La vérité en Séquence : vol. 2 : Différence entre versions
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| − | La volonté de Sotha Sil est la volonté chrononymique. La Volonté Anonyme. Car qu'est-ce qu'un | + | La volonté de Sotha Sil est la volonté chrononymique. La Volonté Anonyme. Car qu'est-ce qu'un « Nom » ? Le Métronome Divin nous apprend que « Nom » est la cale qui sépare le rouage de son axe. Le résidu du Grand Mensonge de Lorkhan qui distend la courroie et corrode le cadre. Les rouages et'Ada nommèrent tout et tous, à leur façon. Nos inférieurs voient cela comme une bonté, mais le Perpétuel Volant parle de malédiction, enracinée dans l'orgueil. Nommer, c'est séparer. C'est la mort de la convergence anuique et du devenir de Nirn. Le dragon mal assemblé qui souffle des faussetés sèches, et dont le nom est « Multitude ». |
| − | Il n'y a qu'un seul nom qui ne soit pas nom. Seht, le Dieu mécanique convergent, dont la volonté pompe comme un piston dans l' | + | Il n'y a qu'un seul nom qui ne soit pas nom. Seht, le Dieu mécanique convergent, dont la volonté pompe comme un piston dans l'« alors » et l'« ensuite ». Sotha Sil, Père des Mystères, dont le cœur pousse les Roues éternelles et dont le sang huile L'Essieu-Monde. Sil, le Moteur Divin, dont l'esprit fusionne « ils » et « nous » et engendre la Nirn Ascendante. Les volontés inférieures sont des volutes de fumée, nées et perdues dans une mer au ciel infini. Des enfants perdus, dont la liberté est la mort. |
| − | Car qu'est-ce que la liberté, enfants du Tribunal? L'équilibre de l'esclavage? Non. N'avez-vous pas entendu mes paroles en Séquence? La volonté chrononymique est le pendule qui n'oscille qu'une seule fois. Il ne peut faire autrement. Osciller deux fois briserait une intention d'une autre et prouverait le blasphème des deux. Comme Padomay est illusion, la volonté nommée l'est tout autant. Car qu'est-ce que le | + | Car qu'est-ce que la liberté, enfants du Tribunal ? L'équilibre de l'esclavage ? Non. N'avez-vous pas entendu mes paroles en Séquence ? La volonté chrononymique est le pendule qui n'oscille qu'une seule fois. Il ne peut faire autrement. Osciller deux fois briserait une intention d'une autre et prouverait le blasphème des deux. Comme Padomay est illusion, la volonté nommée l'est tout autant. Car qu'est-ce que le « choix », sinon le chaos ? Qu'est-ce que le « libre arbitre » sinon l'absence d'ordre, vulgaire et triomphante ? La véritable roue tourne comme les aiguilles de l'horloge, toujours, toujours. Dans l'unité de Nirn Ascendante, chacun appartient à tous, et tous appartiennent à personne, sinon la Tamriel Finale. Anuvanna'si. Posez donc vos fardeaux dérisoires, enfant. « Dois-je faire ainsi ? » Ces « choix » sont illusion. Abandonnez-vous à la poursuite de l'unité, car au final, il n'est nulle autre voie. |
Par la parole, j'entraîne les rouages. | Par la parole, j'entraîne les rouages. | ||
Version actuelle datée du 13 novembre 2022 à 17:10
Média d'origine : TES Online Commentaire : Texte illustré d'après le Journal de Razum-dar.
Tiré des sermons de Deldrise Morvayn, Quatrième Tourbillon du Volant Perpétuel Par Deldrise Morvayn
Par la parole, j'entraîne les rouages. La volonté de Sotha Sil est la volonté chrononymique. La Volonté Anonyme. Car qu'est-ce qu'un « Nom » ? Le Métronome Divin nous apprend que « Nom » est la cale qui sépare le rouage de son axe. Le résidu du Grand Mensonge de Lorkhan qui distend la courroie et corrode le cadre. Les rouages et'Ada nommèrent tout et tous, à leur façon. Nos inférieurs voient cela comme une bonté, mais le Perpétuel Volant parle de malédiction, enracinée dans l'orgueil. Nommer, c'est séparer. C'est la mort de la convergence anuique et du devenir de Nirn. Le dragon mal assemblé qui souffle des faussetés sèches, et dont le nom est « Multitude ». Il n'y a qu'un seul nom qui ne soit pas nom. Seht, le Dieu mécanique convergent, dont la volonté pompe comme un piston dans l'« alors » et l'« ensuite ». Sotha Sil, Père des Mystères, dont le cœur pousse les Roues éternelles et dont le sang huile L'Essieu-Monde. Sil, le Moteur Divin, dont l'esprit fusionne « ils » et « nous » et engendre la Nirn Ascendante. Les volontés inférieures sont des volutes de fumée, nées et perdues dans une mer au ciel infini. Des enfants perdus, dont la liberté est la mort. Car qu'est-ce que la liberté, enfants du Tribunal ? L'équilibre de l'esclavage ? Non. N'avez-vous pas entendu mes paroles en Séquence ? La volonté chrononymique est le pendule qui n'oscille qu'une seule fois. Il ne peut faire autrement. Osciller deux fois briserait une intention d'une autre et prouverait le blasphème des deux. Comme Padomay est illusion, la volonté nommée l'est tout autant. Car qu'est-ce que le « choix », sinon le chaos ? Qu'est-ce que le « libre arbitre » sinon l'absence d'ordre, vulgaire et triomphante ? La véritable roue tourne comme les aiguilles de l'horloge, toujours, toujours. Dans l'unité de Nirn Ascendante, chacun appartient à tous, et tous appartiennent à personne, sinon la Tamriel Finale. Anuvanna'si. Posez donc vos fardeaux dérisoires, enfant. « Dois-je faire ainsi ? » Ces « choix » sont illusion. Abandonnez-vous à la poursuite de l'unité, car au final, il n'est nulle autre voie. Par la parole, j'entraîne les rouages.
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