36 Leçons de Vivec, 31e Sermon : Différence entre versions
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" Où est mon maître Vivec ? Je l'aime toujours, même s'il se montre froid envers moi. Ses lamentations, si je puis les appeler ainsi, ont modifié la peau de tout le pays. Les gens s'assombrissent à cause de cela. " | " Où est mon maître Vivec ? Je l'aime toujours, même s'il se montre froid envers moi. Ses lamentations, si je puis les appeler ainsi, ont modifié la peau de tout le pays. Les gens s'assombrissent à cause de cela. " | ||
− | + | Prenant pitié de son mari troublé, Ayem lui expliqua que l'épée de la Triune avait dû affronter des monstres réveillés par les Dwemers alors que ces derniers construisaient leurs machines de guerre en laiton. Prenant l'Hortator à part, elle lui montra où se trouvait son maître. | |
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− | + | La dernière fois que j'ai entendu sa voix chargée d'impatience, j'ai appris à me contrôler et à me soumettre à la volonté des autres. Par la suite, j'ai osé prendre le feu sacré et j'ai compris qu'il était impossible d'atteindre un équilibre avec les ET'ADAS. Ce sont des menteurs et des racines égarées, et je ne puis rien de plus que me faire l'interprète de la rationalité. Mais même cela ne correspond pas aux besoins du peuple. Assis sur le siège de la pitié, je juge dans mon état éveillé et dans l'aspect de phase du désir inné. Il n'y a qu'ici que je puis douter, dans ce livre écrit à l'eau et élargi afin d'inclure le Mal. | |
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Version actuelle datée du 19 avril 2015 à 20:39
Auteur réel : Michael Kirkbride Média d'origine : TES 3 : Morrowind
Par Vivec
" Où est mon maître Vivec ? Je l'aime toujours, même s'il se montre froid envers moi. Ses lamentations, si je puis les appeler ainsi, ont modifié la peau de tout le pays. Les gens s'assombrissent à cause de cela. "
La dernière fois que j'ai entendu sa voix chargée d'impatience, j'ai appris à me contrôler et à me soumettre à la volonté des autres. Par la suite, j'ai osé prendre le feu sacré et j'ai compris qu'il était impossible d'atteindre un équilibre avec les ET'ADAS. Ce sont des menteurs et des racines égarées, et je ne puis rien de plus que me faire l'interprète de la rationalité. Mais même cela ne correspond pas aux besoins du peuple. Assis sur le siège de la pitié, je juge dans mon état éveillé et dans l'aspect de phase du désir inné. Il n'y a qu'ici que je puis douter, dans ce livre écrit à l'eau et élargi afin d'inclure le Mal.
Puis Vivec jeta de l'encre sur ce passage afin de le masquer (pour le lecteur profane), écrivant par-dessus :
Tu me trouveras sans armure dans la dernière scène du papier noirci. La vérité est comme ma moitié : emplie de procédures et de bruit, d'une lourdeur rendue schématique et de leçons uniquement apprises à l'aide d'une masse. Que ceux qui m'entendent reçoivent les coups et que certains meurent dans les cendres. Que ceux qui me trouvent me découvrent tué par l'illumination et frappé tel un cheval traître, car si l'heure est d'or, je suis le code secret et immortel. Je suis celui qui utilise le tambour du Destin, l'élu de tous ceux qui vivent dans le monde intermédiaire pour porter cette couronne qui résonne de vérité. Je suis le messie mutilant, le sauveur assassin et assassinant.
Les mots s'arrêtent à ALMSIVI.
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