Abagarlas : Différence entre versions
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+ | [[Abagarlas]] est une ancienne [[:Catégorie:Architecture Ayléide|cité ayléide]] ensevelie et partiellement inondée se trouvant sur l'île de la cité, au millieu du [[lac Rumare]], juste à l'est de la [[Tour d'Or Blanc]].<br> | ||
+ | Elle est totalement inaccessible depuis l'extérieur : pour y entrer il faut traverser une grotte proche des égouts de la prison Impériale. | ||
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* ''Poseurs-pierres (maçons) sans repos (éveillés ?) Méridia. Terreur des terreurs. En hâte vers refuge.'' | * ''Poseurs-pierres (maçons) sans repos (éveillés ?) Méridia. Terreur des terreurs. En hâte vers refuge.'' | ||
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Version du 28 janvier 2012 à 15:49
Abagarlas est une ancienne cité ayléide ensevelie et partiellement inondée se trouvant sur l'île de la cité, au millieu du lac Rumare, juste à l'est de la Tour d'Or Blanc.
Elle est totalement inaccessible depuis l'extérieur : pour y entrer il faut traverser une grotte proche des égouts de la prison Impériale.
Ses ruines restèrent longtemps perdues jusqu'à ce qu'elles furent découvertes dans les environs de 3E 433 par un lettré altmer anonyme, retrouvé mort par un aventurier dans la salle du trône, décédé d'une cause non-déterminée.
Avant sa mort, le lettré parvint à traduire trois tablettes qui permettent de connaître la cause de la destruction de la cité:
- Enfant-Méridia, puissance racine terre, pareil à une vague (terre inondée ?). Gens-dehors (Fuite ? Présent ? Impératif ?).
- Heure de la quatrième étoile (heure ?) Terreur des terreurs de Méridia vient (est venue ?)
- Poseurs-pierres (maçons) sans repos (éveillés ?) Méridia. Terreur des terreurs. En hâte vers refuge.
En effet la ville était sous le patronage de Méridia, confer la statue représentant la princesse daedrique se trouvant en face de l'entrée du Palais.
On peut donc facilement imaginer que les habitants de la ville aient courroucé leur déesse. Pour les punir elle ensevelit Abagarlas lorsque la Terreur des terreurs de Méridia eut semble-t-il attaqué la cité et que les Ayléides eurent tenté de s'enfuir vers un refuge quelconque, condamnant la voie empruntée.
Malheureusement la majorité des ruines est impraticable, de nombreuses structures se sont effondrées et la roche et autres racines n'ont pas hésité à surgir en plein milieu des construction restantes, bouchant bon nombre de couloirs, allées et autres salles.
Ainsi nous n'avons pu connaître ce qui a bien pu courroucer Méridia, ou plus simplement connaître l'histoire de la ville plus en avant.