'espère que vous êtes en bonne santé et prospère ! Ma bonne humeur vous intrigue ? Le milicien Chédric a abattu l'épée de la justice sur les activités illégales de Pattes-splendides. Je nage dans le bonheur ! À plus tard, je dois faire la bringue. |
142 | Margog le Martel | Le bonheur ne dure pas. Les événements ont pris une sale tournure. Tous les témoins rassemblés par le milicien Chédric pour témoigner contre le seigneur du crime Khajiit ont mystérieusement disparu. Bien sûr, ils ont laissé des mots pour expliquer qu'ils devaient régler des affaires urgentes, ailleurs. Loin. Mais, à mon avis, ils servent de buffet à volonté pour les vasards, au fond du lac. |
143 | Margog le Martel | Mon ennemi juré (j'ai un ennemi juré !), Pattes-splendides, est libre et blanchi. Du moins, pour l'instant. Mais le milicien Chédric n'est pas plus heureux de cette situation que moi. Il nous l'a fait savoir de façon très claire, et nous a avertis qu'il nous tiendrait à l'œil. Tous les deux. Joie ! Peut-être ai-je deux ennemis jurés. Il faut que je réfléchisse. Je n'ai pas oublié votre livraison. |
144 | Margog le Martel | Salut, patron ! Il faut que je vous parle de mon nouveau projet, pour me calmer les nerfs et me rendre serein. Je construis une maison entière pour les guars nains qui se rassemblent derrière ma taverne. Vous connaissez ces bestioles ? Elles sont plutôt mignonnes, pour des espèces de petits poulets reptiliens. Je les adore ! |
145 | Margog le Martel | Le travail du bois est tellement relaxant quand je travaille sur un projet qui me tient à cœur. Je regardais quelques guars nains s'ébattre derrière ma taverne, l'autre jour, en train de picorer et de faire leur drôle de petite danse. Mais il s'est mis à tomber une pluie diluvienne. C'est là que j'ai eu l'idée. C'est guars ont besoin d'un abri, et je vais leur fabriquer ! |
146 | Margog le Martel | C'est encore Margog le Martel. Pour accompagner cette livraison, voici quelques détails sur la maison à guar nains que je construis derrière ma taverne. Elle a quatre entrées, deux sorties, trois niveaux et une terrasse extérieure pour qu'ils puissent prendre le soleil. Je vais aussi ajouter deux mangeoires et trois abreuvoirs pour qu'ils ne manquent jamais d'eau et de nourriture. |
147 | Margog le Martel | Calme. Serein. Le travail du bois fait merveille sur mon sale caractère. Cela fait des jours que je n'ai pas eu envie de cogner quelqu'un ! Ça doit avoir un rapport avec le fait d'enfoncer des clous dans du bois. Enfin, la maison à guars nains est presque prête, ils pourront bientôt en profiter. J'ai hâte de voir si elle leur plaît. Entre-temps, prenez bien réception de votre livraison. |
148 | Margog le Martel | Elle est terminée, et c'est un chef-d'œuvre. Peut-être ce que j'ai fait de mieux à ce jour. Une maison digne des plus nobles guars nains, avec plein de place pour de nombreux habitants. J'ai hâte de voir s'ils vont l'aimer. Les mangeoires et les abreuvoirs sont pleins, les portes sont ouvertes, ils n'ont plus qu'à y entrer. Il me restait quelques ingrédients, je vous les ai envoyés. |
149 | Margog le Martel | Oh ! Non ! Ma splendide petite chaumière à guars nains est devenue un refuge pour les fileurs égarés. Ces vermines se sont confortablement installées dedans et mangent tout. Ils ne veulent plus en sortir et les pauvres guars n'ont nulle part où aller. Je pourrais construire une autre maison, mais je dois me dépêcher avant la saison des pluies. |
150 | Margog le Martel | C'est encore Margog le Martel. Je vous ai manqué ? Voici votre livraison. Vous connaissez le dicton « l'ennemi de mon ennemi est mon ami ? » J'y ai réfléchi. J'ai deux ennemis : Pattes-splendides et le milicien Chédric. Et ils sont en plein conflit. Je me demande si je ne devrais pas faire une alliance de circonstance. Ça me simplifierait la vie. |
151 | Margog le Martel | J'ai tendu la main en signe d'amitié au milicien Chédric. C'était une erreur ! C'était comme si je lui avais proposé une vipère au lieu d'une poignée de main. Puis, il m'a servi un bref discours pour m'expliquer qu'il ne s'associerait jamais avec une ordure de mon genre. Si j'étais du genre sensible, ses paroles m'auraient blessé. À la place, je lui ai mis une beigne. |
152 | Margog le Martel | Re-salut, patron. Mes récents efforts pour être l'ami du milicien Chédric ont échoué. Le bon et noble milicien semble être trop pur pour s'associer avec un artisan menuisier, un patron de taverne et un entrepreneur louche dans mon genre. Bon, de toute façon je n'aime pas ce type. Ça ne me laisse plus que Pattes-splendides comme allié potentiel. |
153 | Margog le Martel | Je suis un peu nerveux. Ce Khajiit d'ordinaire méfiant s'est pointé dans ma taverne et m'a offert un verre avant que j'aie pu le faire à sa place. Pattes-splendides est une épine dans mon pied depuis notre première rencontre, mais on dirait qu'il vaut mieux s'allier que laisser le milicien Chédric nous coffrer tous les deux. Et au moins, maintenant, je sais que ma bière n'est pas empoisonnée. |
154 | Margog le Martel | Pattes-splendides, le seigneur du crime Khajiit, est un type étonnamment agréable. Il raconte des histoires amusantes, rit aux plaisanteries, et tient bien l'alcool. Il a la sale manie de parler de lui à la troisième personne, mais personne n'est parfait. Il a fini par en venir au vif du sujet. Il m'a dit : « Il est temps que le milicien prenne sa retraite. » |
155 | Margog le Martel | Patron, ce n'est en rien une confession. Ce n'est qu'une discussion entre associés, vous comprenez ? Et quand Pattes-splendide parle de « retraite », il veut dire « le renvoyer à l'étable », « sortir les déchets », « résoudre le problème » ou « liquider le stock ». Et par « stock », je veux parler du bon milicien Chédric. Voici vos ingrédients. |
156 | Margog le Martel | Le monde est épatant. Qui aurait imaginé que Pattes-splendides le seigneur du crime et Margog le Martel travailleraient un jour ensemble ? Mais, comme disait ma mère de chasse, impossible d'abattre un mastodonte d'une seule flèche, peu importe l'adresse de l'archer. Le milicien Chédric est notre mastodonte, et il nous faut deux flèches. |
157 | Margog le Martel | On a décidé d'éliminer le milicien Chédric en toute discrétion. Si c'est trop spectaculaire, nous courons le risque d'attirer encore plus de représentants de l'ordre dans notre petit bourgade. Nous devons aussi être précis. Rater une cible comme le milicien est le meilleur moyen de retourner les flèches contre nous. |
158 | Margog le Martel | Discrétion et précision sont donc les deux clés de voûte de notre affaire. On n'a confiance en aucun de nos associés pour exceller dans ces domaines, alors on a décidé d'engager un expert. On a accepté de partager les coûts, mais c'est moi qui dois le contacter. Et par expert, je veux parler de la Confrérie noire. |
159 | Margog le Martel | Salut patron. Je ne sais pas si vous avez déjà tenté d'organiser un rendez-vous avec la Confrérie noire, mais c'est une vraie plaie ! D'abord, il faut que j'accomplisse une sorte de rituel du nom charmant de « Sacrement noir ». Bon sang ! Où est-ce que je vais pouvoir trouver un cœur, un crâne, des ossements et de la chair ? Si vous avez des suggestions, n'hésitez pas. |
160 | Margog le Martel | Quel rituel écœurant ! J'ai fait une effigie du milicien Chédric, comme indiqué, mais j'attends toujours les pétales de belladone de l'alchimiste. Ensuite, il faudra m'asseoir dans un cercle de chandelles, poignarder l'effigie et murmurer quelques paroles ineptes qui n'ont aucun sens. Si c'est une sorte de farce, je ferai passer le goût de la blague au responsable. |
161 | Margog le Martel | Je commençais à me dire que toute cette histoire de rituel pour invoquer un représentant de la Confrérie noire était une sorte de blague pour me tourner en ridicule, mais à l'instant où j'ai fini de réciter les mots, une silhouette en robe noire à capuchon est sortie des ombres. « Qui désignez-vous, requérant », m'a-t-elle demandé. |
162 | Margog le Martel | Les sermons que m'a infligés la prêtresse de Mara ont dû faire mouche, après tout. En contemplant les profondeurs du capuchon noir, je n'ai soudain plus du tout voulu aller au bout de ce contrat noir. Où avais-je la tête ? Tenter de faire assassiner un représentant de la loi par la Confrérie noire ? Je suis sûr que cet émissaire comprendra. |
163 | Margog le Martel | « Vous vous êtes trompé ? » m'a demandé la silhouette en noir, franchement incrédule. « C'est bien la première fois que ça arrive. Vous avez construit par erreur une effigie, disposé et allumé les chandelles, et malencontreusement poignardé l'effigie à plusieurs reprises avant de prononcer par inadvertance les mots de pouvoirs recommandés. C'est bien ce que vous me dites ? » J'ai fait oui de la tête. |
164 | Margog le Martel | « Soyons bien clairs, » dit la silhouette en robe noire, en me demandant de clarifier les choses pour la troisième fois. « Vous ne vouliez pas vraiment contacter la Confrérie noire ? Vous ne voulez la mort de personne ? Donc, en résumé, vous m'avez fait perdre mon temps ? C'est bien ça que vous voulez que je croie ? » J'ai hoché de la tête sincèrement, et j'ai présenté mes plus plates excuses. |
165 | Margog le Martel | Croyez-moi, patron, décider de ne pas passer d'accord avec la Confrérie noire fut la chose la plus angoissante de ma vie. J'étais persuadé que la silhouette en capuchon noir voulait tuer quelqu'un, et qu'à défaut de contrat, elle prendrait mon sang. J'ai offert de le dédommager pour le dérangement, en espérant pouvoir vous envoyer votre prochaine livraison. |
166 | Margog le Martel | La silhouette en noir a pris l'or à regret, en murmurant des imprécations. « Crétin, Orque » et « perte de temps » sont les seuls mots que j'ai pu saisir. Puis elle s'est tournée vers moi et pointant une dague incurvée d'allure vicieuse dans ma direction : « Vous n'avez droit qu'à une erreur, Orque, » m'a-t-elle dit. « Ne me faites pas regretter le peu de mansuétude dont je fais preuve. » |
167 | Margog le Martel | Patron, c'est encore Margog le Martel. Je suis face à un dilemme. Puisque j'ai décidé de ne pas aller au bout du contrat avec la Confrérie noire, je dois trouver comment respecter mon pacte avec Pattes-splendides, le seigneur du crime, ou me rapprocher du milicien Chédric. Je suis mal barré. Aucun choix ne me plaît vraiment, mais je ne vois pas d'alternative. |
168 | Margog le Martel | Et voilà, une autre livraison d'ingrédients artisanaux. Comme je n'arrivais pas à dormir, la nuit passée, je me suis dit qu'il valait mieux me rendre utile. À présent, l'aube se lève, et je dois me décider. Dois-je trouver un moyen de respecter mon accord avec Pattes-splendides, ou dois-je m'allier avec le milicien Chédric ? |
169 | Margog le Martel | Ma vie était bien plus simple et tranquille quand j'étais juste menuisier, avant de devenir entrepreneur. À présent tout est trop compliqué. Je découvre qu'il faut agir de façon plus subtile. On ne peut pas tout régler avec un marteau et un clou. Voilà à quoi je pensais alors que j'allais m'occuper du milicien Chédric. |
170 | Margog le Martel | Ce brave milicien était surpris de me voir entrer dans sa petite tour. C'est, en gros, un bâtiment isolé de deux étages qui lui sert de bureau, d'habitation et abrite la prison de la ville. La vie d'un représentant de la loi n'est guère reluisante, mais j'imagine que ce n'est pas le confort qui motive ces gens-là. J'ai fermé la porte derrière moi. |
171 | Margog le Martel | Une fois chose faite, je suis passé rendre visite à mon associé en affaires, le Khajiit nommé Pattes-splendides. Jadis mon rival, le seigneur du crime et moi sommes parvenus à une sorte d'accord pour contrer la menace que représentait le milicien Chédric. Mais puisque je m'étais occupé de lui, je devais désormais me charger de Pattes-splendides. |
172 | Margog le Martel | « Celui-ci aimerait savoir si vous vous êtes occupé de notre problème ? » m'a demandé Pattes-splendides. « Parle franchement, », ai-je répondu. « Tu sais que je ne comprends rien quand tu parles chat. » Ses yeux brillèrent de colère, mais il se reprit et demanda : « Le milicien Chédric. Avez-vous fait ce que celui-ci a demandé ? L'avez-vous éliminé ? » |
173 | Margog le Martel | « Je me suis occupé de ce brave milicien », ai-je dit. « Il ne m'ennuiera plus. » J'ai saisi le changement dans les yeux de Pattes-splendides, il comprenait que quelque chose allait vraiment de travers pour lui. C'est là que Chédric est entré, nimbé d'une aura de justice et de vertu : « J'accepte votre confession, chat. » déclara-t-il. « Aux oubliettes ! » |
174 | Margog le Martel | Je pensais que Pattes-splendides allait se défendre. Peut-être même se faire tuer en tentant d'échapper au milicien Chédric et à la justice. Mais non. À la place, le seigneur du crime a levé les bras et a simplement déclaré : « Pattes-splendides se rend, officier. » Il m'a jeté un regard appuyé alors que les adjoints du milicien l'emmenaient. |
175 | Margog le Martel | Salut patron. Margog le Martel à votre service. J'espère que vous allez bien. À Abandon, les choses vont mieux que jamais, maintenant que le seigneur du crime Khajiit est en taule. Et l'accord que j'ai passé avec le milicien Chédric devrait durer un moment, tant que je n'agis pas de façon trop flagrante lorsqu'il est dans le coin. |
176 | Margog le Martel | J'ai débuté un autre projet de menuiserie. Ça fait du bien de jouer à nouveau de la scie et du marteau. Parfois, la vie d'un entrepreneur est trop exigeante et je n'ai pas le temps de faire ce que j'aime. Mais ce projet devrait m'occuper. Je vais faire un coffret à souvenirs, et graver des scènes inspirées de contes populaires dessus. C'est une excellente idée ! |
177 | Margog le Martel | Salut, patron ! Le nouveau projet se passe bien. Le coffret est splendide. Il a un couvercle à charnières et un compartiment secret. Je dois choisir de quel conte je m'inspire pour les gravures. « Des netchs partout ! » ou « La courageuse petite scrib » ? Qu'en dites-vous ? J'adorais ces deux histoires quand j'étais petit. Je n'arrive pas à me décider. |
178 | Margog le Martel | Après beaucoup d'hésitation et de questionnements, j'ai décidé de choisir « la courageuse petite scrib » pour graver mon coffret à souvenirs. J'ai toujours trouvé que ce conte faisait du bien au cœur ! J'ai engagé Kwéla pour m'aider. C'est une artiste remarquable. Je me servirai de ses croquis pour faire les gravures. Si ça rend bien, j'en ferai peut-être un autre. |
179 | Margog le Martel | J'ai terminé le coffret à souvenirs en gravant une belle scène de « la courageuse petite scrib » dessus. Je l'avais à peine exposé dans ma taverne qu'un voyageur m'en proposait deux-cents pièces d'or. Deux-cents ! La fabrication de coffrets à souvenirs semble être un marché lucratif. |
180 | Margog le Martel | J'ai été convoqué à la tour de Chédric pour une audience privée avec Pattes-splendides, le Khajiit taulard. Vu sa situation, il avait l'air satisfait et à l'aise dans sa cellule. Et voilà ce qu'il m'a dit : « Avant qu'il soit envoyé à la capitale pour être jugé, celui-ci souhaite vous dédommager du service que vous lui avez rendu. » Ça sent mauvais. |
181 | Margog le Martel | Pattes-splendides veut donc me dédommager de ma trahison. Je n'aime pas ça, mais il est derrière les barreaux. Il m'a parlé calmement : « Celui-ci n'est pas en colère contre vous, Orque. Il vous remercie d'avoir simplifié la situation pour lui. Il vous transmet toutes ses possessions. Sans exceptions. » De mieux en mieux, vraiment. |
182 | Margog le Martel | Pattes-splendides a fait de moi l'exécutant de toutes ses activités, légales et illégales. Certains y verraient une aubaine, mais je suis presque sûr que c'est un piège tendu par le seigneur du crime. Un gros. Vous vous demandez sans doute ce qui pourrait mal tourner ? Je ne me le suis pas demandé longtemps : « Vous héritez aussi de toutes ses dettes et obligations. » Et il m'a dit ça avec un sourire mauvais. |
183 | Margog le Martel | Voilà, patron. Pattes-splendides m'a eu. Il m'a attaché une pierre de Mundus au cou et m'a jeté dans un lac profond et sombre. Les dettes et obligations dont je suis désormais redevable incluent trois épouses et trente-six petits en Elsweyr, un prêt contracté auprès du capitaine Ka'din des pirates de Renjira et une dette de sang avec le syndicat du crime de Koskit. |
184 | Margog le Martel | Et voilà, patron, une autre livraison de ingrédients artisanaux envoyée par Margog le Martel. Je projette de continuer à remplir mes obligations auprès de vous aussi longtemps que possible, mais les ennemis de Pattes-splendides font déjà la queue pour me rétamer, moi, son successeur involontaire. Quelqu'un est arrivé en ville, aujourd'hui, et pose plein de questions. |
185 | Margog le Martel | Ce foutu Pattes-splendides et son empire du crime ! Qu'ils pourrissent en Oblivion ! Il m'a maudit avec ses dettes et ses obligations. Ce sera ma mort, à moins de trouver comment me tirer de là. Devinez qui s'est pointé aujourd'hui. Un des frères ou des neveux du chat, ou un autre parent sorti des fesses de Molag Bal m'a défié pour s'emparer des rênes de l'organisation ! |
186 | Margog le Martel | Elle s'appelle Jolis-poils, et c'est l'aînée de Pattes-splendides. Elle veut m'affronter pour le contrôle des activités illégales du Khajiit. C'est son droit de naissance, à ce qu'il paraît. J'ai tenté de la faire changer d'avis, et de lui donner les dettes et les obligations, mais elle a refusé. Pattes-splendides s'est moqué de moi : « Si elle veut te tuer, qu'elle le fasse. » |
187 | Margog le Martel | Voici donc l'instrument de la vengeance de Pattes-splendides : sa fille volontaire et énergique, Jolis-poils. Elle projette de me tuer en combat singulier pour contrôler l'énorme empire criminel de son père. Lequel, je le rappelle, m'a été donné de force et ne m'intéresse pas ! Mais on ne peut pas faire entendre raison à une Khajiit exaltée. En tout cas, c'est ce que disait ma mère de chasse. |
188 | Margog le Martel | Le milicien est passé avant le combat. Je me disais qu'il viendrait me dire combien il était navré de m'avoir fichu dedans, mais à la place, il m'a engueulé d'avoir été assez idiot pour me faire avoir par Pattes-splendides. Il m'a dit : « On l'appelle la Griffe noire, parce qu'elle donne la mort sans être vue. » J'imagine qu'il comptait me remonter le moral. Raté. |
189 | Margog le Martel | Peu importe le guêpier où je me suis fourré, vos livraisons arriveront dans les temps. Tant que Jolis-poils ne m'aura pas vidé comme un poisson. Le cas échéant, je me suis arrangé avec un autre artisan pour qu'il reprenne mes clients. Alors n'ayez crainte, vos ingrédients arriveront toujours. À présent, il faut que je trouve comment survivre à ce merdier. |
190 | Margog le Martel | Le milicien Chédric a fini par me donner quelques conseils avant d'aller chercher un bon point d'observation pour le combat à venir. « Attaquez par votre gauche, c'est votre point fort. » J'ai acquiescé et je lui ai demandé s'il croyait en mes chances. Il m'a répondu : « Absolument pas, mais je suis avec vous quand même. » Les représentants de l'ordre ! Vous pouvez compter sur eux ! |
191 | Margog le Martel | Ici Margog le Martel. Permettez-moi de raconter ma journée. Tout a commencé quand Jolis-poils, la fille de Pattes-splendides, m'a défié dans une duel à mort pour le contrôle des activités criminelles de son père, dont je ne veux même pas ! C'est le Khajiit qui m'a mis dans ce mauvais pas. C'est ça façon de se venger de moi, parce que je l'ai donné au milicien. |
192 | Margog le Martel | Je portais mon tout dernier coffret à souvenirs dans la rue, pour le livrer à Klari l'alchimiste, avant le combat. Elle me l'avait commandé il y a quelques semaines. Elle voulait que je grave une scène de « la courageuse petite scrib » sur le couvercle. Jolis-poils s'est approchée pour le regarder, et elle a passé une patte sur la gravure. Et elle s'est mise à pleurer. |
193 | Margog le Martel | Jolis poils examinait donc mon dernier coffret à souvenirs, « La courageuse petite scrib, c'était mon histoire favorite. » Elle avait des larmes dans les yeux. « Papa me la lisait, quand il était à la maison. » Je ne savais pas trop ce qui se passait. Puis elle m'a demandé si je l'avais fabriqué. J'ai hoché la tête. |
194 | Margog le Martel | Jolis poils a poursuivi : « Le conte de la courageuse petite scrib raconte l'histoire d'une âme noble, et vous l'avez saisie avec une merveilleuse précision. » J'ai répondu que j'aimais travailler le bois, et que c'était aussi mon histoire préférée. Elle m'a regardé droit dans les yeux : « Je ne peux pas tuer un artisan si talentueux. Alors, qu'est-ce qu'on fait ? » |
195 | Margog le Martel | Le milicien Chédric s'est approché alors que Jolis-poils semblait changer d'avis. Je ne savais pas trop ce qui se passait, mais il semblait que notre affection mutuelle pour le conte de la courageuse petite scrib allait me sauver la vie. Il a pris la parole : « Je ne vois qu'une seule solution. ». Jolis-poils, qui écrasait une larme, lui a demandé de s'expliquer, ce qu'il a fait. |
196 | Margog le Martel | Un mariage. Jolis-poils et moi étions stupéfaits. « C'est la seule solution logique », expliquait Chédric, en souriant légèrement. « Vous contrôlerez les activités des deux familles et personne ne meurt. » J'ai regardé Jolis-poils de haut en bas. Elle était plutôt pas mal, mais peut-être qu'il valait mieux tenter le duel. |
197 | Margog le Martel | Et voilà, patron. D'autre matériaux pour vous. Jolis-poils et moi sommes allés dans ma taverne et nous avons parlé longtemps. En fait, c'est une chatte très intéressante, pour une Khajiit obsédée et violente qui se trouve être la fille de mon plus grand rival. Je crois que je vais me laisser tenter par le mariage. Ça ne peut pas trop mal tourner, pas vrai ? |
198 | Margog le Martel | Ça va contre les traditions orques. Ça viole chaque principe de la culture Khajiit. Et vous savez quoi ? On s'en tape totalement, Jolis-poils et moi ! Nous avons fusionné nos activités et on est d'accord pour les gérer dans un esprit de coopération et de respect mutuel, entre époux. Mange-toi ça, le chat ! |
199 | Margog le Martel | Jolis-poils et moi, on a rendu visite à Pattes-splendides, aujourd'hui. Ils l'envoient à la capitale demain, pour son procès, mais on voulait lui apprendre comment les choses avaient tourné. Il était furieux. Je comptais dessus. La vengeance a meilleur goût quand on la retourne contre son ennemi, C'est ce que disait toujours ma mère de chasse. Pendant qu'on partait main dans la main, il a promis qu'on regretterait notre trahison. |
200 | Margog le Martel | Margog le Martel et Jolis-poils à votre service ! On est très occupés, maintenant, patron, mais nous avons promis de ne jamais vous laisser à court d'ingrédients. Nos autres affaires sont aussi prospères. Le milicien Chédric nous tient à l'œil, mais il semble moins hostile, ces jours-ci. C'est surprenant, mais je me sens heureux comme la courageuse petite scrib ! |