Journal de reconnaissance de Maarselok

Média d'origine : TES Online Un La traversée de la frontière avec Tenmar s'est faite sans encombre. On n'a plus vu de Khajiit aussi loin à l'ouest depuis des lustres. Aucun signe du dragon, mais la faune semble tendue, comme si un orage approchait. Le capitaine veut que nous restions très en avance du détachement. * * * Je n'étais jamais venu par là. Il fait un peu chaud à mon goût, mais cette vallée est aussi verdoyante que le Vert. Je me demande pourquoi les Khajiits ne s'y sont jamais réinstallés ? Et même, pourquoi ils en sont partis. Il y a assez de ruines pour suggérer qu'ils y vivaient en grands nombres. Un lion-senche a bien essayé de me croquer. En général, ils essaient de se montrer discrets. Enfin, on ne comprendra jamais les chats. Toujours aucun signe du dragon, et le capitaine ne s'intéresse qu'à ça. Deux On dirait que ces ruines ne sont pas entièrement abandonnées. J'ai trouvé des traces de bottes. Certaines fraîches, d'autres moins, mais je pense que des gens se sont installés ou sont passés par ici au moins dans les mois précédents. * * * Je pense qu'un mage a campé ici. Il reste des trucs et des bidules magiques dans le coin. Je croyais que les mages ermites n'existaient que dans les contes de fées. Il a dû décamper quand le dragon est arrivé. Ces grottes feront un bon camp de base pour mon détachement, cela dit. Trois Nous l'avons vu ! Le dragon a fini par quitter son nid. On aurait dit qu'il cherchait quelque chose. J'ai même retenu ma respiration, de peur qu'il découvre notre force d'assaut. Mais il a fini par se poser près du sommet, et s'est installé. Maintenant, nous savons où vit cette grosse crapule bleue. * * * Je n'ai jamais entendu parler d'un dragon qui construise un nid, mais je crois que celui-ci est un peu pie sur les bords. Ou ragnard. La montagne près du sommet est aussi bleue que lui. Elle brille la nuit. Ce sera notre phare pour gravir la montagne en pleine nuit. Quatre Qu'Y'ffre nous aide ! Tout était calme. Des créatures se sont déversées de cette pourriture bleue une fois que la force d'assaut a dressé le camp. Comme si elles nous attendaient ! Nous sommes cernés. Piégés dans ce cloaque infâme. Elles n'attaquent que si nous faisons mine de partir. * * * Je ne vois plus personne. Je ne les vois pas. Je suis le seul à m'en être sorti. Je suis le seul le seul. Le seul. Je les entends encore crier. Le bleu les a recouverts et les a rendus malades. les a rendus fous. Ils nous ont attaqués ! On a tous fui ! Tous fui. Mais je suis le dernier je dois rentrer. Le Vert me protégera. Me protégera contre le bleu. PROTÉGEZ-MOI PAR PITIÉ.