Regroupement de Force/Chapitre 2 : Différence entre versions
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{{Book |developpeur= |sous titre=|auteur=Longinus Attius |titre auteur=|date=2E 581|source=[[TESO:Hero's Guides|The Hero's Guides to The Elder Scrolls Online]]|commentaire=|auteurIRL=David S. J. Hodgson (Écrivain), Caio Cacau (Artiste)|langue=FR}} | {{Book |developpeur= |sous titre=|auteur=Longinus Attius |titre auteur=|date=2E 581|source=[[TESO:Hero's Guides|The Hero's Guides to The Elder Scrolls Online]]|commentaire=|auteurIRL=David S. J. Hodgson (Écrivain), Caio Cacau (Artiste)|langue=FR}} | ||
− | <center><big>'''Armes et | + | <center><big>'''Armes et armures du champion brétonien, Vignac Antieve d'Abondance'''</big> |
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{{Lettrine|B|IEN DES}} hommes de Hauteroche ressentent un attirance pour le surnaturel ou pour la vie mercantile, mais cela a causé une perte d'attention pour le pouvoir de l'acier ou la sauvagerie d'une lame. Nos cousins du nord-ouest sont prudents d'avoir négocié l'Alliance Daguefilante et demeurent unis derrière le Haut-Roi Emeric. Pour que sa poigne sur le Nord de Tamriel soit toujours ferme, une armée permanente, du plus modeste homme-de-main au capitaine des Gardes Lions, doit être prête à défendre sa vieille et pittoresque province. Bien qu'ils ne soit pas enrégimentés et entraînés à la manière d'une force impériale, nous partageons plus de similarités et moins de choses nous séparent, surtout comparé aux Nordiques brutaux ou aux bêtes vêtues d'écailles ou de fourrure. Je ne veux pas manquer de respect par ces mots. | {{Lettrine|B|IEN DES}} hommes de Hauteroche ressentent un attirance pour le surnaturel ou pour la vie mercantile, mais cela a causé une perte d'attention pour le pouvoir de l'acier ou la sauvagerie d'une lame. Nos cousins du nord-ouest sont prudents d'avoir négocié l'Alliance Daguefilante et demeurent unis derrière le Haut-Roi Emeric. Pour que sa poigne sur le Nord de Tamriel soit toujours ferme, une armée permanente, du plus modeste homme-de-main au capitaine des Gardes Lions, doit être prête à défendre sa vieille et pittoresque province. Bien qu'ils ne soit pas enrégimentés et entraînés à la manière d'une force impériale, nous partageons plus de similarités et moins de choses nous séparent, surtout comparé aux Nordiques brutaux ou aux bêtes vêtues d'écailles ou de fourrure. Je ne veux pas manquer de respect par ces mots. | ||
− | Les armures | + | Les armures brétonnes son incroyablement fiables, en termes de résistance comme de confort. De la visière placée au sommet des plus solides heaumes aux lamelles d'acier imbriquées qui vous harnachent étroitement, la fabrication des meilleurs forgerons offre une protection qui ne nécessite pas constamment de la huiler d'onguents. Le tannage est presque vu comme un art raffiné, où les pièces de cuir les plus souples (de guar ou de bétail) sont utilisées aux jointures du gorgerin quand les pièces les plus rigides (de loup) le sont pour les brassards. Pour les dandys à la richesse surabondante, des minerais additionnels peuvent être ajoutés dans le processus de forgeage pour varier la couleur des plaques, du rouge profond au blanc marbré. |
− | Pour l'essentiel, les armes | + | Pour l'essentiel, les armes brétonnes sont de fabrication standard. Lorsque l'on visualise avec son esprit l'image d'une épée, il s'agit habituellement d'une lame brétonne. Mais ne pensez pas que ces armes soient inintéressantes ou ennuyeuses d'une quelconque manière. Du ciselage du faîteau d'un bâton au bloc de garde d'une dague, espérez y voir un élément au ciselage incurvé le plus plaisant qu'il vous ait été donné de voir. Notez aussi l'usage de gemmes enchantées ainsi que la surabondance de têtes de lions lorsque les boucliers sont levés ou lorsqu'on approche enfin d'Haltevoie. Mais c'est l'alliage à base d'orichalque que l'on trouve dans l'équipement bréton qui prouve le pouvoir des maîtres marchands. |
''Raffinés, solides et de qualité artisanale, la lame, l'arc ou le bouclier d'un Bréton sont d'un poids plaisant, si l'on ignore peut-être une surabondance de symboles héraldiques aux finitions stylisées.'' | ''Raffinés, solides et de qualité artisanale, la lame, l'arc ou le bouclier d'un Bréton sont d'un poids plaisant, si l'on ignore peut-être une surabondance de symboles héraldiques aux finitions stylisées.'' | ||
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− | <center><big>'''Armes et | + | <center><big>'''Armes et armures du champion orque, Gushagub Gro-Shugdurbam'''</big> |
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− | <center><big>'''Armes et | + | <center><big>'''Armes et armures du champion rougegarde, Namasur At-Hamisam'''</big> |
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Version du 2 février 2018 à 16:28
Auteur réel : David S. J. Hodgson (Écrivain), Caio Cacau (Artiste) Média d'origine : The Hero's Guides to The Elder Scrolls Online
Par Longinus Attius, 2E 581
B IEN DES hommes de Hauteroche ressentent un attirance pour le surnaturel ou pour la vie mercantile, mais cela a causé une perte d'attention pour le pouvoir de l'acier ou la sauvagerie d'une lame. Nos cousins du nord-ouest sont prudents d'avoir négocié l'Alliance Daguefilante et demeurent unis derrière le Haut-Roi Emeric. Pour que sa poigne sur le Nord de Tamriel soit toujours ferme, une armée permanente, du plus modeste homme-de-main au capitaine des Gardes Lions, doit être prête à défendre sa vieille et pittoresque province. Bien qu'ils ne soit pas enrégimentés et entraînés à la manière d'une force impériale, nous partageons plus de similarités et moins de choses nous séparent, surtout comparé aux Nordiques brutaux ou aux bêtes vêtues d'écailles ou de fourrure. Je ne veux pas manquer de respect par ces mots.
Les armures brétonnes son incroyablement fiables, en termes de résistance comme de confort. De la visière placée au sommet des plus solides heaumes aux lamelles d'acier imbriquées qui vous harnachent étroitement, la fabrication des meilleurs forgerons offre une protection qui ne nécessite pas constamment de la huiler d'onguents. Le tannage est presque vu comme un art raffiné, où les pièces de cuir les plus souples (de guar ou de bétail) sont utilisées aux jointures du gorgerin quand les pièces les plus rigides (de loup) le sont pour les brassards. Pour les dandys à la richesse surabondante, des minerais additionnels peuvent être ajoutés dans le processus de forgeage pour varier la couleur des plaques, du rouge profond au blanc marbré. Pour l'essentiel, les armes brétonnes sont de fabrication standard. Lorsque l'on visualise avec son esprit l'image d'une épée, il s'agit habituellement d'une lame brétonne. Mais ne pensez pas que ces armes soient inintéressantes ou ennuyeuses d'une quelconque manière. Du ciselage du faîteau d'un bâton au bloc de garde d'une dague, espérez y voir un élément au ciselage incurvé le plus plaisant qu'il vous ait été donné de voir. Notez aussi l'usage de gemmes enchantées ainsi que la surabondance de têtes de lions lorsque les boucliers sont levés ou lorsqu'on approche enfin d'Haltevoie. Mais c'est l'alliage à base d'orichalque que l'on trouve dans l'équipement bréton qui prouve le pouvoir des maîtres marchands. Raffinés, solides et de qualité artisanale, la lame, l'arc ou le bouclier d'un Bréton sont d'un poids plaisant, si l'on ignore peut-être une surabondance de symboles héraldiques aux finitions stylisées.
G AGNANT LENTEMENT LE respect réticent de l'Empire, les bêtes barbares des Monts de la Queue-de-Dragon et de Wrothgar sont extrêmement à l'aise sur la ligne de front d'un champ de bataille. Bien que nombreux chez les races plus cultivées arborent encore le ressentiment envers leurs manières grossières, et que nul ne parle à un Orque sans entendre un grognement rustre et oppressif, leur forges brûlent de profondes ardeurs. En effet, leur artisanat révèle un poids qu'aucun autre forgeron ne pourrait atteindre, un produit des souffrances historiques des Orques, d'une résolution astucieuse et d'un pouvoir brut.
Si vous êtes d'une nature plus délicate , l'armure orque n'est pas la tenue appropriée pour vous. J'ai autrefois vu un solide Argonien se débattre sous une épaisse plaque Orque, être frappé au visage et dans les parties inférieures alors qu'il essayait de se retourner vers ses assaillants, avant de s'effondrer sous le poids de sa protection. Même les Nordiques sont à la peine, rouges et essoufflés, jurant après quelques minutes de combat d'entraînement sous cette tonne d'acier. Mais l'Orque, qui possède la carrure suffisante après s'être entraîné à porter le poids phénoménal de cette armure depuis son enfance, se gausse de l'irritation et de l'immobilité. L'armure Orque est épaisse et fonctionnelle. Les bords et les angles sont dentelés, comme il n'y a pas de mot en Orque pour nommer la délicatesse. Les gantelets et solerets sont ponctués d'épines pointues pour prodiguer davantage d'agonie à ceux qui sont frappés, piétinés, ou malmenés de tout autre manière. Pour éviter de se blesser soit-même, de la fourrure est ajoutée dans les plis, ajoutant encore davantage de volume. On trouve sur l'armure des vétérans annihilateurs des ornements stylisés, avec des couches d'acier sous des chaînes de maille. Les armes sont portées avec fierté et souffrent du même manque inepte de subtilité, bien que les nombreux crânes éclatés, provenant probablement de Nordiques d'Épervine, sont une preuve de leur efficacité. Si les Orques ont tendance à éviter la magie, ils sont aux enchantements ce qu'un chien serait à un morceau de viande rôti, mesmérisés par les jolies couleurs et la perspective d'une énième sauvagerie à infliger. Ces encombrants outils de destruction s'accompagnent souvent de nombreuses références au Code de Malacath, nommé d'après leur grand chef et arch-saigneur, ou à son visage grimaçant.
B IEN QUE LES vétérans du Glorieux Empire pourraient désapprouver avec raison, beaucoup semblent croire que les Rougegardes sont des guerriers au talent naturel. Alors que leur stature et leur rapidité de déplacement les autorisent à exceller dans les domaines de la reconnaissance et de l'escarmouche, leur indépendance déplacée et leur fierté féroce font que ces hommes du désert prennent la voie de l'accomplissement de soi avec le détachement obstiné d'une bête de somme acharnée.
Bien que notre champion ait revêtu l'armure la plus raffinée de la province, la plupart des persévérants hommes d'épée Rougegardes préfèrent les vêtements gonflés de couleurs pâles, avec peut-être un atour couvrant la tête afin de se protéger du soleil, et des sandales en cuir de veau. Quand le cuir est rejeté en faveur du métal, celui-ci est porté telle une seconde peau, couvrant fermement le corps tout en autorisant une importante flexibilité (avec par exemple les tassettes effeuillées qui permettent des mouvements dextres et agiles lors du combat). Les Rougegardes ne perdent jamais une occasion de fondre des gemmes dans leurs plastrons et genouillères, comme s'il s'agissait d'un ordre de Grand Papa lui-même. La majorité des armes rougegardes sont conçues de la même façon. Turquoises et d'améthystes sont scellées en gemmes dans le zénith d'un bâton ou dans le pommeau d'une épée et servent de décorations aux boucliers. La ciselure de l'or et de l'acier y est commune. Les pièces sont lourdement couvertes de cuir de guar ou de kagouti, qui, par leur nature résistante et leur plaisante teinte brune, sont cousus sur la poignée et le tenon. Attendez-vous aussi à de toujours plus notables gravures ou lames forgées raffinées, des styles remontant aux traditions yokudanne du saint de l'épée. Les Rougegardes affectionnent avant tout la rapidité de leurs épées étrangement incurvées plutôt que la masse ; elles sont légères à manier, en comparaison de l'arme avec laquelle un Nordique ou un Bréton combattrait. Les armes contondantes sont tombées en désuétude chez nos amis à la peau sombre, mais sont toujours forgée pour ceux qui ne sont pas obsédés par "les voies ancestrales". À côtés du cimeterre, ces exemples d'armement rougegarde sont rarement utilisés. Ornés par des gravures de lions, de chevaux, d'eau, et de Satakal, le-serpent-qui-se-dévore-lui-même.
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