Message de Pibiha : Différence entre versions

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Je vous en prie, si quelqu'un devait trouver ces mots, donnez-les à ma sœur. Elle s'appelle Tufeh »; vous la trouverez à la Tombe du Fin fond. Je sais que cela pourrait être impossible, la Tombe du Fin fond n'est pas toujours accessible dans ce tas de purin de maraudeurs et de charlatans, mais si cette lettre est la dernière trace que je laisse dans ce monde, j'aimerais qu'elle parvienne à ma sœur.
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Tufeh,
 
Tufeh,
  
Tu as toujours été la plus intelligente de nous deux. J'aurais dû t'écouter dès le début quand tu disais que rejoindre l'Ordre de la Flamme éveillée, c'était aller au-devant des ennuis.
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Tu as toujours été la plus intelligente de nous deux. {{Commentaire|texte="J'aurais" dans la version française}}Celle-ci aurait{{Commentaire|end}} dû t'écouter dès le début quand tu disais que rejoindre l'Ordre de la Flamme éveillée, c'était aller au-devant des ennuis.
  
Tu serais fière de moi, ma chère sœur, fière qu'ils n'aient pas pu me briser malgré l'entrain avec lequel les instructeurs maniaient le fouet, l'épée ou la hache. Sœur, si ton imagination s'égare, sache que je regrette, mais je ne coucherai pas les abominations auxquelles j'ai survécu sur le papier. En aucun cas je ne te dirai les sévices que les prisonniers subissent dans cette aisselle puante de Dagon.
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Ils ont essayé de nous faire penser comme eux. J'ai vu nombre de mes amis capturés avec moi changer de comportement. Ils étaient en colère, et appelaient de leurs vœux la caresse des flammes purificatrices sur leur peau. Cela me parait. Je n'ai jamais partagé ces pensées.
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Ils ont essayé de nous faire penser comme eux. {{Commentaire|texte="J'ai" dans la version française}}Pibiha a{{Commentaire|end}} vu nombre de mes amis capturés avec {{Commentaire|texte="moi" dans la version française}}elle{{Commentaire|end}} changer de comportement. Ils étaient en colère, et appelaient de leurs vœux la caresse des flammes purificatrices sur leur peau. Cela parait fou. {{Commentaire|texte="Je n'ai" dans la version française}}Celle-ci n'a{{Commentaire|end}} jamais partagé ces pensées.
  
Cela fait si longtemps que je n'ai pas vu ton visage. Et cela, je le regrette. Le temps passe étrangement ici, où nous ne voyons pas le ciel. Si ta sœur a un regret, Tufeh, c'est qu'elle n'a plus senti le vent dans sa fourrure depuis que je suis entrée dans ce bubon sur le cul d'un Ogrim. J'ai l'impression d'avoir passé toute une vie loin du monde, quand bien même je sais que ce ne fut pas si long.
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Je suis fatiguée, mon chat, et le froid me donnent des crampes à la main. Reste fidèle à tes convictions. Quoi que tu fasses, sache que ta sœur t'aime.
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Pibiha
 
Pibiha
 
[[Catégorie:Livre : Lettres et courriers]]
 
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Version actuelle datée du 5 décembre 2021 à 11:44

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Média d'origine : TES Online - Blackwood
Commentaire : Ce texte est écrit à la manière des Khajiits, mais la traduction française ne tient aucun compte de ce style d'écriture. Une traduction plus fidèle au texte a donc été effectuée par la communauté. Les passages de la version française apparaissant au survol.

Par Pihiba


"Je" dans la version françaiseCelle-ci vous en prie, si quelqu'un devait trouver ces mots, donnez-les à "ma soeur" dans la version françaisela soeur de celle-ci. Elle s'appelle Tufeh ; vous la trouverez à la Tombe du Fin fond. "Je sais" dans la version françaiseCelle-ci sait que cela pourrait être impossible, la Tombe du Fin fond n'est pas toujours accessible dans ce tas de purin de maraudeurs et de charlatans, mais si cette lettre est la dernière trace que "Je" dans la version françaisePibiha laisse dans ce monde, "J'aimerais" dans la version françaiseelle aimerait qu'elle parvienne à "ma" dans la version françaisesa sœur.

Tufeh,

Tu as toujours été la plus intelligente de nous deux. "J'aurais" dans la version françaiseCelle-ci aurait dû t'écouter dès le début quand tu disais que rejoindre l'Ordre de la Flamme éveillée, c'était aller au-devant des ennuis.

Tu serais fière de "moi" dans la version françaisePibiha, chère sœur, fière qu'ils n'aient pas pu "me" dans la version françaisela briser malgré l'entrain avec lequel les instructeurs maniaient le fouet, l'épée ou la hache. Sœur, si ton imagination s'égare, sache que "je" dans la version françaiseCelle-ci regrette, mais "je ne coucherai" dans la version françaiseelle ne couchera pas les abominations auxquelles "j'ai" dans la version françaiseelle a survécu sur le papier. En aucun cas "je ne te dirai" dans la version françaisePibiha ne te dira les sévices que les prisonniers subissent dans cette aisselle puante de Dagon.

Ils ont essayé de nous faire penser comme eux. "J'ai" dans la version françaisePibiha a vu nombre de mes amis capturés avec "moi" dans la version françaiseelle changer de comportement. Ils étaient en colère, et appelaient de leurs vœux la caresse des flammes purificatrices sur leur peau. Cela parait fou. "Je n'ai" dans la version françaiseCelle-ci n'a jamais partagé ces pensées.

Cela fait si longtemps que "Je n'ai" dans la version françaiseCelle-ci n'a pas vu ton visage. Et cela, "je" dans la version françaiseelle le regrette. Le temps passe étrangement ici, où nous ne voyons pas le ciel. Si ta sœur a un regret, Tufeh, c'est qu'elle n'a plus senti le vent dans sa fourrure depuis "que je suis" dans la version françaisequ'elle est entrée dans ce bubon sur le cul d'un Ogrim. "J'ai" dans la version françaiseElle a l'impression d'avoir passé toute une vie loin du monde, quand bien même "je sais" dans la version françaisePibiha sait que ce ne fut pas si long.

"Je suis" dans la version françaiseCelle-ci est fatiguée, mon chat, et le froid "me donnent" dans la version françaiselui donne des crampes à la main. Reste fidèle à tes convictions. Quoi que tu fasses, sache que ta sœur t'aime.

Pibiha