Fragment du journal de Lorgren : Différence entre versions
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Ces imbéciles s’imaginent que je ne les entends pas ? Leurs rumeurs et insinuations parviennent jusqu’à mes oreilles. Ils veulent jouer avec des pouvoirs qui les dépassent. Ils me traitent de vieux fou et me rejettent. Les enfants jouent à qui osera poser le pied dans ma cour. Je suis l’objet des commérages des veuves et des histoires au coin du feu. On me prend pour un fou. Mais bientôt, ils verront. Quand tout Anvil sera réduit en poussière, lorsque leurs corps joncheront les rues et que leur sang abreuvera la terre. A ce moment là, mon véritable pouvoir sera reconnu et craint.<br> | Ces imbéciles s’imaginent que je ne les entends pas ? Leurs rumeurs et insinuations parviennent jusqu’à mes oreilles. Ils veulent jouer avec des pouvoirs qui les dépassent. Ils me traitent de vieux fou et me rejettent. Les enfants jouent à qui osera poser le pied dans ma cour. Je suis l’objet des commérages des veuves et des histoires au coin du feu. On me prend pour un fou. Mais bientôt, ils verront. Quand tout Anvil sera réduit en poussière, lorsque leurs corps joncheront les rues et que leur sang abreuvera la terre. A ce moment là, mon véritable pouvoir sera reconnu et craint.<br> | ||
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Version du 28 novembre 2006 à 12:38
Les habitants d’Anvil sont de misérables vermisseaux ! Comment osent-ils critiquer ce qu’ils ne comprennent pas ! Je me vengerai au-delà de ce qu’ils peuvent imaginer ! Je ferai usage de l’âme des défunts pour prolonger ma propre vie. Le Tome est très clair à ce sujet. Il me faut plus de corps… oui… plus de corps.
Entrée
Je dois me protéger de ces fouineurs. Il ne faut absolument pas qu’ils se mêlent de mes plans. J’ai construit une pièce dans les fondations de ce manoir. C’est ici que je m’incarnerai et que je transcenderai ce plan de l’existence. Seul un Benirus de chair et de sang peut ouvrir la porte. Si j’échoue, aussi improbable cela soit-il, un de mes descendants devra suivre mes pas dans la voie de la vérité. Pour m’assurer que notre secret est bien gardé, j’ai attaché l’esprit des corps que j’ai souillés à ce lieu qu’ils garderont pour l’éternité.
Entrée
Ces imbéciles s’imaginent que je ne les entends pas ? Leurs rumeurs et insinuations parviennent jusqu’à mes oreilles. Ils veulent jouer avec des pouvoirs qui les dépassent. Ils me traitent de vieux fou et me rejettent. Les enfants jouent à qui osera poser le pied dans ma cour. Je suis l’objet des commérages des veuves et des histoires au coin du feu. On me prend pour un fou. Mais bientôt, ils verront. Quand tout Anvil sera réduit en poussière, lorsque leurs corps joncheront les rues et que leur sang abreuvera la terre. A ce moment là, mon véritable pouvoir sera reconnu et craint.