Notes sur la porte de la crypte : Différence entre versions
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La porte de la crypte de Razak est l'un des ouvrages d'ingénierie dwemer les plus impressionnants que j'aie jamais vus. Elle résiste à tous les sorts de déverrouillage que je connais, et soutient sans mal les pires sorts de destruction. | La porte de la crypte de Razak est l'un des ouvrages d'ingénierie dwemer les plus impressionnants que j'aie jamais vus. Elle résiste à tous les sorts de déverrouillage que je connais, et soutient sans mal les pires sorts de destruction. | ||
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La partie la plus fascinante de cette porte est peut-être la série de pictogrammes gravés dans la porte même. Ils sembles former une narration. Et si ma maîtrise, certes limitée, du langage est exacte, il s'agit de la cosmogonie elfique classique : | La partie la plus fascinante de cette porte est peut-être la série de pictogrammes gravés dans la porte même. Ils sembles former une narration. Et si ma maîtrise, certes limitée, du langage est exacte, il s'agit de la cosmogonie elfique classique : | ||
| − | D'abord fut Aurbis, le chaos informe d'où l'univers fut formé. Puis Lorkhan convainquit les Aedra de se sacrifier pour former le monde, Mundus. Puis enfin, à la naissance de ce monde, Magnus ouvrit un trou dans l'Ætherius, | + | D'abord fut Aurbis, le chaos informe d'où l'univers fut formé. Puis Lorkhan convainquit les Aedra de se sacrifier pour former le monde, Mundus. Puis enfin, à la naissance de ce monde, Magnus ouvrit un trou dans l'Ætherius, pour créer le soleil et laisser la magie s'écouler dans Nirn. |
Cette trinité revient souvent dans les textes de Razak. Chaos, terre et magie. Peut-être est-elle au centre de sa compréhension de la création. Pas seulement du monde, mais aussi des automates ? | Cette trinité revient souvent dans les textes de Razak. Chaos, terre et magie. Peut-être est-elle au centre de sa compréhension de la création. Pas seulement du monde, mais aussi des automates ? | ||
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Version actuelle datée du 17 mars 2015 à 18:06
Média d'origine : TES Online
Par Anonyme
La porte de la crypte de Razak est l'un des ouvrages d'ingénierie dwemer les plus impressionnants que j'aie jamais vus. Elle résiste à tous les sorts de déverrouillage que je connais, et soutient sans mal les pires sorts de destruction. La partie la plus fascinante de cette porte est peut-être la série de pictogrammes gravés dans la porte même. Ils sembles former une narration. Et si ma maîtrise, certes limitée, du langage est exacte, il s'agit de la cosmogonie elfique classique : D'abord fut Aurbis, le chaos informe d'où l'univers fut formé. Puis Lorkhan convainquit les Aedra de se sacrifier pour former le monde, Mundus. Puis enfin, à la naissance de ce monde, Magnus ouvrit un trou dans l'Ætherius, pour créer le soleil et laisser la magie s'écouler dans Nirn. Cette trinité revient souvent dans les textes de Razak. Chaos, terre et magie. Peut-être est-elle au centre de sa compréhension de la création. Pas seulement du monde, mais aussi des automates ? Je devrai y réfléchir plus tard. Pour l'heure, je vais tenter de crocheter la serrure. Peut-être le profane réussira-t-il là où la magie a échoué. |
