Civilité et étiquette : Morts-vivants : Différence entre versions
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1. Un mort-vivant qui parle est forcément puissant. Toute créature dont la [[magie]] est assez puissante pour devenir consciente dans la mort mérite l'admiration prudente d'un Altmer. | 1. Un mort-vivant qui parle est forcément puissant. Toute créature dont la [[magie]] est assez puissante pour devenir consciente dans la mort mérite l'admiration prudente d'un Altmer. |
Version du 22 décembre 2017 à 12:11
Média d'origine : TES Online
Première partie Par Coristir
L'on croit généralement que tous les morts-vivants et revenants sont les esclaves de leur biologie nécromantique. De fait, comme la majeure partie de la faune prédatrice, nombre de ces créatures n'existent que pour absorber ou consommer l'énergie des vivants. Il ne faudrait jamais négocier ou raisonner avec eux. Un Altmer devrait traiter avec ces créatures que comme on le ferait avec un loup enragé ou un Orque malveillant : avec une violence extrême. Toutefois, il en est certains parmi les post-vivants qui possèdent ou ont acquis la conscience, comme les vampires, les liches et les spectres. Le dialogue est possible avec ces créatures, tant que l'on conserve certaines discrétions : 1. Un mort-vivant qui parle est forcément puissant. Toute créature dont la magie est assez puissante pour devenir consciente dans la mort mérite l'admiration prudente d'un Altmer. 2. On ne peut jamais faire confiance à un mort-vivant. Bien que nous devions respecter les morts-vivants et leur pouvoir, tous les morts-vivants veulent quelque chose des vivants, et il n'y a guère de moyens de les empêcher de le prendre. Un Altmer doit toujours demeurer prudent dans leur présence. Toujours. 3. Un mort-vivant n'est pas forcément ce qu'il semble. Bien des mages puissants possèdent des sorts illusoires pour modifier leur apparence, et les morts-vivants ne font pas exception. L'esprit errant d'un enfant perdu pourrait en fait être une liche affamée. Cela dit, un Altmer peut apprendre beaucoup de choses grâce au savoir accumulé par un mort-vivant doté de conscience, s'il parvient à engager le dialogue. Les Altmers prudents pourraient apprendre des sorts antiques et oubliés de tous, entendre des récits de première main de certains événements historiques, ou découvrir l'emplacement de reliques perdues – si ces mêmes Altmers posent les bonnes questions. Pour converser avec les morts-vivants, un Altmer doit conserver cette apparence : 1. Humilité. L'héritage d'un Altmer devrait lui accorder des privilèges sans nombre, et dans un monde idéal, tous les individus, y compris les liches, vampires et spectres, accepteraient le concept altmer de classe, et se conduiraient en conséquence. Mais la plupart des morts-vivants, fussent-ils altmeri eux-mêmes, adhèrent rarement à ces conventions sociales. En conséquence, même les Altmers les plus nobles devraient se reporter au premier point de la liste précédente. Considérez les morts-vivants comme des aînés : puissants, indifférents et susceptibles. 2. Intelligence. Comme les Altmers, surtout de haute extraction, les morts-vivants ont peu de tolérance pour la bêtise. Sans être trop grossier, un Altmer doit chercher les occasions d'afficher ses connaissances magiques ou son intelligence, afin de montrer qu'il ne faut pas le prendre à la légère. Là encore, imaginez-vous intimider un aîné fermé pour le rendre aimable. 3. Discipline. Si un Altmer parvient à engager une communication paisible avec une liche, un spectre, un vampire ou autre, il aura certainement de nombreuses questions à poser. Mais il devrait prendre garde au nombre de questions qu'il posera. Un mort-vivant partagera ses connaissances librement, ou ne les partagera pas du tout. Dans la deuxième partie de cette collection, je détaillerai les obstacles qui peuvent apparaître lors des conversations avec les morts-vivants, notamment les spectres, vampires et liches, qui nécessitent souvent différentes manœuvres d'intelligence sociale.
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