De La Grande Bibliotheque de Tamriel
Par l'archiviste sourcière Ibrula
Notre Archive des Sourciers regroupe l'essentiel de l'histoire et de la sagesse perdues de Yokuda, sous forme de livres et de parchemins apportés par la première Ra Gada. Il faudra bien des vies pour les cataloguer tous, et nous commencerons simplement, avec quelques références aux caractéristiques qui rendent le style yokudan si unique et reconnaissable, comme le motif souvent appelé " pointe de flèche large".
- Haches
- Bien que les Yokudans aient avant tout cultivé le combat à l'épée, ils reconnaissaient l'utilité des autres armes. Leurs haches, par exemple, étaient aussi belles que formidables. Elles avaient souvent une longue lame incurvée, qui leur prêtaient une certaine similarité avec des épées
- Ceintures
- Les ceintures yokudanes étaient souvent simples, car seul comptait ce que l'on y accrochait : l'incontournable épée, ou une autre arme. On y trouve aussi des tassettes, pour protéger les hanches. La boucle est généralement un motif géométrique fort et simple.
- Bottes
- Les bottes yokudanes étaient pensées pour le combat, faites en cuir lourd avec des plaques de métal stratégiquement placées pour la protection. Mais elles étaient aussi souples et résistantes pour les marches dans le terrain accidenté yokudan.
- Arcs
- Les Yokudans appréciaient peu l'archerie, qu'ils jugeaient moins honorable que le combat rapproché, et leurs chevaliers et grandés la laissaient aux fantassins du rang. Un archer ou voltigeur yokudan était généralement armé d'un arc simple orné de plaques de métal discrètes.
- Plastrons
- Pour les Yokudans, l'art du combat armé était profondément athlétique, alors si leurs cuirasses offraient une solide protection centrale pour la poitrine et le dos, les bras, épaules et la taille étaient couverts de cuir flexible pour permettre la plus grande agilité.
- Dagues
- Une dague yokudane évoque une version réduite de l'épée yokudane, et est généralement grande, proche d'une épée courte. Une longue dague dans la main secondaire était souvent prisée par les combattants qui dédaignaient le bouclier.
- Gants
- Les guerriers yokudans mettaient l'accent sur le combat à l'épée plutôt que tout autre style, ce qui exposait leurs mains à toutes sortes d'attaques. Les gantelets yokudans étaient donc lourds et composés de plusieurs couches, avec des manchons évasés pour protéger les avant-bras.
- Casque
- Le casque yokudan est clairement influencé par le turban traditionnel des anciens nomades pastoraux. Ils portent souvent un ventail pour protéger la nuque, une visière complète sur le visage, et même des cornes.
- Jambières
- Les chausses yokudanes étaient solides pour protéger contre les tailles basses des épées, souvent renforcées de plaques de métal pour protéger le tibia, le tendon et le mollet. Des protections de genou pointues étaient également habituelles.
- Masses
- Les Yokudans appréciaient tant les lames tranchantes qu'ils en ajoutaient même sur la tête de leurs masses, où l'on pourrait chez d'autres cultures trouver des pointes ou des arrêtes. Certaines de ces lames s'achevaient sur une pointe reprenant la "pointe de flèche large".
- Boucliers
- Les boucliers yokudans peuvent être ronds, orvales ou en losange, mais ils sont tous bordés de plaques de métal pour détourner les coups, et de bosses centrales couvertes de motifs géométriques. Ils semblent faits entièrement de métal, mais certains étaient en bois riveté de plaques métalliques.
- Épaulières
- Bien que les épaules elles-mêmes soient couvertes de cuir flexible pour permettre les combats acrobatiques, les articulations sont protégées par des épaulettes épaisses et souvent très décorées, qui s'évasent pour protéger le cou.
- Bâtons
- Les rares sorciers de guerre employés par les Yokudans maniaient des bâtons rappelant des armes de corps à corps, pour partager le prestige qu'apportait le combat rapproché. Leurs ailettes métalliques pouvaient être rondes, évasées ou pointues à l'image de la "pointe de flèche large".
- Épées
- Bien que les épées yokudanes incurvées ne soient pas particulièrement embellies, elles représentés néanmoins l'apogée de la fabrication yokudane, forgées et reforgées dans un long processus destiné à les rendre indestructibles et irrésistibles. Les guerriers yokudans considéraient leur arme comme une extension de leur corps.
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